Les lettres que je ne vous ai jamais envoyées

On ne peut pas dire que le roman est mauvais, mais je n'ai pas aimé : ni le style, ni l'histoire ne m'ont séduite.
L'intrigue et le style donnent l'impression de loucher du côté de Jane Austen, et même s'il n'y a pas le même piquant c'est plutôt bien fait, jusqu'à ce que le récit bascule de la chronique sociétale au roman d'aventure avec des poursuites, des meurtres, un trésor, de l'adultère, etc. Cela fait beaucoup de péripéties et de "heureux hasards", trop pour moi. La première partie du roman est émaillée de réflexions philosophiques éculées ("la mort fait partie de ma vie", etc) et de débats politico-philosophiques (Hobbes, Rousseau, etc) et cela alourdit le récit à mon avis.
De la même façon, les lettres évoquée dans le titre ne sont présentes que dans la première partie du livre. J'ai trouvé que si l'idée était bonne, elle n'était pas bien exploitée : les fameuses lettres font des redites avec le reste du roman et n'apportent rien de plus à l'histoire.
En outre, la plume de Latie Gétigney ne sonne pas naturelle. Il y a quelques maladresses de style, quelques expressions employée bizarrement, mais c'est surtout la volonté d'écrire comme si c'était une personne du XVIIIème qui racontait (ou presque) qui m'a gênée. Ce n'est pas mal écrit, mais cela sonne très artificiel par moment.
Tout cela pour dire que cette romance n'était pas pour moi...

Une fois n'est pas coutume, mais un petit feel good après un « Cujo » de Stephen King, ça peut se comprendre.

L'histoire se déroule à la fin du XVIIIe siècle. Amy, la fille d'un gentleman peu fortuné, a un coup de foudre pour le riche Henri Clenneth entraperçu un jour chez un libraire de Londres. Persuadée de ne jamais le revoir, elle décide de lui déclarer ses sentiments et de lui raconter des épisodes de sa vie dans un journal intime de style épistolaire, qu'elle garde précieusement dans un coffret. Mais ne dit-on pas que le monde est petit ?

C'est une romance à l'anglaise assez conventionnelle. le contexte historique est bien posé et les convenances de l'époque respectées. La narration est élégante et délicate, à l'image de l'expression de l'époque.

Côté personnages, on les cerne rapidement par des portraits bien brossés. Amy est décrite comme une jeune femme intelligente, vive, et ouverte d'esprit avec le côté romantique des jeunes filles de l'époque.

Et comme pressenti, Henri Clenneth refait son apparition dans la vie d'Amy… Emois, regards, attitudes, questionnement, tout est consigné dans les lettres qu'Amy continue d'écrire. Lorsque soudain, un soir, suite à un événement, le rythme s'emballe et je bascule dans un genre de roman d'aventures auquel je ne je ne m'attendais pas. Secret, mystère, malentendus, quiproquos, course poursuite et dangers…. Les lettres deviennent rares…

Mon avis : malgré quelques atouts indéniables (le contexte historique et social et une plume affûtée), ce roman n'a rien du feel good dans lequel j'aime plonger. Mon tensiomètre est resté bas, les émotions ont brillé par leur absence (non je n'ai pas un coeur de pierre), et rien ne m'a véritablement charmée ou surprise.

Ce roman en résumé n'était pas pour moi puisqu'il a reçu le prix 2018 de la meilleure romance. Dommage !

📚 Londres, janvier 1797

"Cher Mr Clenneth..." C'est ainsi que commencent les lettres d'Amy Rosebury en s'adressant à Henry Clenneth, croisé par au hasard au détour d'une librairie de Covent Garden. Ces lettres, bien sûr qu'elle ne compte pas les envoyer, de toutes façons quelles seraient les chances de recroiser ce beau gentleman ?

💭 Tout commence avec une rencontre. Enfin une rencontre... presque, puisque Amy et Henry ne se sont jamais adressé la parole. C'est donc dans une correspondance unilatérale qu'entre le lecteur.

A travers ses lettres, on y découvre une Amy sensible et drôle. Une jeune femme passionnée et passionnante. Dans l'Angleterre du XVIIIème siècle, la place de la femme n'est pas des plus enviables, mais Amy défend haut et fort ses valeurs. Une héroïne fièrement engagée ! ✊

Si la première partie m'a happée dès les premières lignes, la seconde moitié m'a moins convaincue dû un manque de rythme. Cependant le roman est très court donc il se lit tout de même très vite. Cela n'en reste pas moins une agréable lecture qui a su me divertir. Il ne restera pas à terme dans ma mémoire, mais cela fait du bien aussi parfois de lire des histoires plus légères.

⚡Un court roman entre malentendus et faux semblants et entre romance et aventure.
Lien : https://www.instagram.com/li..

J'étais contente de me plonger dans cette romance avec pour fond la société anglaise du XVIII siècle (que j'adore) mais je n'ai pas été complètement séduite. J'ai trouvé le rythme du récit un peu plat et je me suis ennuyée parfois. Néanmoins l'auteur respecte bien l'époque en utilisant le vocabulaire et représentent bien les aspects et la bienséance de cette époque.

L'écriture de Latie Gétigney m'a beaucoup fait penser à celle de Jane Austen. On y retrouve exactement le même vocabulaire, un style et une ambiance similaires. « Les lettres que je ne vous ai jamais envoyées » est une histoire d'amour romanesque typique de l'époque, avec tout ce qu'il faut de courtoisie, de costumes et de destinées. Les lettres d'Amy sont romantiques, tendres et pleines d'espoir, bien que trop peu nombreuses au final à mon goût.
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📚 Londres, janvier 1797

"Cher Mr Clenneth..." C'est ainsi que commencent les lettres d'Amy Rosebury en s'adressant à Henry Clenneth, croisé par au hasard au détour d'une librairie de Covent Garden. Ces lettres, bien sûr qu'elle ne compte pas les envoyer, de toutes façons quelles seraient les chances de recroiser ce beau gentleman ?

💭 Tout commence avec une rencontre. Enfin une rencontre... presque, puisque Amy et Henry ne se sont jamais adressé la parole. C'est donc dans une correspondance unilatérale qu'entre le lecteur.

A travers ses lettres, on y découvre une Amy sensible et drôle. Une jeune femme passionnée et passionnante. Dans l'Angleterre du XVIIIème siècle, la place de la femme n'est pas des plus enviables, mais Amy défend haut et fort ses valeurs. Une héroïne fièrement engagée ! ✊

Si la première partie m'a hapée dès les premières lignes, la seconde moitié m'a moins convaincue dû un manque de rythme. Cependant le roman est très court donc il se lit tout de même très vite. Cela n'en reste pas moins une agréable lecture qui a su me divertir. Il ne restera pas à terme dans ma mémoire, mais cela fait du bien aussi parfois de lire des histoires plus légères. N'êtes-vous pas d'accord ?

⚡Un court roman entre malentendus et faux semblants et entre romance et aventure.

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Une romance historique. l'histoire ne m a pas emballée malgré un peu de suspense

Je ne suis pas une fan du genre, je m'accorde néanmoins quelque romance de temps à autre lorsque mon petit coeur a besoin de tendresse, mais j'admets me lasser très vite et j'ai tendance à éviter ce genre que je trouve souvent naïf et dégoulinant de bons sentiments...
Ici, j'ai été attirée par le titre et le résumé que je trouvais romanesques et prometteurs, malheureusement je n'ai pas été totalement séduite par le contenu. J'ai été déçue que cette correspondance n'ai pas occupé une place plus importante au sein du roman. L'intrigue ne m'a pas réellement tenue en haleine, c'est trop rocambolesque pour moi, je n'ai pas "cru" à cet enchaînement d'évènements où les coïncidences se succèdent. La romance entre Amy et Mr Clenneth est quant à elle plutôt réussie, le personnage d'Amy est attachant, en revanche, celui d'Henry Clenneth m'a moins convaincue, j'ai eu un peu de mal avec le côté parfois "guimauve" de ce gentleman au premier abord si fier et distant...
Malgré tout, c'est une romance qui se laisse lire et qui fait passer un bon moment, la plume de l'auteure est agréable et c'est probable que les amateurs du genre y trouvent leur compte, pour ma part la magie n'a pas opérée et je n'en garderai pas un grand souvenir.

Challenge ABC 2019/2020

J'ai passé un bon moment de lecture. Cependant, ce n'était pas l'emballement non plus malgré que j'aime beaucoup cette époque là (18e siècle). Je me suis sentie un peu bousculée par le passé d'Henry, l'histoire d'Edward, les pirates... un peu comme une impression de lire plusieurs histoires sans en connaître la fin. Mais j'ai tout de même aimé ces personnages féminins qui s'instruisent d'elle-même, qui se foutent d'une certaine façon du regard de la gent masculine. Elles ont du caractère, une jolie personnalité pour certaines, et on aimerait tous avoir des amis comme Mr. Elias.