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sur 101 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Paris 1880, Zélie apprend la peinture dans un milieu réservé aux hommes. Elle rencontre le commissaire Alexandre d'Arbourg qui lui demande de faire le portrait de sa nièce. Il lui demande de lui servir d'oeil et d'oreilles pour ses enquêtes, elle n'a pas d'autres choix que de le faire, il connaît son secret.
Lu en entier mais pas d'intérêt particulier.
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La peintre et le commissaire enquêtent...


Paris, 1880, Zélie Murineau apprend le métier de peintre à l'Académie Julian, le premier atelier à ouvrir ses portes aux femmes. Elle est talentueuse mais les études à l'Académie coûtent cher et elle a commis un délit pour financer celles-ci.

Quand Alexandre d'Arbourg, commissaire au Palais-Royal, lui commande un portrait de sa filleule qui sera pour elle l'occasion de surveiller aussi l'entourage de son cousin, qu'on a tenté d'empoisonner, elle se demande s'il s'agit d'un chantage. Elle ose pourtant exiger de lui qu'en contrepartie il enquête sur la disparition de l'enfant de Rosalie, la nourrice dont elle fait le portrait.

Porté par la personnalité des deux enquêteurs, le lecteur est entraîné des beaux quartiers de Paris aux bas-fonds des faubourgs. Il découvre alors une peinture convaincante et pertinente de la société de l'époque, en particulier de la condition des femmes et des enfants qui n'avaient rien d'enviables.
Ce roman, historique et policier, évoque grandement le monde de l'art. On y croise des artistes qui ont vraiment existé : Marie Bashkirtseff, Rodolphe Julian, Louise Catherine Breslau, Alphonse Allais, Edgar Degas,… Quant à Zélie, elle est fortement inspirée d'Amélie Beaury-Saurel dont le pastel « Dans le bleu », vu par l'auteure au musée des Augustins à Toulouse, est à l'origine de ce roman.
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Merci à Masse critique pour l'envoi de ce livre.

Cet ouvrage m'a attirée par l'originalité du tandem de personnages
principaux : une femme peintre, un commissaire. le contexte historique
était également intéressant : l'aube du 20ème siècle à Paris, du côté
d'une femme artiste.

J'ai trouvé la lecture historique agréable ; on sent que l'auteur prend
plaisir à donner vie à cette époque. Par contre l'intrigue policière est
juste "appliquée", je n'ai pas eu de véritable intérêt à sa résolution.
La plus grande frustration, pour ma part, vient du manque d'épaisseur
psychologique des personnages. J'ai plus eu l'impression d'une galerie
de personnages que d'une histoire où ils interagissent véritablement
(les filles de l'atelier par exemple). A cause de cela je ne me suis pas
sentie impliquée dans ce récit.

L'atelier des poisons est un roman plaisant par son côté historique.
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