Satan était un ange

Tres tres decue !!!
Beaucoup de Longueurs, peu de rebondissements,... bref je ne le conseillerai pas. On parle de thriller et de roman noir, pour moi on en est loin mais très loin !
Je m accroche à lire Gieble mais jusqu ici c est la déception. Peut être est ce un mauvais choix de titre ?

Ce livre me laisse partagée entre deux impressions contradictoires, et c'est très désagréable. Je ne peut dire si je l'ai réellement apprécié, ou non. Je ne connaissais pas du tout l'auteur, c'est le premier livre d'elle que je lis, c'est peut-être son style. Détails du pourquoi du comment sans rentrer dans le scéario, la plupart des commentaires le fera pour moi :

Il y a d'un côté le négatif, une fois la dernière page terminée; il me reste en tête une impression globale que toute cette histoire n'est qu'un gros cliché à grosses ficelles, bourré de facilités scénaristiques, de personnages archétypaux, de rebondissements cousus de fils blancs. "Mais bien sûr" étant à peu près l'expression que j'ai dû utiliser une fois le livre reposé sur la table. L'accumulation de toutes ces images est trop improbable et frise l'indigestion !

Mais d'un autre côté, il y a le positif qui, il faut l'avouer, nous est imposé à nouveau à coup de grosses ficelles, qu'on le veuille ou non; l'attachement aux personnages est bien réel, on ne peut qu'être de leur côté et leur espérer un dénouement "qui va bien". On suit leurs péripéties avec intérêt, la tension est bien là (même si on devine facilement la suite), et malgré le fait que tourné autrement cela pourrait juste devenir deux beaux salopard, et bien non, on les aime tels que présentés là, parce que tout est fait pour. Et c'est agaçant, car en tant que lectrice, je me suis sentie prise au piège des volontés de l'auteur, pieds et poings liés sans autre choix que de ressentir de l'empathie pour ces deux types que tout oppose. Et puis, il faut l'avouer, le meilleurs aspect du livre reste la psychologie de ce malade oscillant sur la corde raide, qui, elle, est extrêmement bien rendue même si répétitive par moment (il fallait bien enfoncer le clou pour qu'on compatisse...).

Alors, finalement, aimé ou pas ? Je regrette presque la lecture, mais sans pouvoir consciemment dire que c'est un vrai mauvais livre. Ca manque de subtilité, c'est certain, mais ça se lit d'un trait, en bon divertissement, dès lors qu'on ne cherche rien d'autre. A la limite du roman de gare.

Ceux qui me connaissent savent que j'ai des insomnies sévères ou lorsque mes nuits sont complètes je dors en moyenne entre 5 et 6h max. Cela me permet de prendre les poches dans ma pal et de lire jusqu'à potron minet. Les dernières nuits ont été de cet acabit donc.
Moi qui adore les romans de Giebel j'ai vraiment été déçue par Satan était un ange (et c'est la 1ère fois). Oui on tourne les pages facilement, on entre dans l'histoire mais je ne l'ai pas trouvé crédible, je n'ai pas du tout été sensible aux personnages et à leurs histoires. J'ai été touché par endroits mais pas en général. François, avocat, sur de lui et satisfait de sa vie, vient de découvrir qu'il a une tumeur inopérable et que ses jours sont comptés alors il fuit droit devant, il ne dit rien à sa femme, ni aux collègues. Il prend juste sa bagnole et se barre. Sur la route, il rencontre Paul, un jeune malfrat pour qui il se prend d'affection mais il est loin de se douter à quel point Paul va bouleverser sa vie et ébranler ses convictions les plus profondes. C'est un road movie, une recherche identitaire, une quête du bonheur. Voyez comme je l'écris même moi je trouve ça intéressant ! Mais... non je n'ai pas adhéré ! Pô graffe, ça arrive... bon allez je vais me recoucher !

Bonjour !
Très déçue par cet ouvrage que j'ai pourtant lu jusqu'au bout
L'intrigue est pourtant sympa mais cette violence froide et gratuite ça ce n'est pas du tout à mon goût..A oublier très vite
Belle journée
Hélène

Dans le style, j'ai une préférence pour Grangé, plus rythmé. L'idée du road trip est sympa mais un des personnages principaux manque -à mon sens- de matière.

Contrairement à mes autres lectures, il m'a fallut du temps pour m'attacher aux 2 principaux personnages et à l'histoire dont le rythme n'a prit de l'aillant qu'à mi chemin.
C'est l'histoire d'un avocat atteint d'une tumeur au cerveau et qui ne lui reste plus beaucoup de temps à vivre. Au moment de sa fuite de sa réalité, il prend un auto stoppeur qui s'avère être un jeune malfrat...
Bref, l'histoire est limite peu intéressante et je trouve que l'auteur est passé à coté d'un roman qui aurait pu être plus que ça si seulement son introduction était plus intense et que le personnage de Florence avait plus d'importance.

Une fois de plus je vais aller contre l'avis du plus grand nombre ... tant pis je me lance.
Tout d'abord, ce n'est absolument pas un thriller ! Plutôt un polar en fait.
Je me suis forcée à le finir par respect pour les personnes qui me l'ont gentiment offert en se laissant berner par le titre et la quatrième de couverture.

En réalité ce road trip est creux, sans suspense, et bourré de clichés.
Nous avons un gamin paumé et un bourgeois mourant qui font équipe. le bourgeois est bien utile car sert de vache à lait pendant tout leur périple. (Il est vrai que si Paul avait croisé un François en Twingo et vivant du smic, un type normal quoi, l'aventure aurait été beaucoup moins marrante j'imagine ...)

On a aussi un flic ripou sans scrupules, et bien sûr des mafieux marseillais avec des pseudonymes tous plus ridicules les uns que les autres pour que ça prenne un air d'Italie : Marco pour Marc, Riccardo pour Richard, Enzo, Bruno, et même Paulo pour Paul. Étonnant que le vieux Gustave ne soit pas renommé Gustavo ! Oh là la !

Pour avoir un peu d'originalité et d'action, il faut attendre le chapitre 19, juste après le récit de la courte vie misérable du jeune Pavel alias Paul.

Bref, zéro frisson pour moi, et une fin sans surprise : les "gentils" au soleil et les méchants morts.
Je pense être restée sur le bas-côté à regarder la BMW passer devant moi sans s'arrêter ...
PS: j'ai sauté toutes les citations des Fleurs du mal. Aucun intérêt pour moi.

Ce sera le début d'un road-movie étonnant et effrayant, François, Paul, la Mort et quelques autres voyageurs peu recommandables...

J'ai achété ce livre suite à ma rencontre avec Karine Giebel à Saint Maur en poche , suite aussi à ma lecture de son livre juste une ombre celle ci disait que le thriller s'était imposait à elle et en lisant son précédent livre je me suis dis que c'était un bon choix .

En lisant le résumé ayant lu autre chose d'elle je m'attendais pas à ce genre de livre que j'ai trouvé plus centré sur une histoire d'amitié . Celui ci se lit facilement mais ne surprends guere et la fin m'a laissé comme un gout d'inachevé .

Le lire pour l'histoire d'amitié

Je découvre cette auteure avec ce livre , il s'agit d'une première déception pour moi.
Je n'ai pas spécialement adhéré à l'histoire, et je me suis peu ennuyée avec ce premier livre ...rien d original je trouve ! Je vais quand même essayer d en lire un autre pour ne pas rester sur un échec !

Un road trip au rythme effréné, deux personnages que tout oppose, des informations distillées au compte goutte, des rebondissements haletants.... on pourrait dire que tout y est pour faire de ce roman un excellent polar. Pourtant, GIEBEL m'avait beaucoup plus convaincue avec "Meurtres pour rédemption" et "Le purgatoire des Innocents", d'un niveau bien supérieur...... Une bon moment de lecture (pour se détendre pendant les vacances) quand même malgré le manque de crédibilité de cette épopée meurtrière.....