Le bazar du zèbre à pois

Alors que j'avais beaucoup apprécié la lecture de « Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n'en as qu'une » de Raphaëlle Giordano, j'ai trouvé la lecture du roman « le bazar du zèbre à pois » décevante.
Malgré un titre Original, une couverture qui attire l'oeil, des bonnes idées ainsi qu'une conclusion optimiste porteuse d'espoir sur la capacité de chacun de pouvoir trouver sa place et croire en ses rêves. J'ai trouvé que ce roman manquait de profondeur. On comprend tout de suite où l'auteur veut nous emmener, ce qui crée une lecture simple et sans surprise.
Je suis désolé d'être passé à côté de l'histoire. Mais je sais que ce livre trouvera son public.

J'ai choisi ce livre surtout pour sa couverture flashy que j'aime beaucoup, pour son titre un peu loufoque / sympa et aussi parce qu'il pouvait rentrer dans un challenge que je fais avec des ami(e)s. Et comme je n'avais encore jamais lu de livre de la fameuse Raphaëlle Giordano, je me suis dit que c'était l'occasion. Eh bien, pour le coup, j'aurais dû y réfléchir à deux fois. Je demande pardon d'avance à tous les fans de cette auteure, mais je n'ai pas franchement apprécié. L'histoire est cousue de fils blancs. Pratiquement dès le début, on sait déjà comment cela va se terminer. Moi qui aime les suspenses, je me suis bien ennuyée. de plus, tous les sentiments sont exacerbés. Les bons sont tellement gentils et pétris de bonnes intentions et les méchants caricaturaux au possible. Très peu de nuances au niveau des personnages et de l'histoire. Vous rajoutez là-dessus, des préceptes de bienveillance, de bien-être, de réussite de sa vie intérieure avec une foule d'idées positives tout au long du livre, vous finissez la lecture, englué dans de la guimauve et des bisounours plein les yeux. Bref, vous l'aurez compris je n'ai pas accroché. Même si les personnages sont sympas et l'écriture agréable. Je me suis ennuyée. Même pas envie de vous parler de l'histoire, voir le résumé de l'éditeur qui en dévoile beaucoup trop à mon goût. Pour les amateurs de Raphaël Giodarno, pour les autres, passez votre chemin.
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Troisième roman que je lis de cette autrice.
J'avais bien accroché à son premier "Ta vie commence quand tu comprends que tu n'en n'as qu'une", malheureusement pas au suivant "Le jour où les lions mangeront de la salade verte" et c'est la même chose pour celui-ci.

Je me suis ennuyée. Beaucoup.

Le titre est encore une fois sympathique. La couverture orange attire bien l'oeil. Mais pas le contenu.

Cette boutique qui contient tout un tas d'objets insolites, qui ne servent à rien à part à faire réfléchir. Utiliser les deux côté de son cerveau à moins d'être ambidextre du cerveau. le mien était en mode éteint.
Je n'arrivais pas à imaginer ces objets ! (Ou pas envie).

Je crois qu'en fait ce qui m'a manqué c'est trop d'explications techniques sur les objets et pas assez de développement sur les personnages et leurs relations.
Les transitions sont trop abruptes.
Telle que la relation entre Basile et la journaliste. Ils sont ensemble, se séparent d'un coup et on entend plus parler d'elle !
Il en va de même pour Paul et Madame Civillissime.
Rien est abouti ! 🤨
Pour moi, c'est un roman bâclé ou bouclé trop vite pour être moins sévère.

Sur la fin du livre on retrouve les mots inventés par l'autrice et les idées de développement personnel à mettre en place pour une pensée positive.

Je laisserai ses prochains romans sur le côté pour me consacrer à des romans qui me correspondent mieux.
Le côté positif c'est qu'il sera vite oublié !

À vous de vous faire votre propre avis.

Basile inventeur hors-norme ouvre une boutique « le bazar du zèbre à pois ». Vont entrer dans sa vie Arthur et Giulia tout aussi hors-norme mais qui ont encore besoin de se découvrir.

Un roman feel good, avec les recettes habituelles, et les bonnes paroles pour que tout ailles bien. Je n'ai pas été emballé par le livre. Il est sympathique certes, mais un peu facile comme beaucoup de roman feel good où tout tombe toujours tout cuit dans l'assiette.
Les lignes et l'évolution des personnages sont évidentes et il n'y a aucune surprise.
Les gentils restent gentils. Les « méchants » prennent conscience de leur esprit fermé et s'ouvrent comme par magie vers les gentils.
C'est un peu caricatural.
Tout est parfait et lisse. L'adversité ne dure jamais longtemps. C'est un peu moralisateur à mon goût. Je comprend le succès des feel good mais les recettes sont un peu trop souvent les mêmes.

Ce roman m'avait été particulièrement recommandé, notamment pour son côté optimiste et plein de gaieté, mais ce qu'il en ressort de ma lecture, c'est que décidément trop de bons sentiments tue le bon sentiment ! C'est bien simple, ce livre est ennuyeux, que ce soit au niveau de son scénario, qui se déroule sans surprises ni climax, ou dans les événements avec un certain potentiel scénaristique qui se produisent finalement en hors-champ. Et c'est bien là l'enjeu du problème : aucune péripétie et très peu de tension dramatique, des personnages sympathiques mais lisses, et finalement un ensemble très convenu et fade.
C'est bien simple, tout se passe bien autour de Basile Véga : des problèmes d'argent avec la banque ? Pas de problème pour acheter de nouvelles inventions en tout cas, ou se permettre d'en offrir l'utilisation gratuitement en libre-service dans le magasin ! Un ado qui se retrouve susceptible d'être condamné par le tribunal des enfants ? Bien évidemment, on va trouver une faille juridique et mettre les scènes complexes en off screen ! Une jeune maîtresse un poil collante ? de toute façon, elle disparait dans un chapitre, alors…
J'ai aussi noté un usage très questionnable du multi-pov, surtout quand il s'agit de dérouler un fil aussi mince : par exemple, l'idée de développer le personnage de Louise, la trouble-fête, pouvait paraître une bonne idée au départ, mais quel intérêt alors de donner plusieurs pov à son chien, surtout si en fin de compte l'un des interlocuteurs principaux de Louise, Paul, dispose lui-même de ses povs à partir d'un certain moment ? Bref, j'en attendais bien plus, et je considère en somme que c'est tout juste bon à être adapté pour un tv film gentillet de France3 ou de TF1. Mais pour un roman, non, j'en attendais bien plus !

Déçue !

J'avais apprécié les précédents livres de cette auteure, mais là... Rien ne se passe ! Une histoire banale, des personnages creux, des évidences confinant aux clichés.

A la lecture du titre, " le bazar du zèbre à pois", je m'attendais à ce que soit développées les différences et perceptions des personnes HPI dans notre société. Mais non !

Et puis ce mielleux antagonisme entre les gentils d'un côté et les méchants de l'autre, pour finir sur un "happy-end" feel-good où les gentils rallient les méchants à leur cause... Quel manque d'originalité !

Bref, j'ai trouvé ce roman plat et non abouti...

Tout juste divertissant, un peu niais, une fin simple et téléphonée.
Pas de grande surprise dès le début on voit où nous allons atterrir, quelques longueurs inutiles à l'histoire.
Ça ne me donne pas envie de découvrir les autres romans de l'auteur, je l'ai découverte à travers ce titre.

Livre suggéré par une amie mais pour lequel je n'ai pas du tout adhéré….
Sortir du cadre, laisser parler son imagination, faire fonctionner son cerveau droit celui de l'intuition et de l'émotionnel, ne pas hésiter à se mettre en danger et changer sa vie….
Cela part d'un bon sentiment, Basile Vega, après avoir pas mal bourlingué et réussit sa vie professionnelle, mais pas familiale, installe sa boutique dans un petit village « le bazar du zèbre à pois » où il vend mais aussi met à disposition de drôles de machines de son invention, des boîtes à réflexion etc
Il croise la route d'un ado Arthur un peu en difficulté scolaire mais doué d'un côté artistique non reconnu et même arrêté pour ses street art qui dérangent
Arthur a une maman Giulia, nez, mais qui s'ennuie dans sa profession restreinte de parfumeuse de désodorisant corporel.
Le décor est planté, lancez les violons et allumez les chandelles !!!
J'ai été sérieusement jusqu'à la page 375 et ensuite j'ai survolé tellement je m'ennuyais… 😌

Encore un livre sur la façon de prendre la vie!
tout y est et merci pour le positivisme! c'est toujours bon de rappeler que tout est possible lorsqu'on s'entoure des bonnes personnes et que l'on a l'audace de croire en soi!
je n'ai pas terminé ce livre non parce qu'il est mal écrit ni parce que l'histoire m'a déplue! juste parce que déjà vu et entendu. rien de nouveau!

Après m'être ennuyé pendant 100 pages, j'ai cloturé ce navet. Les lecteurs en recherche de littérature " développement personnel" doivent oublier ce genre de littérature niaise, avec une morale à deux sous. Passez, oubliez !!!.................................