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3,54

sur 1820 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Un roman d'été, qu'on lit sur un transat ou une plage.
De bons sentiments, une histoire qu'on débute et dont on s'imagine très vite la fin...
Quelques faiblesses : les termes "burneries", "burner", etc... en veux-tu - en voilà... Grrr.... cela m'a un peu agacé.
Quelques bonnes réflexions à se faire en ce qui concerne le comportement humain, c'est vrai. le fond est bon, mais un peu moralisateur et un peu "accrocheur", un peu beaucoup aussi à la mode en ce moment. Voici ce qu'on appelle un livre feel-good, mais pas très approfondi cependant.
J'ai emprunté ce livre à la bibliothèque et cela me suffit. Pas d'achat en vue, pas de relecture. Juste un bon moment à passer en ce qui me concerne...
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Roman Gardener a monté une entreprise de coaching pour les personnes atteintes d'un excès de burnerie.
Au début, je croyais que cela avait quelque chose à voir avec le burn-out.
Pas du tout, elle s'adresse aux personnes qui sont trop burnées comme les burnes tout simplement.
Des êtres qui prennent trop de place, étouffent leurs proches ou leurs employés.
Elle a appelé sa société Sup' de burnes.
Romane donne des conférences et organise des stages. Maximilien Vogue, responsable d'une société internationale participe sur le conseil de sa secrétaire à un de ces stages qui, on peut le dire sont très "bon enfant" même si les animations ne sont pas stupides.
Il va donc tenter de saboter les activités et pourtant y participer.
On se demande ce qu'il fait là, sinon draguer la jeune animatrice, Romane.
J'ai trouvé le roman trop simple, trop naïf.
Une personne bourrée d'égo étouffant ne le lira pas et une autre le lira en étant déjà convaincue.
Par contre "convaincue"je ne l'ai pas été du tout , à moins de lire le roman avec beaucoup d'humour tout en évitant d'appliquer ces recettes trop " gentilles".
Du respect, il en faut, certes mais du réalisme et de l'aplomb aussi.
Je connais quand même la raison pour laquelle j'ai été moins sensible au livre.
Tout au long de ma profession d'institutrice et des mes études en sciences de l'éducation, nous avons bénéficié de nombreuses formations afin de travailler en équipes et j'ai retrouvé la majorité des préceptes vus à ce moment.
Je crois que j'étais trop en terrain connu donc un mauvais public pour l'auteure.
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Mouais... Une lecture détente, histoire de se changer les idées entre deux thriller, mais rien de plus.
C'est le deuxième roman que je lis de Raphaëlle Giordano et j'ai l'impression de relire le précédent mais avec d'autres personnages. Comme si l'auteure choisissait un thème à aborder et tissait un semblant de roman autour, histoire de véhiculer l'idée de base...
Car oui, les livres de Raphaëlle Giordano sont plus des guides, des manuels avec des méthodes de développement personnel à reproduire chez soi que de véritables "romans". Je me suis donc assez vite ennuyer.

Romane, jeune trentenaire, a créer son entreprise anti-burnerie. Mais qu'est ce que la burnerie? Ce sont nos petits comportements qui embêtent notre entourage pro et/ou perso. En gros : nos défauts. Comme l'audace, la persévérance au travail, la jalousie, l'impolitesse, bref tout y passe et c'est franchement lourd, surtout quand dès les premiers chapitres l'auteure vous bombarde de mots burnés : burnerie, comportements burnés, Sup' de Burnes, burnobook, penchants burnés, burnerie, rhaaaaa c'est énervant ! Ce mot revient 5 fois par pages et ça m'agace.

J'ai l'impression que l'auteure vie dans un monde de bisounours et cette lutte contre la "burnerie" devient vite grotesque.
La seule chose que j'ai apprécié pendant ma lecture c'est la relation que développe Romane avec son client Maximilien. Leur petite histoire d'amour naissante et la secrétaire de celui-ci qui est visiblement jalouse. Mais évidemment c'est avant tout un livre de développement personnel, pas de temps à perdre avec les histoires d'amourettes.

Bref, maintenant que j'en ai fini avec ce livre, je crois bien que cela signifie que j'en ai aussi terminé avec cette auteure.
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Un roman de développement personnel qui se lit très rapidement mais qui est tout de même cousu de fil blanc dès le début on se doute fortement de la fin.

Romane jeune femme trentenaire a créer sa société Sup' de Burnes ou elle fait des ateliers/sessions afin d'aider des personnes atteintes de ce qu'elle nomme la burnerie.

Romane fait son possible pour que ces participants puissent voir la façon dont il se comporte au quotidien afin que ceux-ci puissent se remettre en question et changer de comportement.

Ces travers pouvant se manifester dans divers milieu comme au travail, en amour, dans le cadre familial. Il y a dans cet atelier tout type de profil de l'homme qui s'est séparé de sa femme à la femme qui étouffe son fils en voulant diriger sa vie.

Maximilien fait également parti de cet atelier, il est Pdg et il a été élevé dès son plus jeune âge à la dure ce qui explique en partie son comportement au sein de son entreprise.

Les chapitres courts sont très agréables à lire et les pages se tournent toutes seules, un livre au croisement entre roman et conseil de développement personnel.
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Je pense que l'auteure a voulu surfer sur le succès de son roman précédent, que j'avais d'ailleurs beaucoup apprécié. C'est un peu facile.
L'histoire est gnon gnon, les personnages caricaturaux, et on devine la fin dès les premières pages. Je trouve que cette histoire de lutte contre la « burnerie » est un peu grotesque.
D'habitude j'aime bien les romans feel good, mais là c'est un peu trop pour moi.
Aussitôt lu, aussitôt oublié.
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Raphaëlle Giordano est une auteure spécifiquement connue pour ses ouvrages de développement personnel. Elle a connu le succès avec son livre Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n'en as qu'une, longuement plébiscité par les critiques, qui était un roman de développement personnel avec pleins d'exercices pratiques à mettre en place pour retrouver la paix intérieure et le bonheur.

Dans le jour où les lions mangeront de la salade verte, l'auteure s'attaque aux comportements burnés, c'est-à-dire aux personnes qui s'énervent facilement, manquent de tact, sont trop égoïstes, et j'en passe. C'est le cas d'un patron d'une grande entreprise de cosmétiques, qui néglige ses employés et se montre trop autoritaire et tyrannique avec eux. Sa soeur jumelle et sa secrétaire lui glisse alors subrepticement le prospectus vantant les mérites de Sup' de Bunes, la société créée par Romane pour faire changer ces comportements. D'abord réticent face à cette idée, il décide finalement de faire plaisir à ces deux femmes et de tenter l'aventure…

À ses côtés se trouvent tout un tas de personnes très différentes, qui viennent pour des motifs qui le sont tout autant : un mari dont la femme l'a quitté en raison de sa négligence ; une mère qui a perdu son fils, parce qu'elle n'acceptait pas le fait qu'il souhaitait devenir cuisinier ; un patron abusif avec ses employées femmes, etc. Que ce soit dans le cadre personnel ou professionnel, Sup' de burnes est là pour les aider.

À travers ses stages et ses exercices pratiques, Romane change, doucement mais sûrement, les comportements de ses élèves. Sa première réussite : son père, le roi de la burnerie, qui a réussi à changer drastiquement de comportement suite au décès de sa femme, la mère de Romane. Cette dernière s'est donc lancée dans cette aventure, avec l'intention de venir en aide au plus grand monde.

C'est une lecture plaisante, qui se lit facilement et avec laquelle on passe quand même un bon moment. Néanmoins, les personnages sont extrêmement stéréotypés : on a le riche beau goss qui se croit supérieur à tout le monde, qui va tomber amoureux de la prof, qui elle-même se laissera séduire par le charme de son élève. C'est mièvre, naïf, digne d'un mauvais roman pour adolescents… et plus cliché que ça, difficile à trouver !

Enfin, on a du mal à croire à la transformation qui se joue sous nos yeux. Il faut dire que ces personnes, qui viennent pour le stage, bien qu'assez motivées, partent de très loin. Et elles se retrouvent totalement transformées à la fin du livre, baignant dans un monde de bisounours, avec seulement quelques heures de stage et quelques exercices pratiques (difficiles à croire, aussi !). L'idée était bonne, mais elle est mal amenée et assez mal couchée par écrit. Mention spéciale pour son entreprise, prénommée « Sup' de burnes », qui m'a donné des sueurs froides tant je l'ai trouvé ridicule et pathétique. Comment prendre ça au sérieux ? J'en ai vite eu ras le pompom de ces mots inventés (« burneries », « comportement burné »…) balancés au travers de chaque page !

Un roman de développement personnel pour combattre les comportements burnés (égoïstes, autoritaires,...). C'est une lecture plaisante, mais les personnages sont stéréotypés et les situations plutôt invraisemblables et terriblement mièvres. Digne des romans Harlequin, avec le côté travail sur soi en plus !
Lien : https://analire.wordpress.co..
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Merci à Audiolib pour cette lecture audio gratuite…
Celles et ceux qui me suivent savent que la romance, le feel-good et tout ce qui touche au développement personnel ne m'attire pas particulièrement…
Mais je suis plutôt curieuse et, parfois, je m'égare…
Quel titre ! le jour où les lions mangeront de la salade verte… J'avais vaguement entendu parler d'un autre livre de Raphaëlle Giordano au titre encore plus long et évocateur, Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n'en n'as qu'une.

Les lions personnalisent les hommes et les femmes qui ne s'embarrassent pas de délicatesse. Sûrs de leur bon droit et de leur supériorité, ils ou elles imposent leurs vues sans conscience de leur égocentrisme et de leur appétit excessif pour les rapports de force. Ces lions, nous les croisons tous les jours : automobiliste enragé, conjoint gentiment dénigrant, chef imbu de pouvoir, mère intransigeante qui sait mieux que personne ce qui est bon pour nous...
L'héroïne de ce roman a donné un nom à ces différentes attitudes : la « burnerie ». Elle en a même fait une carrière professionnelle en créant avec son père une société de coaching pour accompagner ces félins mal embouchés vers davantage d'humanité à l'aide d'un programme unique en son genre, véritable relooking intégral de posture et de mentalité.
Raphaëlle Giordano nous propose de suivre un groupe de spécimens particulièrement « burnés » dans leur démarche de changement, égrenant à la fois différents parcours vie et de « burnerie » et les techniques et méthodes mises en oeuvre pour les faire évoluer.
Naturellement, l'héroïne est une belle trentenaire passionnée par son travail et, parmi les participants à ses ateliers, figure un homme charismatique et séduisant, PDG d'un grand groupe et véritable archétype de tous les travers qu'elle combat…

Je reconnais que certains passages sont drôles, bien observés, illustrant à merveille des situations vécues certainement par bon nombre de lectrices et lecteurs… J'ai pu être sensible à l'éloignement entre deux jumeaux, à des relations père-fils difficiles, à des problèmes familiaux ou de couple et à des situations professionnelles éprouvantes. Mais, j'ai fini par trouver l'ensemble un peu long et répétitif, même si les différentes activités proposées par la coach sont assez parlantes et efficaces.
Dans cette version audio, lue par Léovanie Raud, plusieurs choses m'ont gênée ; la lectrice change un peu trop sa voix pour passer d'un personnage à l'autre et c'est un peu trop sur-joué à mon goût. En outre, les chapitres sont tous introduits par un jingle musical qui a vraiment fini par me taper sur les nerfs ; tout au plus servait-il à me réveiller si, écoutant ce livre le soir dans mon lit, je finissais par m'assoupir d'ennui…
Des péripéties cousues de fil blanc…
Un milieu bobo chic...
Un happy-end prévisible…

Une romance feel-good pour les amateurs du genre, mais vraiment pas pour moi !

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Au début, j'ai apprécié le côté humoristique de ce livre et peut-être certaines situations ont pu porter à reflexion mais très vite le manque de subtilité sur l'étude "burnerie" m'a ennuyé voire agacé par l'emploi abusif de ce terme.
Reste la romance convenue mais distrayante l'été sur la plage.
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Lecture très agréable de cette autrice. Je l'ai nettement préféré à son premier roman. Peut-être parce-que pour cette lecture je me suis passée d'à priori.
En effet, pour son premier livre j'avais lu beaucoup de critiques élogieuses et j'ai vraiment été déçue. Ici, j'ai volontairement fais abstraction des autres avis.
J'ai bien aimé cette conotation roman feel-good et cette jolie idée de Sup' de Burnes.
Globalement, j'aime ces lectures où on essaye de montrer aux gens que la bienveillance peut réellement être une vraie philosophie de vie. Si seulement plus de personnes pouvaient s'en convaincre.
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J'avais beaucoup aimé le premier roman de cet auteur "Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n'en a qu'une". J'ai été déçue par ce deuxième roman à l'eau de rose, cousu de fil blanc.
Cette histoire m'a un peu rappelé les livres de la collection Harlequin que je lisais sur la plage quand j'étais ado.
J'espère que le prochain sera à la hauteur du premier qui m'avait beaucoup apporté et fait réfléchir.
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