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3,53

sur 1818 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Un déballage de bons sentiments. Une énumération de principes, on ne peut plus convenus, sur le développement personnel (sujet qui, par ailleurs, ne me passionne pas plus que ça...). Des caractères de personnages relevant de stéréotypes vus, revus et rebattus. Sans surprise, dès les premières lignes, j'avais deviné la fin.

Et, à toutes les pages, un foisonnement de ces termes assommants par leur redondance : burné, burnerie, déburnerie, burnage... Jusqu'à ce stage de développement personnel que l'auteure - dans un style : je m'encanaille - a trouvé couillu et drôle de baptiser : Sup' de Burnes.

Force est de constater que ce type de littérature, dépourvue de créativité, développant un schéma et des personnages platement identiques d'un roman à l'autre, a toujours existé.
Autrefois, on appelait ça des "romans de gare" et, même s'ils rencontraient un certain succès commercial, leurs auteur(e)s n'avaient guère de prétentions et s'accommodaient de rester dans l'anonymat.
Aujourd'hui, les signataires de cette même prose insipide, facile et paresseuse, ont des ambitions. Ils, et surtout elles, se revendiquent pompeusement "écrivains" tenant à être reconnus en tant que tels. Car je déplore sincèrement de remarquer que ces auteurs sont en grande majorité des femmes. Un peu de modestie, mesdames, vous êtes bien loin des George Sand, Colette, Agatha Christie, Jane Austen, Marguerite Yourcenar et tant d'autres ! Lesquelles, admettez-le, mettaient dans leur travail d'écriture, une exigence, une passion et une humilité dont vous semblez bien dépourvues.

Mais bon... à une époque où la célébrité est accessible à des filles siliconées et des garçons bodybuildés - les uns comme les autres affublés d'un QI d'huître et brandissant en étendard leur ignorance crasse - on ne peut vous en vouloir, face à cette mare grouillante d'imbécillité, de nourrir un petit complexe de supériorité.

Je me suis un peu emballée, là... non ? Pardonnez mon agacement qui n'est pas uniquement imputable à Raphaëlle Giordano mais intervient à la suite d'un certain nombre de romans du même type (la plupart des best-seller) que j'ai eu l'occasion de lire ces dernières années. D'où ce petit coup de gueule.
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J'avais apprécié le précédent roman de Raphaëlle Giordano "Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n'en as qu'une" et ce livre a donc logiquement rejoint ma PAL.

Pioché par Tbilissi pour le pioche dans ma PAL de 07/2018, j'ai donc attaqué sereinement ce livre. Mais j'ai assez vite déchanté.
Je classerai plus ce roman dans la catégorie roman à l'eau de rose que développement personnel.

La rencontre d'un riche homme d'affaire"burné" et d'une femme qui a monté sa boîte pour "déburner" les personnes qui en ressentent le besoin.
Une personne burnée étant quelqu'un qui peut-être agressif, directif, égoïste ...au boulot, en voiture ou chez lui avec ses proches.
On voit tout venir de très loin.
Il se lit vite et s'oublie vite.
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Découvert en version audio. Une voix très agréable qui a fait le maximum pour rendre le récit vivant et intéressant.

Mais ça n'est vraiment pas passé.
Plusieurs reproches :
- le scenario trop prévisible
- l'emploi excessifs de termes tapageurs : burnerie, sup de burnes, burné, déburnerie, burnage... J'avoue avoir vraiment saturé. En plus, je trouve les termes pas terribles.
- des personnages plutôt creux
- des animations qui s'adressent plutôt à des personnes très aisées. Cela ne m'a pas semblé très réaliste.

Roman Gardener donne des conférences sur la burnerie et dirige une entreprise de coaching qui s'adresse aux personnes trop burnées : comprendre qui ont des comportements étouffants pour leur entourage familial ou professionnel, trop sexistes, des gens qui écrasent les autres par leur comportement.

Roman Gardener a monté une entreprise de coaching pour les personnes atteintes d'un excès de burnerie. Lors d'un stage visant à déburner ces participants, on découvre plusieurs personnages dont Maximilien Vogue qui s'est laissé convaincre par sa secrétaire de suivre le stage. Au début il va jouer le mauvais élève, puis va se prendre au jeu.
La romance bien sûr on la sent venir à 10 kilomètres.

Je me suis vraiment ennuyée mais le gros bémol reste quand même l'emploi excessif, vomissif même de burnerie.




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Je me méfie souvent des titres à rallonge, et bien celui-ci en fait partie. Au bout de 30 pages on comprend la tournure que va prendre le roman et c'est bien dommage, d'ailleurs cette histoire d'amour en est agaçante.
Je suis un peu déçue mais je continue ma lecture car l'écriture est rythmée donc cela se lit vite.
Ensuite le terme de "burnerie" m'a gêné je l'ai trouvé vulgaire et beaucoup trop présent au fil des pages, il y a aussi beaucoup trop de clichés à mon goût.
C'est tout de même un livre qui aborde des sujets intéressants, l'empathie, la bienveillance mais noyés dans l'histoire.
Une lecture divertissante mais qui ne me restera pas longtemps en mémoire.

Je retenterais peut être avec le 1er roman de l'auteure.
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Comme dans "Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n'en as qu'une", Raphaëlle Giordano déguise cet ouvrage de développement personnel en roman et cette fois-ci, cela m'a gênée, j'ai trouvé le roman tellement mièvre, roman "à l'eau de roses" pour midinettes, que cela a enlevé, pour moi, tout sérieux dans les propos à teneur psychologique de l'auteure.
Finalement je ne retiendrai de cet ouvrage que le dernier chapitre, extérieur au roman, intitulé "Petit manuel anti-burnerie" qui reprend tous les principes (rien de nouveau, mais une piqure de rappel ne fait jamais de mal) qui peuvent nous aider à retrouver et développer humilité, tolérance, bienveillance, empathie, sens de l'écoute, générosité, altruisme ... toutes ces valeurs qui nous aident à vivre mieux, à être plus heureux et à rendre les autres plus heureux.
Une lecture que je me suis obligée à terminer (je déteste ne pas achever la lecture d'un livre) mais je ne lirai pas d'autre ouvrage de cette auteure.
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L'auteure a tenu à offrir à ses lecteurs un ouvrage centré sur le développement personnel écrit sous forme de roman. J'avoue que j'ai trouvé le résultat plutôt moyen.
Autant j'ai apprécié "Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n'en as qu'une", autant celui-ci me laisse de marbre.
L'auteure traite de la burnerie, comme elle l'appelle. Ces comportement regroupent toutes sortes de caractéristiques fort désagréables, tels que l'autorité, l'exigence, la jalousie, l'égoïsme. Les personnes ayant des penchants burnés sont centrés sur eux-mêmes, sont intolérants et désagréables à côtoyer au quotidien. On en connaît tous, des gens comme ça !
D'ailleurs, on possède un peu tous des penchants burnés, à différents degrés.
Perso, je ne me suis pas trop sentie concernée par ce roman. Je cultive déjà beaucoup la bienveillance et l'écoute dans la vie de tous les jours. Evidemment, je ne suis pas parfaite et j'ai encore quelques travers qu'il me faut "soigner". Néanmoins, ce livre ne m'a pas franchement été utile. J'ai conscience de mes défauts et j'y travaille.
Quant à la fin du bouquin, avec son espèce de petit suspens, je l'ai trouvée vraiment mauvaise. Pourquoi avoir tenu à tout prix à créer une intrigue à deux balles sur la toute fin de l'histoire ? Certes, il n'y a pas beaucoup de péripéties ni d'intrigue dans le roman, mais c'était plus ou moins attendu. J'ai trouvé que la fin avec Clémence était grotesque.
Bref, je ne dis pas que c'est un mauvais roman, pas du tout ! Je pense que certaines personnes feraient bien de le lire, d'ailleurs ! Simplement, il n'était pas fait pour moi.
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Autant j'ai bien aimé son premier livre, émaillé de petites astuces à appliquer au quotidien pour apprendre à profiter des bonheurs simples autant celui ci m'a vaguement gonflé. Un personnage principal tellement donneuse de leçon qu'elle en a fait son métier tout ça pour fondre devant le premier mec un brin macho qui est sensé représenter tout ce qu'elle déteste. Ceci dit cela illustre assez le paradoxe de la femme qui revendique une parité parfaite, qui refuse les stéréotypes mais qui tombera amoureuse que d'un grand brun protecteur et charismatique. La fin est prévisible à des kilomètres et l'emploi du terme "burnerie" et de toute ses déclinaisons m'ont franchement agacé : c'est moche, limite vulgaire et pour le coup méga sexiste!
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Bon, un roman sans prétention, cousu de fil blanc, sans profondeur.
Une coach de vie prend en charge un groupe avec divers participants qui ont de gros problèmes dont un bad boy fortuné et irrésistible ! Vous avez deviné la fin du livre ?
J'avais lu ta deuxième vie commence... Je crois que l'adage "jamais 2 sans 3" ne se réalisera pas !
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Autant j'avais trouvé son précédent roman divertissant, autant j'ai été déçue par celui-ci.
L'histoire aurait pu être sympathique mais j'ai trouvé qu'il y avait beaucoup de longueurs, de répétitions...et que l'histoire d'amour entre les 2 protagoniste était non seulement prévisible mais n'apportait rien de plus...voire retirer de l'intérêt au livre. C'est davantage une histoire d'amour, traitée de façon relativement niaise, qu'un livre « good feeling » ou de développement personnel. Dommage...
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Commencer l'année avec un roman développement personnel/ feel good, c'est un peu cliché, tout comme l'histoire dudit roman, dont l'intrigue est plus que prévisible. Mais c'est globalement gentil, pas prise de tête, distrayant, un truc de plage au milieu de l'hiver, une lecture légère dans une période de stress/de travail intense/ grise ....

Par contre, côté écriture, j'ai parfois vraiment vraiment eu du mal ! je trouve le vocable "burnerie" inventé assez insupportable et sa répétition plus qu'excessive encore plus !
il y a des phrases ridicules de midinettes, comme : " Ils traversèrent l'île Saint Louis comme des Robinsons : seuls au monde. Non pas perdus, mais éperdus, d'amour bien sûr, dans une forêt vierge de sentiments qui ne demandait qu'à être lentement défrichée. » : ce n'est pas romantique, c'est niais !
Le rythme est lent, on peut presque lire en diagonale, d'autant plus que l'intrigue est pleine de grosses ficelles (au premier quart on sait tout de suite comment ça va se finir). il y a un côté téléfilm étasunien avec le patron goujat, secrétaire amoureuse et dans le concept et contenu du séminaire ...
mouais bon, voilà voilà .. je l'ai lu, mais je ne le relirai pas.
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