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3,72

sur 1108 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Ayant été complètement charmée par le principe d'échange de mails de Leo et Emmi, découvert dans Quand souffle le vent du nord, je ne pouvais qu'être enchantée qu'une suite m'attende. Car Leo et Emmi, sont des personnages avec lesquels on évolue en toute intimité presque en tant que canal commun. le fait même qu'ils nous introduisent dans leurs messages, nous rend voyeurs de leur bonheur.

Ce second tome commence sur un sentiment d'amertume car Emmi n'a toujours pas digéré sa rancoeur suite au départ précipité de Leo à Boston. Là-bas, il y rencontre Pamela avec qui il entame une histoire. de son côté, Emmi entérine la hache de guerre avec son mari Bernhard, pour le bien-être de ses enfants et pour enfin trouver la paix.
Mais le dialogue reprend malgré tout entre les deux qui n'arrivent pas à se quitter. C'est que leur lien virtuel est fort et qu'en deux ans et quelques, ils ont noué une relation basée sur le dialogue et la confiance. On a bien l'impression que leur relation platonique prévaut à leur "vraie" vie. Déjà, les deux se placent au centre, quant aux autres ils gravitent et donnent une échappatoire à leur propre histoire.
Mais on sent une Emmi amère, à l'humour grinçant et qui peut être parfois rancunière. On sent qu'elle n'a pas pardonné à son correspondant épistolaire qui l'a planté aussi bien en face à face que derrière son sempiternel écran. Quant à Leo, il ne sait pas ce qu'il veut. Entrant dans le jeu de l'indécision, des volte-face, du silence, il se fait désirer. Déjà qu'Emmi est particulièrement exaspérante dans son rôle de titilleuse professionnelle, ledit Leo lui rend la réplique à merveille. Ces deux-là sont faits pour s'entendre c'est sûr !
En somme, j'ai découvert dans La septième vague des personnages particulièrement horripilants (ce qui m'avait peut-être distrait au tout départ). On a sans cesse l'impression qu'ils trompent leur monde (Bernhard et Pamela en particulier) et se testent en même temps eux-mêmes. Mais est-ce donc cela le jeu de l'amour?!

Mon impression est ainsi nuancée : d'une part j'ai retrouvé la forme tant aimée (quel bonheur que ces petits mails éparpillés de ci de là au gré de la journée !), d'autre part je me suis heurtée à des personnages de plus en plus infantilisés par leur jeu virtuel.
On voudrait que les coeurs s'emballent et c'est en cela que Quand souffle le vent du nord aurait suffi. Or, ce deuxième volume semble stagner dans un réel brouillard. Y a-t-il une réelle évolution des sentiments? Est-ce que le temps écoulé a permis d'entretenir la passion ou, du moins, le lien amical?
J'en doute car la frustration est grande et il me semble peu vraisemblable de tenir deux ans en vivant à proximité (ou du moins au départ) sans se voir. A l'heure où les gens se fixent des rendez-vous pour le soir même, cette relation perd en crédibilité.
Malgré tout j'ai lu ce second volet en deux jours car oui c'est expéditif et c'est un appel au rêve, à la magie de l'instant. On se plairait pourtant à croire en tout cela et à se dire qu'Emmi et Leo font bien de prendre leur temps, ils n'ont que ça devant eux.

Un bon moment mais cette suite était-elle vraiment indispensable?
La question reste en suspens !
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J'attendais avec une certaine impatience la suite des aventures d'Emma et Léo, la fin du premier tome m'ayant légèrement frustrée. Cependant, mis à part ce détail, j'avais trouvé « Quand souffle le vent du nord » excellent et très représentatif des relations virtuelles qui tournent autour du pot afin de mieux se séduire.

Seulement, ce que j'avais aimé et trouvé « vrai » dans le premier opus, m'a complètement exaspérée dans ce second tome. le truc du « Je t'aime moi non plus » ça finit vite par lasser… Léo est de retour dans la vie d'Emma, on pourrait alors croire qu'ils ont fait du chemin, et pourtant ils sont toujours coincés au même stade. du coup les beaux dialogues plein de finesse de Léo que j'appréciais tant dans « Quand souffle le vent du nord » m'ont donné la migraine dans « La septième vague ». J'avais envie de leur hurler « Mais vous savez ce que vous voulez ?! ».

Le jeu du « Tu me plais mais je ne te l'avoue qu'à moitié » avait du sens dans le premier tome, car il mettait en avant une rencontre sur internet. Ça ne remettait en aucun cas en question les sentiments de Léo et Emma. Ça montrait juste l'évolution normale d'une relation virtuelle, et pourquoi pas réelle par la suite. Par contre, le fait que ce principe persiste encore dans « La septième vague » enlève toute magie à cette rencontre. On a l'impression de se retrouver face à deux personnes qui finalement ne doivent pas être ensemble étant donné leur facilité à se trouver des raisons pour ne pas l'être. La vie à deux les décevrait forcément au bout de quelques mois… Ils semblent surtout fait pour le flirt sur le net afin de rajouter un peu de piquant à leur vie quotidienne monotone. J'ai eu l'impression que Léo aurait eu les mêmes sentiments pour une Claire, Françoise ou Audrey et idem pour Emma qui serait tombée de la même manière sous le charme d'un François, Paul, Sébastien ou Marc…

En conclusion « La septième vague » est un tome décevant qui m'a rendu la fin de « Quand souffle le vent du nord » beaucoup plus agréable et moins frustrante après coup !
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"Cher Monsieur Glattauer, je ne sais trop comment vous le dire, mais, voyez-vous, j'aurais préféré qu'il n'y ait pas de suite à Quand souffle le vent du nord. Votre roman se terminait sur une énorme frustration, bien sûr, mais c'était si bon de pouvoir laisser son imagination courir. Las, la pression de vos lecteurs (et lectrices) a été trop forte, vous avez dû vous résoudre à nous conter ce qu'il advenait de Leo et d'Emmi et de leur épistolaire romance. Vous n'aviez pas peur de tourner en rond, en reprenant les mêmes ingrédients, ces échanges de mails tour à tour enflammés, ironiques, désabusés ou mélancoliques ? Si, évidemment, je l'aurais parié. Alors, vous êtes d'emblée passé à l'acte, jetant au sol tout ce qui faisait l'intérêt de votre roman précédent, c'est à dire le désir, le mystère de l'inconnu(e), l'envie de ne pas vouloir savoir et l'irrépressible besoin de souhaiter l'inverse. La septième vague, dans un sens, est moins romantique, plus terre à terre que Quand souffle le vent du nord. Mon côté midinette en a souffert, je le confesse. Je n'avais pas envie de lire vos courriels du coeur. La grande question était auparavant : "Mais vont-ils enfin se rencontrer, nom d'un chien ?" ; dans votre nouveau livre, elle est devenue : "Mais vont-ils enfin vivre ensemble, nom d'une pipe ?" Et cela fait une grande différence, croyez-moi ! Je vous le dis tout net, je regrette cet itinéraire sur la carte du tendre dont vous étiez le GPS. Dans La septième vague, vous donnez de l'importance au mari de l'une, à la maîtresse de l'autre. le coup de la jalousie, on nous l'a déjà fait, Monsieur Glattauer, ce sont des ressorts néandertaliens, je ne marche plus. Et la fin, je ne voudrais pas révéler le poteau rose (sic), mais elle est bien consensuelle, non ? A croire que vous l'avez voulue irrévocable pour qu'il n'y ait pas de suite possible. Remarquez, vous avez bien fait. Ce que je ne m'explique pas, souffrez que j'en termine sur cette remarque, c'est la raison pour laquelle j'ai lu votre roman, une fois encore, d'une seule traite, ou presque. Ce n'est quand même pas de la grande littérature, hein, vous-même le savez bien. Juste une petite histoire d'attraction entre deux êtres, racontée de façon originale et avec esprit. J'arrête là, parce que vous allez croire que j'ai aimé votre livre. Je l'ai juste dévoré et englouti, ce n'est pas pareil. Et je vous en veux toujours d'avoir écrit cette suite. Si, si, je vous assure. Au fait, vous êtes bien certain que l'histoire est terminée ? Non, c'est juste pour savoir si je devais déjà préparer mes arguments au cas où.
Cher Monsieur Glattauer, je vous prie d'agréer l'expression de mes meilleurs sentiments. Et embrassez Leo et Emmi pour moi, merci."
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Suite du roman épistolaire « Quand souffle le vent du nord » impliquant Emmi Rothner et Léo Leike qui à la suite d'une erreur lors de la résiliation d'un abonnement sur internet entament une idylle virtuelle en échangeant des mails. Léo fini par s'exiler aux Etats-Unis ce qui laisse Emmie frustrée de ne pouvoir continuer cette correspondance divertissante, la tirant du marasme de son couple. Dans ce nouvel opus, Léo revient de Boston, dès son retour, il entame à nouveau l'échange de mails pour la plus grande joie d'Emmie. Il lui avoue qu'à Boston, il a rencontré Pamela avec laquelle il envisage une vie de couple établie. Avant qu'il ne saute le pas, Emmie souhaite qu'ils se rencontrent pour de vrai, sachant qu'une fois installé avec sa nouvelle compagne, leur correspondance ne pourra plus vraiment se poursuivre. L'un et l'autre sont indécis quand à leur avenir, le jeu de séduction est toujours aussi présent, mais au fur et à mesure, il devient lassant ! Leurs rencontres successives et les situations sont de plus en plus pathétiques. La fin n'apporte que bien peu de surprises, on la sent venir à des kilomètres, c'est vrai que moi j'envisageais une fin autre! Je savais que je serais déçue par cette suite, la fin du premier me convenait, mais cela n'enlève rien au talent de l'auteur qui sait parfaitement jouer sur les mots et les sentiments.
Lien : http://ma-bouquinerie.blogsp..
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Je me souviens encore comme si c'était hier de toutes les émotions m'ayant assaillis lors de ma lecture de « Quand souffle le vent du nord », un livre que j'avais littéralement dévoré et adoré malgré sa conclusion abrupte, frustrante et poignante. Je m'étais d'ailleurs très vite empressée de me procurer « La septième vague » et avait résisté non sans difficultés à la tentation de le parcourir immédiatement, c'était fin 2011. Je ne pensais pas être capable d'autant de patience mais je ne le cache pas, ma PàL plus que conséquente m'a grandement aidé quant à mettre un temps ce titre de côté jusqu'à ce qu'une tornade du nom de ThyChat me propose une Lecture Commune. Il était grand temps que je me replonge dans l'univers épistolaire liant le charmant Leo Leike à la si complexe Emmi Rothner.


Dans le précédent opus nous avions quitté Emmi après avoir reçu un message du server stipulant que le compte de Leo Leike n'existait plus, c'est donc non sans émotions et dans un état de stupeur que j'avais refermé ce dernier mail. Un point final qui aurait pu être définitif.
Nous retrouvons Emmi quelques semaines puis quelques mois plus tard s'acharnant à envoyer des mails désespérés et remplis d'amertume à Leo malgré les messages négatifs s'évertuant à signaler que le compte de ce dernier est clôturé. Des mails mélancoliques mais néanmoins toujours pourvu d'un certain humour lorsqu'elle s'adresse également au server pour évacuer sa frustration, des messages qui ne resteront cependant pas sans réponses car 8mois plus tard Leo est de retour mais semble avoir bel et bien changé sans toutefois parvenir à mettre fin à leur correspondance et surtout à avoir chassé totalement Emmi de ses pensées. C'est ainsi que débuteront de nouveaux échanges qui chambouleront une fois encore leur existence.

Comme le tome précédent je me suis retrouvée une fois encore piégée par ces échanges épistolaires. Une lecture toujours aussi addictive que j'ai englouti cette fois-ci en une soirée, on peut dire sans hésiter que le principal défaut de Daniel Glattauer n'est pas d'être pourvu d'une plume rébarbative et laborieuse à parcourir, néanmoins l'éloge de ce titre va s'arrêter là pour ma part car j'ai été vraiment déçu par cette suite et ce pour les raisons qui vont suivre.

D'entrée de jeu l'ambiance se voudra radicalement différente de « Quand souffle le vent du nord », adieu bonne humeur et bonjour aux amours torturés. Un tome qui se révèlera bien plus sombre empreint de pessimisme et désespoir.
Leo et Emmi devront réapprendre à se connaitre, à de nouveau se faire confiance et surtout à panser les blessures qu'ils se sont soigneusement infligé mutuellement. Des mails au départ réservés et polis mais qui redeviendront petit à petit plus intimes tout en conservant une certaine distance et amertume. C'est dans une tension omniprésente que Leo et Emmi nous maintiendront au coeur de leur histoire qui ne sera bien évidemment pas de tout repos ni pour eux ni pour nous. Entre non-dits, révélations et vengeance qui les brisera tous deux nous ne cesserons de douter quant à obtenir une fin heureuse pour ce couple au vu des évènements qui les dévasteront. C'est avec un sentiment d'impuissance que nous assisterons à ces déchirements, incompréhensions, jalousies tour à tour les rapprochant et telle une vague les éloignant inévitablement. L'auteur au vu de la fin du précédent tome a fait le choix de nous plonger dans cette logique continuité mû par leur passé respectif et commun. Une suite se voulant déprimante, difficile, oppressante mais au combien réaliste dépeignant avec justesse toute la complexité entourant les relations humaines et sentiments.
Un volume qui se voudra résolument poignant mais qui néanmoins m'a déçu au vu de son caractère suffocant et surtout des personnalités destructrices et exaspérantes de Leo et Emmi. Ce couple ne sera ici plus que l'ombre de lui-même et certains aspects de leur caractère ayant émergé m'a quelque peu agacé, frustré et même chagriné, les ayant tout bonnement adorés par le passé ma chute n'a été que plus rude. Pendant près de 352pages nous n'aurons de cesse d'assister à leurs échanges tantôt amicaux, tantôt sarcastiques mais également émouvants. Un volume s'étant avéré à mes yeux très nettement inférieur à son précédent et qui malgré son addictivité a lamentablement trop tiré en longueur et inutilement tourné en rond rendant l'histoire entre Leo et Emmi à la longue lassante et pénible. Des bras de fer certes toujours pourvues de messages et répliques piquantes, amusantes, troublantes et romantiques mais étouffées par tant de sentiments refoulés et désenchantés.

« La septième vague » s'est révélé être un roman à la fois torturé et éprouvant tout en étant également très exaspérant à suivre. Une suite laissant planer un sentiment d'incertitude quant à l'espoir d'obtenir une fin heureuse maintenant habilement notre intérêt jusqu'au final. Un tome m'ayant néanmoins déçu car ayant échoué quant à me restituer tout le charme et la magie m'ayant conquise dans « Quand souffle le vent du nord ». Dommage.

NB : Lecture ayant été faite dans le cadre d'une LC avec ThyChat du blog « 1001 chroniques en folie », vous pourrez y trouver un avis nettement plus enflammé et enthousiaste sur ce roman.


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J'avais beaucoup aimé le premier livre de l'auteur, où Leo et Emmi se rencontraient virtuellement uniquement, et échangeaient des mails de plus en plus personnels . Celui-ci est pour moi l'exemple type d'une suite qui aurait pu être évitée.

L'effet de surprise du premier roman ne joue plus, et j'ai eu l'impression de relire la même chose, de me heurter encore et toujours aux mêmes hésitations. Peut-être n'aurais-je pas du relire le premier juste avant.. Je n'ai pas retrouvé ce qui m'avait charmée dans "Quand souffle le vent du nord" et la lecture a fini par me lasser.
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J'ai lu le premier tome le mois dernier en ignorant qu'il existait une suite. J'avais adoré le 1er alors forcément quand j'ai appris qu'il y en avait un deuxième, j'ai fonçé tête baissée à la bibliothèque. Coup de chance, il était là!

Bon, je me suis beaucoup moins régalée qu'au premier. Bien que facile et agréable à lire (en une journée) , le charme n'a pas opéré autant que la première fois. Je l'ai lu surtout pour savoir ce qu'il en était réellement de la fin d'Emmy et Léo.

Bien sûr, je le recommande vivement à ceux qui ont lu "quand souffle le vent du nord".
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Pendant dix mois, chaque fois qu'Emmi essayait de joindre Léo, elle ne recevait que le message: « ATTENTION. Adresse mail modifiée. le destinataire ne peut plus regarder cette boîte. Les nouveaux messages seront automatiquement effacés. le manager du système est à votre disposition pour plus d'informations. »
Et puis un jour, miracle: une réponse! Une vraie réponse! Léo est de retour. Mais, car il y a un mais, il n'est pas seul. Il a ramené Paméla.
Alors, cette fois, Léo et Emmi vont-ils enfin se voir, ou Léo partira-t-il s'établir à Boston avec Paméla?
On imagine aisément (moi, en tout cas) que Daniel Glattauer a dû recevoir des montagnes de courrier de lectrices frustrées par la fin de Quand souffle le vent du nord. Alors, il l'a fait. Il a craqué et il a écrit Emmi et Léo, le retour. Ou alors, il a voulu surfer sur la vague (la septième, ha, ha!) du succès.
Toujours est-il que ce roman, s'il est plaisant à lire, est tout de même une suite.
Emmi est souvent crispante, du moins, moi, elle me crispe, avec ses grands airs de princesse qui veut tout de Léo sans rien donner de son côté. Elle n'arrête pas de débiter des méchancetés sur Paméla qu'elle appelle « Pam » ou « ... », pour faire enrager Léo.
Certes, on peut comprendre sa jalousie, mais cette situation inextricable, c'est elle qui s'y est mise volontairement.
En bref, j'ai aimé, mais il y avait un air de déjà vu. Pourtant, il y a quelques beaux passages, notamment celui où Emmi explique le titre, ce qui devrait mettre la puce à l'oreille de Léo, puis, celui où Léo reprend cette image et la complète.
Malgré tout, cette lecture n'est, à mon avis, pas indispensable, et j'aurais préféré que l'auteur s'abstienne de donner une suite à son best seller.
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J'avais du lire une critique positive qui m'avait donné envie de lire ce livre.
Il se lit sans difficulté, se rapidement, mais il ne m'a pas surprise. La finalité n'est que logique, sans le moindre étonnement, même si l'échange de mails entre les protagonistes peut paraître résolument moderne il n'est pas surprenant.
Un peu déçue, cependant il m'a apporté des moments de détente.
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Je suis déçue ! J'étais très impatiente, sans doute trop, de lire la suite de "Quand souffle le vent du Nord". le style est toujours le même mais il s'essouffle. L'histoire n'a plus la magie qu'elle avait précédemment. Emmi m'a agacée (j'ai levé plusieurs fois les yeux au ciel en lisant ses réponses à Leo). Les situations sont redondantes, plus grand chose n'est apporté, la fin est prévisible. Bref, j'ai trouvé que ce tome n'a rien apporté au précédent, il est donc pour moi, tout à fait inutile.
Lien : http://jenta3.blogs.dhnet.be..
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