C'est une petite déception pour moi. Il faut dire que je ne pensais pas du tout trouver une telle histoire en lisant le résumé. Je pensais que les fées seraient davantage présentes, et après lecture, étant les personnages les plus intéressants, je regrette d'autant plus leur absence ou leur place qui était un peu trop sur le côté.
Je n'ai pas réussi à m'attacher aux filles Periwinkle qui sont pourtant les personnages principaux de cette Trilogie, je les trouvais bien trop inconscientes, impulsives et leurs réactions me contrariaient plus qu'elles ne me donnaient envie de m'inquiéter pour elle. Pour le reste, l'histoire du village, les autres habitants et l'introduction des chapitres d'un Livre Ancien ne m'ont pas plus aidé à m'attacher à l'histoire et à ses personnages.
Une lecture jeunesse un peu trop enfantine et pas assez crédible, ni addictive pour moi. Dommage...
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Livre tout simplement magique : le narrateur nous montre bien la scène et l'on s'y croirait...
Petit bémol : ce livre met du temps à se mettre en place et l' « action » ne commence à se former qu'à partir du second tome...
Mais il fait partie de mes coups de coeur...
(C)
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Des histoires simples, féériques, enfantines.
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Fairy Oak est une série qui pourrait plaire aux plus jeunes, mais qui trouvera des défauts aux yeux des lecteurs plus âgés, nuisant à la qualité de cette lecture.
Lire la critique sur le site : Elbakin.net
Lalla Tomelilla m'offrit donc un pot de confiture de mûres, vide mais encore très parfumé, qui devint ma maisonnette.
Maman Dahlia me fit un lit de mie de pain qu'elle changeait chaque jour pour un nouveau tout juste sorti du four ; Monsieur Cicéro m'offrit une boîte d'allumette vide, dont je fis mon armoire, et transforma une bobine de fil à coudre en la plus belle écritoire qu'une fée eût jamais eu. C'était une toute petite maison, mais elle me convenait parfaitement.
Instinctivement, je repensai à ses douze heures qui les avaient séparées à la naissance : le destin avait voulu les rendre différentes dès le premier jour. Puis, pendant quelques années, il avait permis que leurs vies aient des parcours parallèles. Aujourd'hui, de nouveau, il les éloignait. C'étaient deux personnes identiques, aux pouvoirs opposés : la Lumière et l'Obscurité, comme les deux faces de la même médaille, unies et séparées pour toujours. Pourquoi ?
Elle s'avançait vers moi, les yeux en forme de dragon et la face violette. Quand une Sorcière de la lumière se fâche, elle est capable de vous réduire en cendres, quitte à vous demander pardon (parce que les Sorcières de la lumière sont gentilles), mais après seulement.
Tomelilla me l'avait bien expliqué : Lumière pour l'une, Obscurité pour l'autre, unies par le sang et par l'amour, Vanilla et Pervinca représentaient ce contre quoi Le Terrible 21 combattait depuis toujours : l'Equilibre, l'Harmonie, la Vie...