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3,65

sur 466 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Déniché sur une brocante, j'ai acheté la saga complète pour 10€ et je ne regrette pas.

Honnêtement je m'attendais à un peu plus d'action et d'addiction mais c'est tout autre chose que j'ai découvert.

Nous sommes en 1899, il y a les Lady de grandes familles et les domestiques. Des célibataires prisés et des cochers. Mais aussi
des soirées coûteuses, des robes onéreuses, des coups bas et des histoires d'amour.

Nous suivons plusieurs personnes et de classes différentes ce qui permet d'enrichir l'histoire : d'abord et principalement Miss Elizabeth Holland, déchirer entre faire
le bien pour sa famille et épouser le plus riche célibataire ou écouter son coeur. Douce et naïve, on peut facilement s'y comparer. Cependant c'est sa soeur Diana que j'ai préféré : l'âme ouverte et moderniste, elle apporte vraiment un côté frais.

Miss Peneloppe Hayes, la garce de la bande : jalouse et prétentieuse de la popularité de son "amie" Elizabeth. Vous l'aurez compris elle est le personnage qu'on ne peut pas apprécier.

Il y aussi le point de vue de domestiques, de garçons et des parents des jeunes gens : une diversité de caractères bienvenue.

A chaque début de chapitre il y a une coupure de presse, un petit mot ou un morceau de lettre : on comprend vite que les apparences sont importantes mais aussi trompeuses. C'est un vrai plus apporté au livre !

Dans l'ensemble l'histoire est lente et on peut y trouver quelques passages ennuyeux parce qu'avec un si grand nombre de personnages l'auteure qui a pourtant un style sympathique doit installer et développer beaucoup d'histoires parallèles à celle d'Elizabeth.

De plus la fin est prévisible à des kilomètres à la ronde. Si ce premier tome avait fini quelques paragraphes plus tôt nous aurions plus envie de lire la suite : là ce tome pourrait se suffire à lui même.

Conclusion : Un premier tome agréable mais pas extraordinaire.
Lien : http://julibrary.skyrock.com..
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C'est pour une lecture commune que j'ai déterré ce livre de ma bibliothèque. Je l'avais pris à la Fnac à l'occasion de deux livres achetés, un offert ; je l'ai choisi un peu au hasard, grâce à sa couverture très jolie et le résumé assez intéressant.

Ma lecture s'est faite très facilement et très rapidement, les chapitres sont courts et on change de point de vue à chacun. le récit tourne autour de cinq personnes, cela parait beaucoup mais franchement, on ne se perd pas une minute.

En alternant les avis, on découvre nos héros et leurs caractères et cela rend l'histoire très intéressante, chacun aimerait une chose qu'il ne peut pas forcément avoir et court après sans y parvenir.

Ces jeunes gens sont de l'aristocratie New Yorkaise ou employés par ces gens là. Chacun aimerait que faire ses propres choix pour que sa vie soit meilleure. Mais malheureusement leur statut et les convenances ne leur laissent pas d'alternative.
On compatit à leur sort mais en même temps, leur comportement par moment nous agace ; soit par leur silence, soit par leur acte égoïste.

Je n'ai pas mis longtemps à lire ce livre, ça va vite mais j'avoue que même si la lecture s'est bien passée, je ne suis pas arrivée à apprécier ces personnages, à me prendre d'affection pour eux, sauf peut être à la fin de ma lecture.

Une seule personne m'a intéressé, c'est la jeune soeur de notre héroïne, Diana, qui est impulsive, joyeuse et franche. Avec elle, on ne s'ennuie pas !

Il y a la garce également dans notre lecture, on aimerait tellement qu'elle déchante encore plus, mais aussi la servante qui hait sa maîtresse et ferait tout pour lui nuire.

Notre héroïne, Elisabeth, est spectatrice de sa propre vie et ça m'a agacé, elle a su se rattraper sur la fin. Elle cache tellement ses sentiments qu'on se demande par moment si elle en a et à cause de cela, je n'ai pas pu m'imprégner de son amour pour le jeune homme avec qui elle est.

Il y a une pléiade d'intervenants et c'est le plus de l'histoire qui donne l'envie de poursuivre. On en s'ennuie pas de cette façon, on découvre mieux les situations et les pensées de chacun. On peut savoir à quoi s'attendre de ces personnages et les sentiments qu'ils ont.

Conclusion de cette lecture, ça c'est très bien passé mais il m'a manqué des sentiments envers ces jeunes gens. L'auteur se rattrape sur la fin de la lecture. Je vais poursuivre cette saga car même si avec ce tome là, je n'étais pas amoureuse des acteurs de l'histoire, c'est tout de même sympathique à lire. Et on veut bien sûr savoir ce qui attend Diana et les autres.
Lien : http://auboudoirdecandyshy.o..
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Voilà un livre que j'aurais lu rapidement. Non pas parce qu'il m'aura passionné au point de ne pouvoir le lâcher. Non.

Si l'univers du luxe du 20e siècle m'a plu, tout comme l'ambiance du bal d'intronisation, force est de constater que Rebelles manque cruellement de surprise. C'est bien simple : le prologue dévoile le fin mot de l'intrigue à lui seul !

Malgré des personnages sympathiques et une histoire à la Gossip Girl qui marche bien, il suffit de lire un peu le début pour connaitre la fin. Tout est tellement prévisible qu'Anna Godbersen ne laisse aucune place au suspense. du coup, après 100 pages, j'ai simplement décider d'arrêter la lecture de Rebelles. Bien que j'ai aimé, je n'ai pas vu l'intérêt de lire plus avant un livre dont je connaissais déjà à l'avance les réactions des personnages et la fin.

J'ai également beaucoup aimé les extraits de journaux, de rubriques nécrologiques et autres présentes en début de nouveau chapitre.

Je lirais tout de même les trois autres tomes, en espérant que l'auteur laisse un peu plus de place à la surprise. Mais pour un livre qui trainait dans ma PAL depuis 2008 (oui j'ai honte !), c'est chou blanc !
Lien : https://parole2libraire.word..
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La vie tumultueuse d'une jeune fille issue d'une famille riche, voilà le contexte. Nous suivons donc la vie d'Elizabeth Holland, mais aussi, plus rarement, celle de sa petite soeur ou celle de sa servante. Elizabeth, pour sauver sa famille de mauvais placements effectués par feu son père, doit se marier avec Henry Schoonmaker, fils d'une famille new-yorkaise extrêmement riche. Elizabeth n'est pas vraiment heureuse de ce mariage arrangé. de plus, sa « meilleure amie », Pénélope Hayes complote contre elle. Pénélope est depuis toujours amoureuse (ou bien très intéressée) par Henry. Nous assisterons donc à des cachoteries, amourettes, fausses amitiés, scandales et désirs de vengeance !

Elizabeth Holland est morte. Et oui, on nous impose d'emblée sa mort. Est ce un moyen de nous déstabiliser, de nous avertir (de ne pas nous attacher à Elizabeth) ou simplement de nous gâcher la surprise ? Je pencherais plutôt pour la troisième possibilité. En effet, je n'ai pas du tout réussi à m'attacher au personnage. Je n'aime pas les personnes hautaines et c'est vraiment un défaut récurrent dans ce livre. Je ne dis pas que ce n'est pas normal, on est en effet à la toute fin du 19ème siècle ! Dès les premiers chapitres, on nous bombarde de nouveaux personnages, de nouveaux points de vue. Il est donc très difficile de s'y retrouver avant le moitié du livre : on suit Elizabeth, Diana (sa petite soeur), Carolina (sa servante), Pénélope et Henry. C'est aussi avec étonnement que j'ai constaté que le langage utilisé par l'auteur n'est pas si différent de celui d'aujourd'hui ! A mon avis, c'est un plus, je n'aurais pas aimé assister à un discours de politesse à chaque dialogue. On pourrait très bien comparer ce livre à Gossip Girl, c'est d'ailleurs la première chose qui me soit venue à l'esprit (quand j'avais enfin compris qui était qui !). Il est donc clair que ce livre appartient au genre Chick-lit (ou roman à l'eau de rose si vous préférez).

En conclusion, ce livre est plutôt plaisant, même si les personnages ne m'ont pas plu. L'époque et le problème des mariages arrangés sont bien abordés. On pourra aussi noter les lettres, articles de journaux, télégraphes et autres petites notes qui précèdent chaque chapitre, comme un rappel du chapitre précédent. Ce qui est très agréable. Je ne conseillerais pas ce livre aux habitués de Bit-lit comme moi, mais peut être à ceux de Chick-lit ?!
Lien : http://akashew.wordpress.com..
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« C’était ainsi dans ce vieux New York, où l’on donnait la mort sans effusion de sang ; le scandale y était plus à craindre que la maladie, la décence était la forme suprême du courage, et tout éclat dénotait un manque d’éducation, excepté de la part de ceux qui le provoquaient. »
Edith Wharton – Le temps de l’innocence

Des funérailles sont célébrées en l’église épiscopale Grace. Mademoiselle Elizabeth Adora Holland, jeune fille de dix-huit ans, belle, vertueuse et de très bonne lignée, va être enterrée. Ses anciens amis d’enfance, ses soupirants et son fiancé portent son cercueil au sein de la nef. Tous sont terrassés par la douleur ; ce deuil est une forme d’amputation. Unis en cette dernière homélie, ils ne pensent pas que cette cérémonie sera aussi un adieu à leur jeunesse.

Quelques temps, quelques mois, quelques heures avant…
Pour l’élite des jeunes filles de New York, la vie est arachnéenne, aussi fine et éthérée qu’un voile de mousseline. Entre les bals, les sorties au parc, les essayages chez les plus grands couturiers, les leçons de savoir vivre, les sorties en yacht, les thé-party et les minauderies, l’essence de cette génération s’agace de futilité, d’ennui et de mondanité. Et comme dans toutes les sociétés, sous un vernis civilisé et aristocratique, ce fleuron se distingue aussi par des manipulatrices machiavéliques, des naïves, des jalouses et des éprises de liberté. Condamnées à la rigidité, le conservatisme, de leur caste, elles paraissent soumises, guindées et superficielles. Mais, lorsque les apparences craquellent, nos belles et riches héritières se confrontent et joutent. L’amour est disputé.
Elizabeth et Will s’aiment, Will est aimé de Caroline, Elizabeth doit épouser Henry, Pénéloppe voudrait s’accaparer Henry, Diane aime Henry qui l’aime aussi…
Les jeux de l’amour deviennent une bouffonnerie dramatique et les surprises afflues…

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Ce livre facile à lire, ne m’a que « moyennement séduite ». La narration du début fut ennuyeuse. Il y a une foule de personnages qui se présente et il m’a été un peu difficile de les situer au fil des pages. Chaque individu a son chapitre, donc nous passons de l’un à l’autre promptement sans éveiller en nous la sensibilité, l’affection ou l’antipathie qu’il suscite. De plus, certains sont fades, indécis et sans piquant, mais là je pense que c’est souhaité par l’auteure qui nous prépare crescendo vers une suite en 3 volumes et une intrigue aux rebondissements plus imprévisibles et théâtraux. Lirai-je le deuxième tome ? Non, je ne pense pas.
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New-York, 1889. Nous sommes dans la société très huppée de Big Apple, qui se cantonne encore à Manhattan. Nous assistons aux funérailles d'Elizabeth Holland, jeune héritière à la beauté légendaire qui était sur le point de se marier au très beau et très riche Henry Schoonmaker. Tout le monde est triste, tout le monde est effondré. Tout le monde? Est-ce bien sûr? Et si les Holland n'étaient pas si riches que ça? Et si Elizabeth n'était pas la jeune fille sage qu'on croit? Et si Henry n'était pas un coeur d'artichaut? Et si , et si, et si... Il faut donc revenir quelques semaines en arrière pour dénouer un à un les fils de cette intrigue, les secrets qui se cachent derrière la façade proprette des richissimes familles new-yorkaises, sur fond de trahison, d'histoires d'amoûûûûûr et de rebondissements théâtraux...Dallaaaaaas!
J'ai lu de bonnes critiques de ce roman chez des bloggeuses bien sous tout rapport. Alors je me suis dit "oublions ton aversion pour les comédies rose-bonbons américaines et lis, dépasse tes clichés". Eh bah non, ça ne marche pas avec moi. Par exemple, le roman se veut original en donnant la parole aux divers protagonistes de l'histoire. Sauf que résultat, au début, on est totalement paumé entre Elizabeth, sa frangine, sa servante, Henry, Pénélope,... La galerie de personnages est abondante et on se perd un peu, d'autant que l'auteur enchaîne les rebondissements sans variation de ton ou de style. Les personnages sont caricaturaux au possible : Pénélope, la brune pulpeuse, arriviste et délurée qui ne rêêêêêve que de vengeaaaaaance, Elizabeth la blonde pure et idéaliste (gnangnan oserais-je dire?), Henry le dandy au grand coeur ou encore Diana, la petite soeur garçon manqué rebelle dans l'âme,... Là encore, on sait 10 chapitres avant ce qui va se passer et dans quel ordre. Ca se veut "rebelle" mais c'est surtout hyper convenu et la morale est sauve à la fin. On est loin, très très loin d'Autant en emporte le Vent...ou même de Gossip girl!
Lien : http://ladameducdi.over-blog..
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