Les contes interdits : Hansel et Gretel

Je voulais lire ce livre depuis longtemps.
À cause des problèmes qu'a eus l'auteur avec ce livre. Il a été proscrit après une plainte d'une institutrice si je ne me trompe pas.
Les descriptions sont gore certes, l'histoire est ignoble. Mais ce sont les contes interdits modifiés dans l'horreur. Alors l'auteur a joué le rôle qu'on lui demandait… Je n'ai pas était transporté, ni dégoutté… j'ai lu trop d'atrocité pour cela. Mais je pense qu'il y a eu trop de tapage contre l'auteur pour un livre qui ne méritait pas d'être banni, bafoué, incendié comme ce fut le cas.
Je lirais donc d'autres contes interdits et donc d'autres ouvrages d'Yvan Godbout.

Bonne lecture !
Lien : https://angelscath.blogspot...

Alors, sans m'attarder sur la polémique de pédopornographie entourant le livre et l'auteur, je me contenterai de dire que toute cette histoire est une honte, une mascarade sans nom. Comment peut-on accuser un auteur aussi facilement, sans raison valable? Ses détracteurs ont-ils au moins lu le livre? Où peut-on affirmer que l'auteur encourage la pédophilie? C'est ridicule, tout simplement.
Le thème maintenant. Horrible, gore, sordide, sanglant, crade, déviant. Violence et sexe. Sommes-nous bien dans les Contes interdits ou je me trompe? C'est un peu la ligne directrice de la série non? Quand on ouvre un roman de ce genre, alors on sait à quoi s'attendre, et si ce n'est pas notre tasse de thé, et bien on retourne à la bibliothèque, rayon contes pour enfants, le choix ne manque pas. Pourquoi se faire du mal? Pourquoi lire un genre qui ne nous correspond pas? Je ne comprends pas. Oui, les Contes Interdits sont des livres d'horreur où se mêle violence et sexe. C'est le but recherché. Et Hansel et Gretel contient tous les ingrédients.
Mon ressenti sur le livre. J'ai trouvé la première partie (avant que les jumeaux ne se retrouvent dans l'église), plutôt longue et ennuyante. Alice qui fuit avec ses enfants pour les planter en ville tout seuls le temps de vérifier si son mari est bien mort... Cela ne fait pas sens. Il y avait aussi beaucoup trop de références diverses à d'autres oeuvres (Alice au pays des merveilles, petit poucet, belle au bois dormant...), trop foisonnant, trop de dispersion. La deuxième partie relève un peu le niveau mais là encore trop longue à mettre en place. Par contre j'ai beaucoup aimé le final, et j'attendais cette revanche avec impatience.
Enfin la plume. Je n'ai pas vraiment accroché. C'est sûrement pour cela que je me suis ennuyée. On ne peut pas dire que c'est mauvais, mais ce n'est pas à mon goût tout simplement.

J'ai lu la première histoire de cette série pour un challenge, je me lance donc dans ce nouveau roman toujours pour le même challenge. Je dois dire que j'ai autant dévoré cet ouvrage que détesté bien des passages. Je comprends bien le concept des Contes Interdits, des contes réécrits pour des adultes avec tout le côté horrifique qu'ils peuvent chercher (et que je cherche aussi) dans ce genre d'ouvrage, mais je dois dire que j'ai un peu du mal avec le côté viol et perversion qui semble apparaître régulièrement dans cette série.

Pourquoi aller jusque-là ? Quel intérêt ? Je me pose un peu la question et c'est ce qui m'avait déjà bien refroidie à la lecture de « Blanche Neige ». Retrouver à nouveau cela ici me fait me questionner d'autant plus sur l'intérêt de poursuivre ou non cette série. Pourtant j'ai adoré le récit en soit et les autres chemins pris par l'auteur, mais pourquoi avoir plongé dans ce côté malsain et dans cette perversion ? Était-ce vraiment obligatoire ?

Nous faisons donc la connaissance de deux enfants, Jeannot et Margot qui vivent avec leur maman et leur beau-père qui n'a de beau que cette partie du lien qui le lie à eux. La misère est leur quotidien, mais aussi les horreurs que le monstre leur fait vivre. Leur vie finira par prendre un autre tournant et alors que tout semble enfin s'égayer pour eux, c'est l'enfer à l'état pur qui va s'abattre sur leur vie, un enfer qui les plongera dans la pire des horreurs.

Le lien avec Hansel et Gretel est assez particulier et le conte est vraiment très revisité par l'auteur. Il nous offre un roman qui n'est clairement pas à mettre entre toutes les mains et qui représente tout ce qui peut désigner un « conte interdit » et complètement pour adultes. Et en cela, je l'en félicite et les idées sont vraiment excellentes. J'aurais d'ailleurs eu un énorme coup de coeur si les sévices n'avaient pas été présents, car le fil rouge est tout simplement passionnant, palpitant et effrayant, de quoi avoir envie d'en apprendre toujours plus.
​
Je crois que ma vision de l'horreur n'est pas à 100% la même que celle qui est proposée dans cette série de contes, même si j'y retrouve aussi en partie ce que j'aime dans ce type de récits. Cela ne remet pas du tout en cause la qualité de l'écriture de l'auteur de ce roman-ci, ni le côté original et surprenant de son récit, c'est juste qu'il y a certaines limites que j'ai du mal à passer et à accepter et qui font que j'ai plus de mal à apprécier une lecture dans ces cas-là.

En bref, j'ai préféré ce conte au premier même s'il y a certains événements avec lesquels j'ai vraiment du mal.

2ème conte interdit que j'ai lu et je dois dire que celui ci est mieux passé.

Mais attention, à ne pas mettre entre toutes les mains car il regorge de scène très difficile à lire. Au programme vous aurez, de l'inceste , de la violence, du satanisme et de la pédophilie. D'ailleur à l'époque de sa sortie, l'auteur Yvan Godbout à eu des problèmes avec la justice pour une scène dans le livre.
Apparemment, une femme à porter plainte.

Perso je trouve ça un peu grotesque car la scène est oui, dérangeante mais j'ai lu des scènes tout aussi difficile sur la pédophilie et certains auteurs n'ont pas eu de soucis ou déboire avec la justice. Si vous voulez plus de détail sur cette partie, n'hésitez pas à fouiner sur le net pour en savoir un peu plus.

Perso, pour ce genre de lecture, un bon conseil, prenez du recul, cela reste une fiction fantastique.
Quand vous lisez ce genre de livre, vous savez ou vous allez mettre les pieds.

Pour les amateurs de sensation forte, qui aime les histoires d'horreurs, foncez vous ne serez pas déçu. Pour les personnes très sensible, je vous le déconseille.

On est pris aux tripes par cette histoire horripilante qui malheureusement décrit des faces de la cruauté humaine. L'auteur s'est aventuré en terrain dangereux en écrivant un roman sur des sujets considérés tabous mais l'a bien fait je trouve!
Il y a également la partie mystique qui est très sympa: elle donne une touche d'intrigue et d'étrange supplémentaire à l'histoire...

Eh ben, pour tout dire, je ressors assez remuée de cette lecture. Je savais à plus ou moins à quoi m'attendre. Poussée dans cette lecture par la curiosité, interpellée par le déchainement autour de ce roman, l'auteur ayant été mis en accusation suite la plainte d'une enseignante estimant qu'Yvan Godbout produisait de la pornographie juvénile, et eu envie de me faire ma propre opinion.
Yvan Godbout revisite ici, comme d'autres auteurs, certains contes de notre enfance. Son genre littéraire : le fantastique et l'horreur. J'avoue que la « fameuse scène » est assez difficile à lire, je m'y attendais.
Pour ceux ou celles qui aiment le dark, eh bien, ils seront servis. Parce que pour être sombre, c'est sombre, pour ce qui est de côtoyer l'horreur, on la côtoie. Pour moi qui ait déjà lu de la dark romance, c'est plus difficile à lire, parce que dans la dark romance, l'on reste conscient qu'il s'agit de pure fiction, que les héros vont tomber amoureux l'un de l'autre.
Ici nous démarrons avec un début d'histoire qui nous plonge dans le quotidien d'Alice et de ses enfants, un quotidien très réaliste. Ce n'est qu'au fil des chapitres que le coté fantastique ( un peu trop peut-être)'vient s'installer et répond aux amateurs du genre. le tout est mené, bien écrit et met très mal à l'aise.
Personnellement, si j'ai assouvi ma curiosité, je dois dire que je ne suis vraiment pas le bon lecteur pour ce genre. J'aime les romans d'horreur à l'occasion. Mais là, je n'ai pas accroché. Pour tout dire, le lien avec Hansel et Gretel, je ne l'ai pas vraiment compris, ni trouvé. On attend le dénouement avec impatience qui met longtemps à venir, je m'y suis même un peu ennuyé
Après cette excursion dans l‘univers d'Yvan Gobout, je sais que je n'y retournerai pas, je le laisse, sans jugement aucun, à son public et ses fans, qu'il pourra satisfaire vu que le droit a la liberté d'expression et artistique a triomphé contre l'étroitesse d'esprit de certains. Contente pour lui.

𝘼𝙩𝙩𝙚𝙣𝙩𝙞𝙤𝙣, 𝙘𝙚 𝙡𝙞𝙫𝙧𝙚, 𝙘𝙤𝙢𝙢𝙚 𝙩𝙤𝙪𝙨 𝙘𝙚𝙪𝙭 𝙙𝙚 𝙡𝙖 𝙨é𝙧𝙞𝙚, 𝙚𝙨𝙩 𝙙é𝙘𝙤𝙣𝙨𝙚𝙞𝙡𝙡é 𝙖𝙪𝙭 𝙢𝙤𝙞𝙣𝙨 𝙙𝙚 18 𝙖𝙣𝙨 𝙘𝙖𝙧 𝙞𝙡 𝙘𝙤𝙣𝙩𝙞𝙚𝙣𝙩 𝙙𝙚𝙨 𝙩𝙧𝙞𝙜𝙜𝙚𝙧 𝙬𝙖𝙧𝙣𝙞𝙣𝙜𝙨 (𝙨𝙚𝙭𝙚 (𝙘𝙤𝙣𝙨𝙚𝙣𝙩𝙞 𝙤𝙪 𝙣𝙤𝙣), 𝙫𝙞𝙤𝙡𝙚𝙣𝙘𝙚𝙨 𝙥𝙝𝙮𝙨𝙞𝙦𝙪𝙚𝙨 𝙚𝙩 𝙥𝙨𝙮𝙘𝙝𝙞𝙦𝙪𝙚𝙨, 𝙚𝙩𝙘…) 𝙅𝙚 𝙙é𝙘𝙤𝙣𝙨𝙚𝙞𝙡𝙡𝙚 𝙙𝙤𝙣𝙘 𝙖𝙪𝙨𝙨𝙞 𝙖𝙪𝙭 𝙢𝙞𝙣𝙚𝙪𝙧𝙨 𝙙𝙚 𝙡𝙞𝙧𝙚 𝙡𝙖 𝙘𝙝𝙧𝙤𝙣𝙞𝙦𝙪𝙚^^

J'étais très curieuse de lire ce conte au vu de la (mauvaise) presse dont il a été victime. Je comprends les charges retenues contre celui-ci mais ne suit pas d'accord avec, d'autant que la préface de l'auteur parle bien de son désir de dénoncer les sévices que peuvent subir les enfants, qui est une réalité, bien que la majorité de la population garde des oeillères sur ce sujet (ma mère fait famille d'accueil depuis mon enfance, j'ai donc vu des tas d'histoires similaires défiler à la maison (sans le côté occulte hein), et il est parfois difficile d'aider l'enfant à se reconstruire suite à ce genre de traumatismes qui les brisent bien souvent à vie…)

Peut-être de par cette proximité avec le sujet, ce conte est le plus horrible que j'ai lu jusque là. Parmi les sujets traités, on retrouve : des violences conjugales poussant jusqu'à des extrêmes faute de choix / la fuite de peur d'être séparés par un système défaillant / attouchements sur mineurs et j'en passe.

En soit, c'est une bonne dénonciation, qui choque au plus profond de notre âme car ça touche des enfants, et peu de gens se risquent à écrire dessus (or autobiographies) mais il y a un gros point que je reprocherai à ce roman : je trouve dommage qu'il soit basé sur le satanisme comme un mauvais film d'horreur. Pour moi, c'est la voie facile vers quelque chose d'horrifique, mais finalement, ça m'a un peu coupée dans mon élan et a rendu l'histoire trop prévisible.

Tous les clichés du satanisme y sont repris : sacrifices de bébés, recherche de l'Antéchrist, couverture d'église banale, etc…
Dès le départ, on comprend qu'un lien télépathique entre les jumeaux et leur mère existe, et on ne comprend qu'à la fin pourquoi.
Il y a un méli mélo complexe de points de vue entre les divers personnages qui est intéressant, mais il faut suivre car il n'y a pas de chapitres, seulement des sauts de lignes. Pourtant, prise dans l'histoire, ça ne m'a pas dérangée tant que ça.

Je suis donc contrainte de parler d'avis mitigé bien que la cause défendue soit importante pour moi.

J'ai par contre adoré les clins d'oeil à plusieurs autres contes (La Petite Sirène/ La Petite Fille aux Allumettes/ Alice au pays des merveilles/ La belle et la bête etc…) qui montrent bien la fraternité entre les divers auteurs des contes interdits, qui ont soutenu l'auteur pendant son incarcération.

Lien : https://www.instagram.com/p/..

J'ai enfin lu ce conte interdit. La polémique du procès de l'auteur a tellement attisé ma curiosité que j'ai fini par me laisser tenter. Et bien vous savez quoi j'ai été un peu déçue surtout au prix où coûte ce conte
D'abord les points positifs. J'ai beaucoup aimé le côté dérangeant. Alors oui il est question essentiellement de pédophilie. Mais voilà le livre fait son boulot, il nous met mal à l'aise et nous dégoûte. N'est ce pas ça que l'on recherche en lisant ce genre de livre ? Attention quand même ! Oui les scènes sont dérangeantes mais en aucun cas l'auteur ne prône la pédophilie, je trouve même que ces scènes ne sont pas trop détaillées contrairement à certaines autres scènes qu'on a l'habitude de retrouver dans les contes interdits.
⚠️ Cette partie contient quelques spoils.
Passons à ce qui m'a déplu. Premièrement, j'ai trouvé que l'histoire tournait un peu en rond. J'ai beaucoup aimé la première partie qui était très prometteuse. Puis arrivé à la partie 2, assez déçue. Les enfants n'ont pas arrêté de se faire victimiser tout le long du roman, tout ça pour se rebeller à la toute dernière page. Ensuite le côté sataniste, qui est une grosse partie de l'histoire, n'a pas été plus poussé que ça à mon goût à part du coup à la fin aussi. Pour finir le personnage de Cassandre qui je trouve n'a absolument servi à rien dans l'histoire …

Ce conte est le premier d'une trilogie. le second est « Boucle d'or » et le dernier « le petit poucet ». J'ai hâte de les lire pour voir ce qu'il va bien pouvoir suivre après ça et surtout j'espère que le personnage de Cassandre va être étudié (histoire qu'elle n'est pas servie totalement à rien dans « Hansel et Gretel »

Ouvrage prêté par une amie qui m'a relaté les déboires judiciaires de l'auteur, je l'ai lu assez rapidement mais n'irait pas voir les autres titres de cette série.
Sans tomber dans l'apanage de la pédophilie, il est vrai que ce court roman comporte moults scènes dérangeantes, mais le souci est plus dans l'idée que l'on s'en fait que dans les mots utilisés.
Car si les enfants ne font que se faire abuser tout du long par les différents protagonistes (ils n'ont vraiment pas de bol c'est le moins qu'on puisse dire), les descriptions ne sont pas aussi détaillées que ce qu'elles pourraient être, voire assez laconiques au final quand on compare avec d'autres écrits du même genre. La différence réside dans le fait qu'il s'agit d'enfants, et que notre pensée, somme de notre éducation et poids de notre société, est choquée bien plus rapidement et durement que si ces sévices avaient été perpétrés sur des adultes.
Si les thématiques abordées sont malheureusement difficilement dissociables du sexe (misère sociale, sectes), il faut avouer que celui-ci est un peu trop présent à toutes pages pour pouvoir douter du caractère volontairement trash recherché par l'auteur.
Je suis coutumière des histoires sombres et dures, mais avec ce livre, nous sommes plutôt dans le sordide, qui est en genre qui me dérange beaucoup et auquel je ne prête aucun intérêt personnel.
Mais n'est-ce pas ce que les lecteurs cibles de ce genre de littérature cherchent, d'être choqués?
L'auteur a certainement cherché à aller au plus loin du choquant, car l'histoire en elle-même a un dénouement magique aussi spectaculaire que facile, qui voit la vengeance très imagée de ses enfants héros.

Un rendez-vous manqué avec mon premier conte interdit. le mélange de trash mêlé au fantastique n'a pas su me convaincre. Et je n'ai pas accroché à la tournure que prend l'histoire…

L'écriture est fluide et le roman se lit rapidement. Il y a de nombreuses scènes insoutenables décrites crument et en détail. Concernant les dialogues, j'ai détesté la façon de parler des personnages principaux, avec un registre familier et des contractions à tout bout de champ.

Margot et Jeannot sont jumeaux. Ils vivent dans un climat familial toxique, avec un père violent et incestueux. Tous deux vont vivre l'innommable. Quand la mère s'en rend compte, elle tente de fuir et de mettre ses enfants à l'abri. Lors de cette fuite, elle va faire la rencontre de deux personnes tentant de leur venir en aide. Et c'est là que le véritable cauchemar commence…

Le début démarrait plutôt bien, je pensais qu'on allait partir sur un roman très noir avec une famille dysfonctionnelle. Puis tout a basculé quand le fantastique a fait son entrée. Attention que l'auteur aborde des thématiques très dures telles que l'inceste et la pédophilie. Ensuite, vient le satanisme et les pouvoirs surnaturels auxquels je n'ai pas adhérée du tout.

Ce que subissent ces enfants est tout simplement atroce. Malheureusement, je n'ai pas réussi à m'attacher à eux. Leur manière de parler m'étant totalement insupportable. Pour ce qui est du père, ce personnage est tout simplement à vomir.

On est bien loin du conte original, seuls quelques éléments pouvant y faire penser. Pour les lecteurs curieux de découvrir ce roman, sachez où vous mettez les pieds. La maltraitance et le viol sur enfants sont présents durant une grande partie de l'histoire.