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Citations sur Oblomov (154)

Où est l’homme dans tout cela ? Où est son intégrité ? Où est-il passé, comment s’est-il éparpillé en futilités ? P240
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N’étant pas ébloui par la beauté, il n’oubliait pas sa dignité d’homme et ne s’humiliait jamais, ne devenait pas esclave, ne se « prosternait pas aux pieds des belles » (…) p227
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Que faisait-il ? Eh bien, il continuait toujours à tracer l’image de sa propre vie. P93
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(…) cette époque tendre, où l’on tombe amoureux de chaque femme, prêt à lui offrir sa main et son coeur, ce que certains arrivent même à faire, souvent pour le regretter pendant tout le reste de sa vie. P86
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Mais surtout, il y avait au fond du caractère d'Oblomoff quelque chose de très bon, de très lumineux, le plus malveillant qui jetait un regard au fond de ce coeur simple et sans malice, éprouvait de l'amitié à son égard, lui conservait un souvenir affectueux et durable.
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- Je suis punie pour avoir été par trop orgueilleuse. J'étais sûre de ma propre force, et je me suis trompée. J'ai cru que je pourrais te ressusciter, que tu étais capable de revivre pour moi, mais tu es mort depuis longtemps. Une pierre serait devenue sensible après tout ce que j'ai fait. A présent, je ne ferai plus rien, tout est inutile ç Tu es mort ! N'ai-je pas raison, Ilia ?
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Dans la rue Gorokhovaya au centre de Pétersbourg. En d'autres termes, un matin, Ilya Ilitch Oblomov était allongé dans son lit dans l'une des grandes maisons, qui aurait eu assez d'habitants pour toute une ville de district.

C'était un homme de trente-deux ou trente-trois ans, de taille moyenne et d'apparence agréable, aux yeux gris foncé ; mais ses traits montraient un manque d'idée ou d'intérêt particulier. Une pensée a survolé son visage comme un oiseau libre, a voleté dans ses yeux, s'est assise sur ses lèvres entrouvertes, s'est cachée dans les rides de son front, s'est alors complètement perdue, puis la chaleur et l'éclat uniforme se sont répandus sur tout son visage. d'insouciance. Cette insouciance passait du visage à la posture de tout le corps, jusqu'aux plis de la robe de chambre.
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Des larmes, bien que vous les ayez cachées. C'est un trait que je trouve très vilain chez les hommes : ils ont honte de leur cœur. Et cela aussi, c'est de l'amour-propre, mais un amour-propre faux, stupide. Ils feraient mieux d'avoir quelque fois honte de leur intelligence, elle se trompe plus souvent.
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Il aurait aimé trouver un détour pour lui dire que le charme mystérieux de leurs rapports s'était évanoui, que la gravité dont elle s'entourait comme d'un nuage lui était pénible, lui pesait, et qu'il ne savait plus comment se conduire avec elle.
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Pour le travail, et pour lui seul. Le travail, c'est le sens, la force et le but de la vie, de la mienne en tout cas.
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