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sur 614 notes
Pour le moment, c'est mon tome préféré de cette série! Je l'ai dévoré en quelques jours!
J'apprécie que l'on découvre un autre monde que celui où vivent Kalhan et Richard!
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La foi des réprouvés est le livre de la Vie. Pour ceux qui se rappellent du tome précédent, vous allez dire comment Peti_lu peut parler de la vie alors que nous sommes en pleine invasion de l'Ordre avec toute la barbarie que le tome 5 a apporté.
En ce sens, celui-ci est différent, la barbarie laisse place à la vie. A la vie humaine avec Richard et Kalhan qui est leur seul échappatoire au désespoir ; à la vie de la faune et de la flore avec de jolis passages où se mêlent l'adoption de poissons, les biches, les loups mais aussi les saisons qui font renaître la forêt au fil des chapitres et nourrissent la Terre des Hommes.
Le second fil conducteur de Terry Goodkind est sa vision plus ou moins approchante d'un modèle économique (que certains appellent communisme mais ce n'est pas l'objet d'ouvrir un débat politique) fondé sur le bien commun, le non enrichissement individuel mais surtout sur un modèle économique reposant sur la Confrérie de l'Ordre et son guide spirituel Narev. Là réside une partie de l'énigme : qui est-il finalement ? quelles pièces du puzzle des 5 premiers tomes devons-nous réunir pour comprendre l'intrigue que représente Narev.... Allez, une dernière question, qui se rapprochera du débat de l'oeuf et de la poule, qui nourrit qui : Narev ou Jagang ?
Je vous souhaite une très bonne lecture.. même si les 100-150 premières pages étaient un peu plates en rythmes tout s'accélère face à la Maîtresse de la Mort ... (oui oui j'ai tout de même dit La Vie au début de ma critique)
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Mon préféré!
Bien plus philosophique que les précédents, il expose le point de vue de l'auteur sur le communisme.
Peut-on lui donner tort ? Ayant lu dans les précédentes critiques que les pauvres passaient pour des débiles mentaux et que le communisme n'était pas qu'une tyrannie, je me doit de réfuter ceci. En effet, les pauvres ne sont pas plus idiots que la moyenne mais le système communiste (poussé un peu à l'extrême il est vrai) aurait tendance à entraîner ce type de comportement : pourquoi travailler quand tout tombe du ciel ? (En digressant, on peut prendre l'exemple des allocs' qui nourrissent des familles qui ne travaillent plus afin de toucher ces allocs' ...)
Bref, sinon pour la tyrannie communiste, si on regarde les grandes puissances communistes : Chine, Russie, Cuba, Ex-bloc soviétique, Corée du Nord ... Il fait bon y vivre c'est connu.

Sinon sachant que l'auteur s'est inspiré de la philosophie objectiviste d'Ayn Rand,ce bouquin m'a grandement donné envie de lire cette femme.
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En ce qui me concerne ce tome est mon préféré. Peut-être avec le premier. Ce n'est pas tant le séjour de Richard chez l'ennemi que j'ai apprécié mais toute la première partie, durant la convalescence de Khalan, un des seuls moments où Richard et elle vivent en couple finalement, puis le chantage de Nicci, et enfin, toutes les batailles où Kahlan est impressionnante d'ingéniosité, fine stratège et vraie guerrière. Un avis très positif donc. Je n'en dirai pas tant pour les tomes suivants, mais vraiment moi je recommande la lecture de ce tome-ci.
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J'ai beaucoup apprécié ce tome. Terry Goodkind nous fait passer de l'autre côté de la frontière pour se plonger réellement dans la quotidien des habitants de l'Ancien Monde. Pour Richard, pas de grandes batailles sanglantes mais une bataille psychologique et idéologique pour résister à Nicci et à l'idéologie de l'Ordre Impérial. Réduit à l'impuissance par le doux chantage que Nicci lui fait - le sort de Kahlan dépendant du sien - Richard est confronté à l'obscurantisme du territoire natif de Jagang.
Bien sûr, les compatriotes de notre héros continuent leur lutte. Sur fonds de guerre à l'approche, ce tome est plus centré sur une lutte pour la liberté et la délivrance d'un mode de pensées totalement corrompu. Richard ne lutte pas seulement pour sa survie ni celle de son épouse, mais aussi pour son intégrité et les valeurs qu'il défend.
J'ai beaucoup apprécié de découvrir un peu plus le personnage de Nicci qui deviendra, par la suite, l'un des personnages les plus réussis - de mon point de vue - de la saga. D'aucun peut reprocher que Richard parvient toujours à se sortir de toutes les situations, que la conversion de Nicci à son mode de pensées est, si ce n'est rapide, inévitable. Certes, mais la série perdrait aussi de son intérêt si son héros était voué à l'échec permanent. En superposant différents scénarios - un principal par tome et un fil rouge sur la série - Terry Goddkind fait progresser son intrigue au fur et à mesure et ravive ainsi l'intérêt du lecteur à chaque nouvel épisode. Aucun tome ne ressemble aux autres, de nouveaux obstacles, de nouveaux ennemis, de nouveaux enjeux... mais le même plaisir renouvelé à chaque livre !
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Contrairement aux autres critiques, j'ai adoré ce tome et toute sa partie politique. On se serait cru sur terre. Il est ironique et même si Richard a toujours la réponse à tout, le livre m'a fait passer de bons moments.

Par contre, ce qui m'avait énervé, c'est que dès que Richard et Kahlan sont réunis, on les sépare. Ces deux jeunes personnes auront passé plus de temps séparés que réuni.

C'est ce que je reproche à l'auteur, c'est parfois d'en avoir trop fait dans les séparations du couple. Un peu, ça va, mais trop, bonjour les dégâts.
Lien : http://the-cannibal-lecteur...
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Pour moi, ce tome reste et restera un mystère. La première fois que je l'avais lu, je n'avais pas du tout aimé, épris d'un profond ennui. Cependant, je m'étais résolu à le finir, me disant juste que c'était une "erreur de parcours" de l'auteur.
Bizarrement, j'ai relu ce livre récemment et je l'ai beaucoup plus apprécié. J'aime bien qu'il y ait de l'action dans les livres, et clairement dans celui-là, il n'y en a pas (ou très peu), d'où ma frustration lors de la première lecture. En sachant cela, j'avais donc abordé la deuxième sur un autre angle, beaucoup plus philosophique, et là, j'ai accroché.

ATTENTION SPOILER!!!

Au début du tome, la tension est à son comble : Kahlan est aux portes de la mort, Richard veut abandonner... Cependant, nos héros vivent un semblant de bonheur et peuvent souffler pour la première fois ensemble, vivant ce qui se rapproche le plus d'une vie normale.
La venue de Nicci a donc de quoi nous énerver. "Oh non, ils sont encore séparés!!!", s'écrie alors le lecteur désabusé.
Il est vrai qu'on en a marre de voir ces deux personnages si proches l'un de l'autre être déchirés par les évènements (c'est très rébarbatif).
Viens ensuite la venue de Richard dans l'ancien monde, et la TRES longue partie sur la révolution qu'il tente de mettre en place (la partie que j'avais clairement détestée à la première lecture).
Beaucoup de critiques évoquent le libéralisme venant au secours du communisme et que les pauvres sont des crétins qui n'ont pas les moyens intellectuels pour contourner le système (à l'inverse de Richard qui en tire très bien parti).
Je suis partiellement d'accord avec tout ça, sauf en ce qui concerne l'interprétation de la vie en Altur Rang comme une société communiste.
Dans une société communiste, le mot d'ordre est quand même la mise en commun des richesses, l'abolition de la propriété privée et la liberté de penser.
Ici, c'est plus une tyrannie qu'autre chose ! Où est la justice et l'équilibre dans tout ça?
Bref, tout ça pour dire que Richard va instiller dans le coeur de la population de l'ancien monde une étincelle de protestation.
La morale, bien qu'un peu simpliste, montre clairement qu'il faut se battre pour accéder à la liberté et briser les chaînes qui nous retiennent.
Ainsi à ma deuxième lecture, j'étais fasciné par cette lutte philosophico-politique que menait Richard. de même, j'ai trouvé intéressant de voir comment avait évolué la relation entre Richard et Nicci.


Ce tome 6 est donc en contraste total avec les autres. Exit les combat et les monstres, bonjour aux actes philosophiques et aux longs discours parfois très pesants à lire.
Soit on adore, soit on déteste (personnellement je suis allé des deux côtés) Pour être cohérent, je devrais donc mettre trois étoiles, mais je ne peux pas me résoudre à mettre moins de quatre étoiles à un livre de cette fantastique saga qui m'a tant inspiré (et qui m'inspire encore).
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Ce tome marque pour moi la fin du plaisir que j'ai eu à lire cette série.

Les opinions politiques de Goodkind sont assez limpides. Quand ils travaillent pour l'odieux Bien Commun, l'économie est un désastre, les habitants de la ville n'ont goût à rien, collaborent sans difficulté avec le pouvoir en place, se dénoncent les uns les autres. Une fois que Richard arrive avec la philosophie libérale dans la poche, les habitants reprennent goût à la vie, s'entraident, deviennent moralement meilleurs et se battent pour leur liberté. Un peu trop gros à avaler pour moi.
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Autant j'avais apprécié les premiers tomes, autant celui-ci m'est tombé des mains. Si jamais vous voulez absolument le lire, vous y apprendrez que les pauvres sont teigneux, méchants, ingrats et fainéants (les riches, à côté, sont très peu critiqués - 2 lignes tout au plus). Qu'il faut leur montrer l'exemple pour arriver à les faire se bouger et vouloir améliorer leur sort, ils n'y penseraient pas tout seuls. Que quand on veut, on peut. Que quand on travaille jour et nuit pendant des mois sans presque dormir (!), on amasse des pièces d'or facilement. Que c'est forcément "la populace" qui se bat pour ses droits, et encore, pas très efficacement. Bref, vive l'ultra-libéralisme et l'individualisme forcené et à bas le partage ! Un peu interloquée, je l'ai terminé pour voir si cette philosophie se maintenait jusqu'au bout : oui. Exit la série et cet auteur en ce qui me concerne.
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Encore un merveilleux moment avec ce roman. Je ne sais pas comment monsieur Goodkind fait mais en tout cas son imagination débordante me plaît bien. Chaque fois l'histoire m'emporte vers un autre monde...
Cet opus est tout particulièrement intéressant, pas de temps mort , des rebondissements importants pour la suite,et une fin qui nous donne tout de suite envie de poursuivre notre bataille contre cet empereur despotique, vénale et cruel.

La suite sur mon blog...
Lien : http://www.les-lectures-d-un..
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