Astérix, tome 5 : Le Tour de Gaule d'Astérix

Inspecteur Général Fleurdelotus : Ouvre l'œil, et le bon !
Un légionnaire éborgné : L'autre, je peux pas encore l'ouvrir. Je risque pas de me tromper !

Astérix : Passe-moi une amphore.
Obélix : Brut ?
Astérix : Brut !
(Après avoir reçu le bouchon en pleine figure :)
Légionnaire : Brutes !

- Obélix, il serait plus prudent que nous nous contentions de manger quelques racines…
- Les racines, c’est bon pour les sangliers et le sangliers c’est bon pour nous. Comme ça tout le monde est content !

Décurion Quintilius (à Cambrai) : Gaulois, ce sont vos dernières bêtises !

- Mais que ce passe-t-il ici ?
- D'où sortez-vous ? Vous ne savez pas que c'est l'époque du grand repos et que tout le monde part à la mer pour se détendre ?
- DESCENDS DE TON CHAR, SI T'ES UN HOMME !
- J'AI FAIS LA GUERRE, MOI MÔSSIEUR ! … J'ETAIS A GERGOVIE, MOI MÔSSIEUR !!!
- Ils se détendent eux ???
- Ils sont fous ces lutéciens

Jamais plus je ne trahirai mes compatriotes ; c’est un métier assez bien payé, mais plein de risques… et moralement indéfendable.

Nous sommes chez nous en Gaule ! Et nous irons où bon nous semblera !

Quatrédeusix : Je suis un infâme, mais après tout, il en faut aussi ! Et puis je ne fais pas ça sans raison ; je le fais pour l'argent !

Obélix : Il y a une chose qui manque à notre banquet : la spécialité de notre village !
Astérix : Très juste Obélix ! Ô Fleurdelotus, notre village t'offre sa spécialité… La châtaigne !

César Labeldecadix (Massaliote jouant à la pétanque) : Romaing ! Si tu nous empêches de jouer la partie, si tu touches le bouchon, je te promets qu'à Massilia, ça va être terrible ! La révolution ! L'émeute ! Le massacre ! La guerre ! La grosse catastrophe !