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Astérix tome 1 sur 40
EAN : 9782014001341
64 pages
Hachette (17/01/2024)
3.99/5   2148 notes
Résumé :
Premier tome des aventures d'Astérix, l'album "Astérix le Gaulois" sort en librairie en 1961. Avec la naissance de ce petit Gaulois moustachu et teigneux qui apparaît pour la première fois dans les pages de 'Pilote' le 29 octobre 1959, le scénariste René Goscinny et le dessinateur Albert Uderzo rencontrent un immense succès, créant un véritable phénomène de société. Ils créent des personnages pittoresques et attachants, s'amusent à réécrire l'Histoire et enchantent ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (167) Voir plus Ajouter une critique
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Qu'il fait bon se replonger dans les classiques ! Astérix ne date pas d'hier : 1959 pour la première publication et 1961 pour ce premier « recueil » !
Alors, bien sûr, certains trouveront le scénario convenu et les dessins bien pointus (les silhouettes ne sont pas complètement fixées, encore), mais qu'importe ?! Ce premier tome est diablement efficace, et c'est l'essentiel ! Il nous parle en termes simples, il nous dévoile la base de l'humour goscinnyen, mais il nous parle surtout en termes honnêtes de folklore, de résistance (pensez donc qu'on est en 1959, l'Occupation, c'était la veille !). Malgré mon jeune âge, par rapport à cette bande dessinée, certains dialogues sont réellement gravés dans ma mémoire, avec l'aide précieuse du dessin animé qui en est la fidèle adaptation. Nous suivons là Astérix qui est baladé de son village aux camps retranchés romains et qui met toute sa gouaille et sa malice bien françaises à donner du fil à retordre aux « envahisseurs ». Si, pour l'instant, excepté peut-être Panoramix, nous ne découvrons pas beaucoup plus les autres « irréductibles Gaulois », ce n'est que partie remise car cet album en appelait bien d'autres.

Point besoin d'épiloguer davantage : c'est toujours un plaisir de lire cette simple histoire pleine de bonne humeur et qui foisonne de bonnes idées à exploiter par la suite. Nostalgie !

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Nous apprêtant à séjourner en Russie quelques jours chez l'habitant, mon mari et moi cherchions des cadeaux à emporter avec nous qui soient emblématiques de la culture française. Nous avons décidé d'offrir, en autres, quelques bandes-dessinées parmi lesquelles une aventure d'Astérix, qui s'est présentée à notre esprit comme une évidence.

Chargée d'acquérir ladite BD, mon choix s'est presque immédiatement fixé sur "Astérix le Gaulois" car il me semblait logique de commencer par le commencement. Qui a dit que les femmes étaient fâchées avec la logique, déjà ?

Mais, après avoir relu moi-même cet opus, je me rends compte que j'aurais peut-être dû porter mon choix sur un album mieux fourni en action. "Astérix le Gaulois", en tant que premier volet d'une série dont les auteurs ne pouvaient qu'espérer le succès sans le programmer, a pour rôles principaux de planter le décor et d'esquisser le caractère des personnages. Avec le recul, et après que des dizaines d'autres albums d'Astérix soient passés entre mes mains, il est clair que ce premier tome me laisse un peu sur ma faim.

La première émotion que j'ai ressentie en commençant ma lecture fut la surprise, teintée de nostalgie. Découvrir nos deux héros, le petit Astérix et le gros Obélix, sous des traits moins assurés, rend Astérix pas si sympathique et Obélix pas si "enveloppé" que ça. Sans Idéfix et sans aucune figure féminine, il y a comme un goût de "trop-peu". Pourtant, l'humour est résolument déjà là, dans chaque phylactère, dans chaque expression, dans chaque geste. Je me suis émerveillée de voir plantées dans un si bon terreau les graines de cet univers promis à se développer et à s'enrichir.

Côté histoire, c'est la première confrontation avec les Romains. L'action est très simple pour ne pas dire simpliste mais permet de prendre la mesure de la mythologie à venir et de faire la connaissance De César, rien de moins !

Relire cet album m'a donné envie d'en lire d'autres, c'est bien là le principal. Quant à mes hôtes, je pense au final qu'ils s'épargneront toutes ces considérations pour, je l'espère, n'approuver que la typicité d'une BD identitaire.
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J'aime dire qu'il y a des signes qui ne trompent pas. V'là qu'hier soir Madame me demande de ranger la bibliothèque, soit-disant que l'on ne s'y retrouve plus. J'avoue, j'ai une légère tendance à éparpiller un peu partout mes comics et bandes dessinées mais à ma décharge j'en ai un peu trop. Bref, première étagère que j'attaque et là paf, je tombe sur ma collection Astérix. Coïncidence ? Vous voyez où je veux en venir.

Remémorez-vous, ce souffle nostalgique électrisant, souvent accompagné d'un ridicule sourire béat, qui vous envahit lorsque vous retombez sur un objet de votre enfance que vous n'aviez pas revu depuis des lustres ? C'est ce que j'ai ressenti en rouvrant le tome 1 du héros gaulois à la moustache dorée des enfers. Verdict de la lecture deuxième round ? Toujours aussi exquise, et même meilleure, même quinze ans après (promis mes racines semi bretonnes n'y sont pour rien).

Albert Uderzo, même si son coup de crayon s'est affiné et embelli avec le temps, faisait déjà preuve à cette époque d'un indéniable talent pour les graphismes cartoonesques. Les bulles regorgent d'énergie et de vie et un charme magnétique en émane. de son côté, René Goscinny témoigne d'une plume des plus affûtées en livrant des dialogues ciselés qui font mouche, entre esprit satirique, clins d'œil culturels, sociétaux et politiques en pagaille et humour potache savoureux à gogo.

Que vous soyez fier(e) de vos origines bretonnes avec des tendances limite chauvines, amateur(trice) de bandes dessinées ou simplement à bord d'un train égaré en retard sur les romans graphiques cultes, cette saga breizhek (bretonne ndlr si mes souvenirs sont bons) semble tout indiquée.

PS : je n'ai toujours pas rangé la bibliothèque.
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Nom de Zeus par Toutatis ! J'ai l'impression d'un Retour vers le passé ! J'ai depuis peu récupéré ma capacité à trouver le temps nécessaire pour produire et publier quelques critiques dans Babelio ! Je tiens donc à exprimer toute ma gratitude et remercier mes parents, mes professeurs de français, et surtout mon dernier employeur et l'Agirc-Arrco qui ont permis de rendre tout cela possible...
Depuis ma précédente critique postée sur le site en novembre 2018, la liste des critiques en attente s'est considérablement allongée, et selon mes dernières lectures, le site me signale gentiment qu'il me reste encore 105 livres à critiquer, ou critiques à livrer, ce qui revient au même.

Certaines de ces lectures n'étant plus toujours très fraîches, je me suis imposé un « challenge » consistant à relire des séries de bédés ou de romans depuis leur origine et par ordre de date de parution, un vieux fantasme de lecteur que certains comprendront sûrement. Ayant acheté l'intégralité des albums d'Astérix, pour faire connaître cette oeuvre monumentale (avec plus ou moins de succès) à ma progéniture et poursuivant cette série encore aujourd'hui, dans l'attente fiévreuse d'une histoire d'iris blanc, il m'a semblé que le petit Gaulois était un bon candidat pour commencer.

On ne présente plus Astérix. Il appartient désormais à l'imaginaire collectif de 3 à 4 générations de lecteurs au minimum. Son message est intemporel et universel : il résiste encore et toujours à l'envahisseur, un destin qui restera sans équivalent jusqu'à l'apparition de David Vincent sur les petits écrans dix ans plus tard. Les habitants du village gaulois, teigneux et irréductibles, sont l'archétype des Français indépendants et râleurs, à qui on ne la fait pas, sortant victorieux de toutes les situations et de tous les combats (mais en trichant un peu, grâce à la potion magique du druide Panoramix).

Les albums au fil de la série vont s'alimenter de contextes culturels ou historiques variés, de faits de société ou de thématiques modernes que les auteurs transposeront dans l'Antiquité pour le plus grand bonheur des lecteurs. Cependant, le premier album, Astérix le Gaulois, sert surtout à planter le décor, et les personnages récurrents ne sont encore qu'en très petit nombre, ils vont s'étoffer au fil de l'eau lors des parutions successives d'albums.

Obélix, que certains considère comme le véritable héros de la série, n'est ici qu'un figurant. Il semble amaigri et esquissé sous des traits non encore définitifs qui le rendent méconnaissable (le dessin de couverture, où il est d'avantage identifiable, est largement postérieur au contenu, prépublié dans le journal Pilote à partir de 1959). Astérix lui-même, apparaît plus grand que sa représentation définitive. Quant aux autres personnages, ils sont eux aussi très différents de leur représentation habituelle (César, Abraracourcix, Assurancetourix et, surtout, Cétautomatix).

C'est Uderzo qui a voulu ajouter un personnage « secondaire », Obélix, faire-valoir du héros officiel Astérix donnant son nom à la série. Uderzo avoue lui-même préférer dessiner des gros balèzes comme le prouvent aisément ses précédentes créations (cf. Belloy, et bien sûr Oumpah-Pah). Dans Belloy, clairement, c'est le petit malingre à moustache – le Père Hoc, avec ses faux airs d'Astérix – qui sert de faire-valoir au grand musclé héros de la série qui a la préférence d'Uderzo. In fine, Obélix, voulu par Uderzo, n'aura pas le temps de montrer son véritable potentiel comique dans ce premier album.

Passons sur le synopsis, simple mais néanmoins efficace, qui ouvre une série de scénarios bâtis sur le thème récurrent : comment les romains imaginent un stratagème pour s'emparer de la potion magique. Les deux auteurs posent de fait les futurs standards de la série : la mission confiée à Astérix « petit guerrier à l'esprit malin », Obélix toujours frustré et privé de potion magique, les citations latines, les jeux de mots, les romains invariablement inefficaces et humiliés, la banquet final.

A la fin des années 50, une forme de censure assez sévère existe pour les publications destinées à la jeunesse, notamment concernant la représentation de la femme dans la bande dessinée. En relisant cet album avec un oeil neuf, une anomalie passée inaperçue lors de nos premières lectures, car elle s'inscrit dans les traditions d'une époque, nous saute aux yeux aujourd'hui et peut même passer pour une faute de goût, voire une véritable goujaterie : l'absence totale de personnages féminins (vérifiez vous-même, il n'y en a aucun) ! Ce choix d'un autre temps disparaîtra très progressivement et constituera l'un des fils conducteurs de mes prochaines critiques. Précisons dès maintenant que les premiers personnages féminins qui bénéficient d'un prénom dans la série – mais qui doivent se contenter d'un rôle de figuration – sont Éponine, du nom d'une Gauloise ayant vécu au 1er siècle, épouse de César Labeldecadix apparaissant dans le Tour de Gaule (album n°5) et Boufiltre (prénom logique pour une gauloise) qui n'apparaîtra que dans le Combat des chefs (album n°7). Ces personnages précurseurs apparaissent bien avant les personnages féminins récurrents que nous connaissons aujourd'hui et qui commenceront à exister dans de petits rôles : Falbala (album n°10), Bonemine (album n°11), Iélosubmarine (album n°14), Mmes Agecanonix et Cétautomatix (album n°15), etc.

Dans ce premier album, la prise en compte des femmes semble être si compliquée ou hors sujet qu'il est préférable de les faire disparaître purement et simplement. Ceci est particulièrement visible dans certaines scènes que l'on pourrait presque qualifier de gênantes : lors de la danse folklorique organisée par les habitants du village, on ne voit que des hommes (planches 15 et 16) ; le banquet final (planche 44b) ne réunit également que des hommes y compris pour faire le service ou pour surveiller les sangliers à la broche (déjà le syndrome du barbecue ?). Mais où sont les femmes ? chantait Patrick Juvet encore traumatisé par cette découverte en 1977…

Je m'interroge sur cette disparition, digne de la misogynie d'un journal Taliban. Drôle d'époque. En fait, c'est la loi du 16 juillet 1949 sur les publications destinées à la jeunesse qui amène les éditeurs à s'autocensurer, allant jusqu'à provoquer la disparition des personnages féminins. Il faudra attendre Astérix Légionnaire, donc le 10ème album de la série sorti en 1967 pour voir enfin un vrai rôle proposé à un personnage féminin : Falbala. Les plus célèbres héroïnes de la bande dessinée pour la jeunesse ne sont pas en reste : Laureline apparaît également en 1967, elle n'était initialement pas prévue pour être un personnage récurrent et son prénom est intégré au titre de la série à égalité avec Valérian quarante ans plus tard, en 2007. Natacha l'hôtesse de l'air et Yoko Tsuno n'apparaissent qu'en 1970.

On remarquera, lors du banquet final, que le barde Assurancetourix n'est ni enchaîné ni bâillonné et participe à la fête. La mise à l'écart du barde en forme de running gag va commencer à partir du deuxième album La Serpe d'or (qui devrait en principe faire l'objet de ma prochaine critique, clic, clic, clins d'oeil appuyés).

Pour conclure, ce premier album est, vous l'aurez compris, absolument incontournable, non seulement pour comprendre comment tout a commencé, mais également pour apprécier l'évolution au fil des albums de l'une des séries les plus géniales et les plus populaires de la bande dessinée franco-belge, Id quod sentio, sic dico… Farpaitement, par Toutatis !
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LA bande dessinée de mon enfance ! Je n'aimais pas Tintin mais je dévorais les albums du petit Gaulois (non, pas le vendeur de volailles... comprenne qui pourra). Ce premier tome fait office de présentation, tant au niveau des personnages que du fonctionnement de ce village mené par Abraracourcix, le chef. Alors que fait un gaulois lorsqu'il s'ennuie ? Je vous le demande ! Il va taper sur des romains (notons au passage que cette coutume, bien que fictionnelle, a été adoptée par quelques abrutis qui n'ont pas compris que ce n'était qu'une BD... Ouais, ok, je sors...). Et que font les romains ? Ils essaient tant bien que mal de capturer ces foutus gaulois... Il leur faut envoyer un éclaireur afin de comprendre le secret de leur invincibilité. Mais là, c'est un grand concours d'autruches ! Plus personne pour vouloir se faire taper dessus, c'est aberrant ça quand même ! Qu'à cela ne tienne, on va employer la méthode forte : le jeu des chaises musicales ! Et le grand perdant est... je vous le donne en mille... Caligula Minus !!! Transformé en Caliguliminix, il va vite découvrir que tout réside dans cette potion préparée par le bonhomme à la barbe blanche. le père Fourras ? Non, le druide Panoramix... qui va se retrouver enlevé par ces barbares... Crachera-t-il le morceau ?

Allez, un petit chant (d'Armande Altaï) du barde Assurancetourix pour se quitter ? Comment ça non ? Z'êtes pas conciliants non plus, hein !!!

Lien : http://www.lydiabonnaventure..
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Citations et extraits (95) Voir plus Ajouter une citation
"Les Shadoks ? C'est notre Astérix de l'an 2000" - Ce titre de journal m'a récemment sauté aux yeux, et il ne m'en a pas fallu plus pour essayer d'imaginer ce que serait Astérix, dessiné par l'équipe qui a crée les "Shadoks" à la télé. (Gotlib)
Ça pourrait donner à peu près ceci :
Ta-ra-ta-ria-ta-ta-ta-ta-ria-ta-ta-ta-ta-ria-ta-ta-ta Ding-dolong-beleng-beleng
Les "shadogaulois" habitaient un charmant petit village au bord de la mer.
Ils étaient commandés par le grand Abraracourcoks.
Un peu plus loin il y avait le camp des gibiromains.
Les gibiromains passaient leur temps à faire des patrouilles dans la forêt.
Les deux shadogaulois les plus célèbres étaient Astéroks et Obéloks.
Obéloks était follement épris de lajeune et jolie shadogauloise Falbaloks.
Euh pardon...
Le druide Panoramoks, shadogaulois très sage, possédait les secrets du cosmogol magique.
Le cosmogol magique rendait les shadogaulois invincibles quand ils en buvaient.
Et les gibiromains ne songeaient qu'à s'approprier le secret du cosmogol magique...
....Afin d'être invincibles à leur tour. Mais Astéroks et Obéloks ne s'en souciaient guère.
Ils allaient se promener dans la forêt et y rencontraient des patrouilles de gibiromains......
Ta-ra-ta-ria-ta-ta-ta-ta-ria-ta-ta-ta-ta-ria-ta-ta-ta Ding-dolong-beleng-beleng
Goooiiin
C'est tout pour aujourd'hui
- service recherche R.A.B.* voix : Gotlib - co-production : Goscinny-Borg-Uderzo-Rouxel -
(extrait d'une double page "hommage de Gotlib à Goscinny et Uderzo", du journal exceptionnel paru en 1994 "Ça c'est un anniversaire Astérix)



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Qui est Goscinny ? Que sait-on sur lui ?
C'est son vrai nom
(vous croyez qu'un nom comme celui-là, ça s'invente ?)
Cumule à "Pilote" les fonctions de rédacteur en chef et de scénariste (Astérix et Obélix, bien sûr)
Travaillerait également dans un journal concurrent sous le pseudonyme de Goscinny (Lucky Luke dans Spirou)
Signe particulier : travaille beaucoup et souvent
A vécu plusieurs années en Argentine et aux U.S.A. avant de raconter des histoires dans les journaux illustrés, et a exercé des professions diverses : aide-comptable, démarcheur publicitaire, secrétaire, sergent dans l'armée, directeur artistique, journaliste, dessinateur...
Quelle est l'origine de sa vocation de scénariste ?
"J'ai été mis à la porte de mon poste d'aide-comptable".
Il estime que sa qualité primordiale, c'est le calme et que son défaut majeur c'est d'avoir une trop grande bonté.
D'ailleurs ses amis et ses collaborateurs ne lui reprochent aucun défaut (qu'ils essaient seulement !)
Son sport favori est de répondre aux questionnaires.
Il aime les bons films comiques (Laurel et Hardy, Jacques Tati, etc...)
"Trois hommes dans un bateau" de Jérôme K Jérôme est son livre préféré.
Son violon d'Ingres ? - Astérix
Sa manie ? - Astérix
Le héros qu'il aimerait incarner ? - Idéfix
S'il devenait soudainement très riche, quelle est la première chose qu'il achèterait ?
"J'ai acheté un appartement".
(extrait de "Qui est qui ? Ils vous amusent chaque semaine !", dictionnaire des auteurs du journal "Pilote" compris dans "Le petit Pilote Illustré", supplément du numéro 385 du journal d'Astérix et Obélix paru en 1967)
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Nous sommes en 50 avant Jésus-Christ...Toute la Gaule est occupée par les romains...Toute ?? Non !! Un village peuplé d'irréductibles gaulois résiste encore et toujours à l'envahisseur.
C'est dans ce village que résident Astérix, le guerrier gaulois, et tous ses amis : Obélix le livreur de menhirs, Assurancetourix le barde, Panoramix le druide, Abraracourcix le chef..., et tant d'autres encore, qui ne craignent qu'une chose : c'est que le ciel leur tombe sur la tête...
Tous ces gaulois, joyeusement et sans effort apparent, parviennent à rendre la vie dure aux romains qui, eux, y perdent leur latin....
Et dans les camps retranchés qui ont pour noms Babaorum, Aquarium, Laudanum et Petitbonum, les légionnaires romains s'interrogent : Quel est donc le secret de la force surhumaine des gaulois ?
L'ambitieux centurion Caïus Bonus a décidé de découvrir la "vérité". Cette téméraire décision permettra à nos farouches amis de s'en donner à cœur joie.
Astérix, Obélix et Panoramix mèneront le combat avec enthousiasme, courage et fantaisie.
Mais n'en disons pas plus, la parole est aux gaulois, par Toutatis !!!
En vente chez votre disquaire habituel....
(publicité extraite du numéro 62 du journal "Pilote" paru le 29 décembre 1960)
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- Quelle est la recette de cette potion, ô druide ?
- L'origine de cette recette se perd dans la nuit des temps et elle ne se transmet que de bouche de druide à oreille de druide... Tout ce que je peux te dire c'est qu'il y a du gui et du homard...
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- Voici le breuvage...
- Alors ce breuvage, je le brois ?... Glou ! Glou ! Glou ! Glou ! Glou !... On dirait un potage aux légumes...
- Oui, je peux faire plusieurs parfums : soupe au poisson, omelette au fromage, canard à l'orange et praline...
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