Astérix, tome 7 : Le combat des Chefs

Quoiqu'il reste dans les environs du village, ce septième tome apporte de la nouveauté dans le paysage gaulois. Au lieu de Petibonum, nous découvrons enfin l'un des autres camps romains de la région, et on rencontre surtout un village gaulois qui se met totalement à la mode romaine.

Le Combat des chefs a de très bonnes scènes comiques entre les expérimentations farfelues de Panoramix, la salle d'attente d'Amnésix dans laquelle patientent divers malades ou la fête foraine qui s'établit pour le combat fatidique. La séance de dégustation des potions du druide par un cobaye romain est également sympathique avec son florilège de couleurs et de motifs. Et le nouveau compagnon du romain est aussi très plaisant.

Reste que, selon moi, le running-gag autour d'Obélix est trop répétitif et m'a paru de plus en plus lourd, et qu'Abraracourcix est finalement peu présent malgré le titre de cet opus. Ce tome aurait été l'occasion idéal pour mettre pour la première fois en avant le chef de village. Néanmoins, on s'amuse toujours autant de l'ambiance bon enfant de ces gaulois, même si je préfère Panoramix dans son état normal.
Lien : https://entournantlespages.w..

Un tome d'Asterix riche en humour et en rebondissements. Lecture très agréable où certains personnages se dévoilent un peu plus que d'habitude.

Ah Panoramix qui perd la tete a cause d'un menhir un des episodes les plus droles je trouve je me souviens encore quand je le regardais etant petite

tout est dans le duo qui joue la carte du comique.

Pourquoi toujours crier aussi fort que ça ?

On va finir par devenir sourds à force de crier ainsi.

Ce n'est vraiment pas raisonnable de s'énerver de la sorte.

Ils vont finir par se faire mal si cela continue.

Soyons raisonnables et réfléchissons un peu à tout cela.

Deux coqs dans la même cour ça fait trop de bruits pour tout le monde.

N'empêches qu'il faut tout de même aller ouvrir ces pages et les tourner, il y a toujours quelque chose à y découvrir.

J'ai toujours été un fervent adepte des Astérix, donc pour en choisir un, cela me demande de faire appel à quelques irréductibles neurones encore non occupés.

Les jeux de mots, les anachronismes volontaires, la bêtise des romains, la dérision des gaulois, toute cette ambiance me permet de retoruver les plaisirs de la lecture de ma jeunesse.

Alors pourquoi le combat des chefs ? Peut-être pour le coup du menhir asséné par Obélix à Panoramix, qui le rend amnésique et d'où découlent toutes sortes de situations burlesques, mais il n'emêche que tous les Astérix me conviennent ...

Aussi, si vous ne les connaissez pas, ce qui semble peu probable, je vous invite alors à les lire, par Toutatis !!!

Très bon livre, pour une fois, c'est Abraracourcix qui va à l'attaque, pas Astérix.

trop bien !!!

« Astérix et Cléopâtre » est le septième album de bande dessinée de la série de René Goscinny et Albert Uderzo paru pour la première fois dans Pilote à partir du no 261 (22 octobre 1964) au no 302 (5 août 1965) et publié en album en 1966 en 600 000 exemplaires.

Afin de conquérir le village des irréductibles gaulois, les romains décident d'utiliser les coutumes des gaulois : un combat des chefs dont le vaincu doit se soumettre avec sa tribu au vainqueur.

Mais il y a un problème, le chef Abraracourix est invincible grâce à la potion magique. le romains décident de capturer le druide mais l'intervention d'Obélix rendra Panoramix amnésique ...

Même s'il ne s'agit pas du meilleur album de la série, il reste très divertissant avec de nombreux gags : la visite chez le druide Amnésix est, à mon goût, le meilleur moment de l'album.

Le commentaire d'Uderzo pour cet album : "J'admets que c'est l'album le plus "politique", dans le sens où l'on assiste à la remise en question du chef traditionnel, Abraracourcix, par un personnage venu de l'extérieur, le chef du village voisin, Aplubégalix, qui brigue la magistrature suprême..." Albert Uderzo dans Lire, Hors-série n°1, L'histoire secrète d'Astérix.

Pas mal d'humour notamment grâce à l'amnésie de Panoramix puis d'Amnesix mais pas la plus passionnante des histoires d'Astérix.
Au moins, il met en avant le chef Abraracourcix ainsi que certaines traditions politiques de nos chers gaulois.