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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Sans doute l'un des tomes les plus drôles de nos amis Gaulois. Ici, le pauvre Panoramix va être victime d'un bourde d'Obélix qui ne va cesser de multiplier les bévues au grand dam de ce pauvre Asterix.

Beaucoup d'humour avec le personnage de Panoramix totalement loufoque et déjanté, comme toute l'intrigue de cette histoire. On a l'impression que pour ce septième album les auteurs se sont lâchés pour sortir une histoire totalement différente, puisque ici, personne ne part à l'aventure ou ne réclame l'aide des gaulois.
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Gosse, j'adorais le combat des chefs car il était déjanté, bourré de choses folles et d'images très colorées.

Je riais comme une folle devant les druides amnésiques s'amusant avec leurs potions, avec Panoramix faisant passer un pauvre romain par toutes les couleurs de l'arc-en-ciel, hurlant de rire lui-même en se roulant au sol…

Je reprenais de plus belle avec toujours ce même soldat romain qu'on avait envoyé en tant qu'espion et qui sentait le poisson.

Le hibou qui l'accompagnait me faisait pisser de rire aussi. Bref, c'était une lecture bidonnante et je ne m'en suis jamais lassée.

Ça, c'était quand j'étais gosse et que je ne voyais que le premier degré de l'histoire, dont les gags très visuels et pas ce qu'il y avait derrière toute cette aventure rocambolesque.

Mon avis en tant qu'adulte ? Je me bidonne toujours devant les jeux de mots, les calembours, les druides qui ont pris un coup de menhir, le pauvre roman dans son arbre, sentant le poisson. le côté graphique des gags me plait toujours autant.

Par contre, ce que je vois en plus, c'est la pique envers ceux qui, un jour, pactisèrent avec l'envahisseur, voulurent être plus Romains que les Romains quitte, pour cela, à faire des travaux inutiles pour prouver leur Romainitude (néologisme gratuit) et qui, mégalo jusqu'au bout des doigts, auraient bien aimé être calife à la place du calife. Heu, César à la place de César !

Si j'avais en horreur les équations, j'ai toujours gardé le personnage d'Aplusbégalix dans mes préférés, même s'il veut vivre comme les Romains, être Romain, vit comme un Romain et prendre la place d'un autre chef gaulois…

Aplusbégalix exprime bien cette cupidité humaine, lui qui voudrait, après avoir gagné le commandement du village d'Abraracourcix, régner sur l'Empire Romain.

Aplubégalix est aussi la personnification des gens qui se sentent forts devant des faibles mais qui deviennent vert de peur face à un chef gavé de potion magique.

Beaucoup d'humour dans cet album qui n'a pas pris une ride et qui nous raconte, avec talent et drôlerie, les magouilles qui peuvent y avoir pour prendre la place d'un autre, les rêves de gloire de certains qui se voient déjà en haut de l'affiche, oubliant que ceux qui y sont ne laisseront jamais leur place et le danger du lancer de menhir !

Un album où l'on démontre que la force brute n'est pas gagnante à chaque fois car il faut aussi compter avec la ruse et l'endurance…

Un album qui plaira aux plus jeunes comme aux moins jeunes, anybref, un album qui fera rire de 7 à 77 ans même si les lecteurs âgés auront des raisons en plus de rire que les plus jeunes !

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Nous retrouvons dans ce volume Astérix et Obélix pour une nouvelle aventure.

Tout est calme dans le village gaulois, on chasse des sangliers, au passage on distribue quelques claques aux romains présents dans les forêts alentours et ce malgré leur art du camouflage...

Mais une question se pose, et si Panoramix n'était plus en capacité de faire son chaudron de potion magique? Obélix va "un peu" aider le village à expérimenter cette situation.

Et c'est justement le moment choisit par un chef gaulois à la solde des romains pour défier Abraracourcix dans un combat singulier dont le vainqueur sera le chef des deux villages.

Un très bon volume pour moi, relu grâce à mon fils et critiqué pour le Challenge à travers l'histoire 2021.
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Difficile de ne pas comparer cet opus avec les aventures qui l'ont précédé (Cléopâtre) et succédé (chez les bretons). Ce combat des chefs est peut être plus profond, dans son approche de la collaboration se telescopant avec les traditions. Les chefs "grande gueule" mais pleutres, se débarrassant par des "y a qu'a" sur les autres, en pleine pour leur grade avec Langelus.
L'humour est bien là, essentiellement servis par les tentatives de potion magiques, et aussi par un Aplusbegalix plein de contradictions, mais sympathique malgré tout, et un Amnesix singeant les psychologues.
L'humour est toujours positif chez Goscinny, et même si les jeux de mots sont un peu faciles, on sourit souvent.
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Plutôt que l'approche frontal, nos amis romains tentent une nouvelle tactique pour défaire le village d'irréductibles : un chef gaulois à leur solde provoque Abraracourcix en duel. Et ce n'est pas tout. Pour être sûrs de la victoire, ils s'en prennent au druide, bien entendu, pour éviter le recours à la potion magique. Mais c'est finalement Obélix qui a raison de Panoramix, ou plutôt son menhir...
Un opus très drôle avec tous les ingrédients qu'on aime : mélange de modernité et d'antiquité, jeux de mots à la métaphore filée (le détachement camouflé est savoureux), les références culturelles (ah! Catherine Lara!), Obélix qui n'est pas gros...
Un joyeux moment.
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Septième album des aventures des irréductibles gaulois, le combat des chefs est un véritable régal !!
Comme toujours, les noms des personnages, qu'ils soient romains ou gaulois, sont un vrai plaisir à eux seuls.
Quant à l'intrigue, elle part d'une idée simple du décurion, et elle nous amène à la tentative d'élimination de Panoramix et à sa difficile rémission, dont certains légionnaires romains font les frais.
Le combat et ses règles sont tout aussi hilarants. On y découvre ainsi l'origine du terme "être en ballotage", lorsque deux chefs qui se trouvent à égalité devaient de jeter des ballots de paille au visage.
On a une petite pensée pour ce pauvre légionnaire qui passe par toutes les couleurs de l'arc-en-ciel avant de s'envoler comme un oiseau...
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Une sympathique aventure d'Astérix mais rien de transcendant. le village est à nouveau menacé par les tentatives romaines. Cette fois, la romanisation est à l'honneur. On plie les coutumes gauloises pour déposer Abraracourcix, chose d'autant plus aisé que la potion est difficilement préparable avec Panoramix hors d'usage.

Ce tome 7 est distrayant. Pour autant, j'ai beaucoup moins ri, n'y trouvant que peu de jeux de mots ou de situations loufoques.
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Obelix a le menhir un peu facile ... voilà de quoi faire perdre la mémoire à Panoramix et priver le village de potion magique. C'est le moment choisi par un chef gaulois (aidé par les romains) pour défier Abraracourcix ... quel suspense !
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Septième tome des aventures d'Astérix.
Dans celui-ci, Obélix lâche malencontreusement un menhir sur Panoramix et celui-ci perd la mémoire. Une véritable catastrophe pour le village des irréductibles Gaulois, d'autant plus que les Romains en profite pour préparer un sale coup avec l'aide d'un Gaulois vendu à Rome Aplusbégalix.
Tout rentrera dans l'ordre mais les druides en feront voir de toutes les couleurs, avant la fin, à nos Gaulois.
On y relèvera un "oh, la belle rouge ! ", gage de qualité semble t-il pour Goscinny et Uderzo.


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Après qu'Obélix lui ait malencontreusement lancé un menhir en pleine tête, Panoramix se retrouve amnésique et totalement gaga. Mais que va devenir le village si le bon druide ne sait plus préparer la potion magique ?

L'histoire de ce septième épisode n'est pas la plus intéressante qui soit mais elle est un prétexte à une succession de gags hilarants et totalement déjantés. Tout le talent d'Uderzo est au service de cette histoire où le visuel prédomine sur le fond.

Un album haut-en-couleurs !
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