L'apocalypse selon Marie

En lisant les avis laissés par les Babeliotes sur ce thriller qu'est l'Apocalypse selon Marie, j'ai relevé beaucoup de déception de leur part. Il faut préciser que nombre d'entre eux avaient lu l'opus précédent l'Evangile selon Satan qui les avait particulièrement ravis.

Pour ma part, je n'ai pas lu l'Evangile selon Satan. Pourtant, j'ai ressenti un sentiment identique à ces lecteurs. Ce qui pourrait les rassurer. La raison vient peut être du fait que ce récit est un mélange de trop nombreux genres : thriller, horreur, ésotérique, sciences fictions, policier. C'est beaucoup trop !
Au lieu de nous capter par un récit haletant qui nous oblige à garder le livre pour engouffrer les chapitres jusqu'au bout de la nuit, l'imbrication des genres, à chaque nouvelle partie, freine le rythme. Cela donne un aspect confus et saccadé.

Dommage ! Certains passage peuvent être captivants (pas longtemps) et des dialogues sont incisifs et drôles, mais trop peu, pour moi.

Au final, il me semble avoir achevé une pâle copie d'un Stephen King, et n'est pas King qui veut. Je n'ai pas accroché. Tant pis.

D'emblée je me dois d'annoncer : quelle déception !
Emballée par la lecture de l'Evangile selon Satan, j'ai poursuivi ma découverte de l'auteur avec « Retour à Rédemption », que j'ai également adoré.
Lorsque j'ai commencé « l'Apocalypse selon Marie », ouvrage reprenant les personnages de l'Evangile selon Satan j'étais loin de me douter que, passée les 100 premières pages, la lecture allait vite devenir ennuyeuse. le récit est pourtant digne d'un bon thriller : une obscure organisation à la poursuite d'une petite fille, un agent du FBI, de sexe féminin, à moitié suicidaire et alcoolique tentant d'empêcher la destruction de l'humanité par la prolifération d'un virus mortel. Que de bons ingrédients !
Pourtant, la sauce ne prend pas. La multiplicité des phénomènes paranormaux, la présence de créatures fantastiques, l'éternelle question de la naissance de l'humanité et de sa fin sont tous abordés un peu en vrac et parasitent le récit plutôt que de l'enrichir.
Je pensais l'auteur capable de produire une suite de qualité. Ce n'est, à mon sens, pas le cas dans cet ouvrage. Je suis restée sur ma faim.

Auteur d'un premier roman : l'évangile selon Satan, l'auteur est un fan de Stephen King et cela se ressent .Il nous entraîne cette fois à la suite de Marie, agent du FBI et profileuse de talent, dans un thriller écolo mâtiné de polar à la sauce SF. Des personnages attachants qu'il dévoile par petites touches, une intrigue à tiroirs construite comme un puzzle et Marie, cassée par un passé douloureux, qui met son don de télépathe au service des victimes de tueurs en serie, en font un roman palpitant qu'on ne lâche qu'à la dernière page . de quoi passer un très bon moment. Rebutée par le titre du premier opus des enquêtes de Marie Parks j'etais passée directement au second. Poussée par la curiosité, je me suis quand même décidée à le lire : ma première impression etait la bonne, trop d'ésotérisme nuit à l'intrigue et devient même indigeste au fil des pages !Décidément je préfère l'écologie et le fantastique !!

Succédant à un premier tome faisant office de très bonne surprise - un thriller ésotérique qui ne tombe pas dans les facilités et les clichés - il n'est malheureusement pas possible de dire que ce second volet soit dans sa droite lignée.
Tout d'abord, il ne semble y avoir de continuité avec le premier tome que dans le personnage principal. Ayant lu le premier il y a quelques années, j'ai peut-être oublié certaines choses mais le Vatican est délaissé (malgré le final de l'Evangile selon Satan), le personnage principal est dépeint comme il ne me semble pas qu'elle le fût dans le premier tome. Bref, l'auteur semble avoir voulu faire de ce deuxième tome un "stand alone", à comprendre par là qu'il se suffit à lui-même.
Pourtant si le début est assez prenant, on tombe vite dans des énoooormes clichés et une histoire pas du tout passionnante de sorcellerie préhistorique qui semblent avoir été mis là histoire de parvenir à dépasser les 600 pages. Mention particulière aux passages se déroulant auprès du président des États-Unis qui n'auraient pu être plus caricaturaux !

Vraiment dommage...