Nos étoiles contraires

Une histoire d'amour entre deux adolescents atteint du cancer .Le livre est facile à lire mais je ne l' ai pas spécialement trouver drôle et poignant .Les mots ne m'ont pas touché au point de pleurer. Moi qui avait peur de le lire je suis un peu déçu du coup .

J'ai lu ce livre avec plaisir. L'entrée en matière est franche et sans fioritures j'apprécie cela. Je n'aime pas les livres qui commencent réellement à la 70eme page, j'aime entrer dans le vif du sujet promptement. Et il est des auteurs comme Jonh Green qui n'ont apparemment pas besoin de combler des pages avec du vide pour écrire un roman.
L'histoire est belle, les personnages attachants, mais surtout le regard sur la maladie est plus piquant moins larmoyant plus intellectualisé et ça c'est intéressant. Ça nous change de la condescendance habituelle autour de ces sujets.
J'ai été par contre assez déçue de la fin qui tire en longueur. Jonh Green aurait-il finalement besoin de remplir des pages avec du vide pour écrire un roman?
Les états d'âme d'Hazel n'en finissent pas, les larmes et les sentiments mouillés affluent à la fin du livre et gâchent un peu le sentiment de différence que j'avais ressenti en commençant cette lecture. Dommage.
Ce fut une belle lecture tout de même.

Heureusement pas de scènes insoutenables dans ce livre qui raconte l'histoire d'amour de deux adolescents américains, Hazel Grace et Augustus, atteints tous deux de cancer. Bien que retirés du cursus scolaire et de toute vie sociale, ils sont plein d'humour et souhaitent réaliser leur rêve qui est d'aller à ..... pour ... (à vous de le découvrir).
L'analyse des émotions est juste. On ressent leurs moments de bonheur, leur tristesse, leur révolte aussi. On est admiratif, on s'émerveille mais on pleure un peu quand même. Une réflexion toute en finesse sur la vie, sur la mort, sur le cancer qui fait peur.
Livre recommandé à tous et sur prescription aux geignards et blasés bien-portants en tous genres ....

Une histoire d'amour émouvante et réaliste, sans chichi, dans le juste. Deux jeunes adolescents atteints de cancer, qui se retrouvent dans une réunion de discussions pour personnes malades. Pas de pathos dans cette histoire, juste une aventure émouvante.

Même si l'histoire d'une ado atteinte du cancer nous fait directement penser à un livre triste, je pense que ce livre n'est pas totalement triste. La romance entre Hazel et Gus est très prenante. J'ai aimé ce livre, l'histoire qu'il raconte, la belle leçon de vie. Ce que j'ai le plus aimé, c'est que nous n'avons pas de happy ending. Je pense que tout le monde s'attendait à la même fin, où tout finit par s'arranger. Depuis la lecture de ce livre, j'ai fais un petit séjour à Amsterdam, où j'ai immédiatement pensé à Hazel et Gus, et où j'ai adoré visiter la ville qu'ils ont visité.
Tout cela pour dire que c'est un très beau livre qui ne tombe pas dans les stéréotypes des livres parlant du cancer.

En cours de lecture. On pourrait croire que le sujet est déprimant, mais non. C'est rafraîchissant et pas du tout dans le pathos. Au contraire, c'est plein d'humour avec une sensibilité toute en retenue et en pudeur. J'adore !

Vaut définitivement le coup si on le lit en anglais, m'a fait coulé une petite larme. personnages attachants, histoire bien ficelée mais clairement pas un grand classique ou une oeuvre extraordinaire. ça se lit quand même bien et traite d'un sujet important ce qui vaut absolument le coup d'oeil sur ce libre qui se lit vite mais qui marque pour longtemps.

Je n'aurais jamais pensé lire ce best-seller un jour . Pourquoi ? le thème du bouquin a savoir deux ados atteints d'un cancer qui tombent amoureux l'un de l'autre. Autant dire que je commençais cette lecture en étant autant emballée qu'un ver dans une poire. En plus la couverture couleur bleu pétant avec des nuages (je crois...) me disait que j'allais atterrir aux pays des bisounours. Bref je n'ai pas acheté ce livre lorsqu'il est sorti certain qu'il était bourré de bons sentiments à l'eau de rose à deux mille lieux de la réalité. Au fil des années je l'avais oublié . Mais un jour d'avril,de cette année une jeune fille de 17 ans pleine de conviction m'a présenté ce titre quand je lui ai dis adoré la lecture. Seul argument : « c'est trop beau ! » alors je l'ai pris en la remerciant. Il est resté quelques semaines sur mon bureau avant que je me retrouve en panne d'inspiration pour mes futures lectures. Alors je l'ai ouvert. Dès la première page, le personnage d'Hazel, le mélange d'ironie, de tendresses et parfois que dis-je... très souvent saupoudré d'humour noir m'ont emporté !La plume de John Green est très subtile et sensible car il parvient en jouant ingéniosité à ce que le lecteur ai 17 ans à nouveau et ce laisse emporter par des petites perles de citation (je ne les ai pas retenues) désolée ! A l'intérieur du récit on trouve d'abord le truculent Gus ensuite, un mystère, leur correspondance avec l'écrivain du livre que les personnages aime tous les 2. Ce livre n'est pas un livre sur la maladie. C'est un livre sur la vie, la vraie. Celle qui est dégueulasse, impitoyable, qui fait mal mais qu'on aime malgré tout ! le personnage plus mature de Gus apporte une constance au récit, sa vision de la vie est très terre à terre et même temps très poétique,, je dirais même presque lyrique. Leur séjour à Amsterdam et magique (Oui c'est cul-cul et alors ?...) pour ce qui est de la fin je m'y attendais rien de surprenant alors j'enlève 2 étoiles. « Nos étoiles contraires « est dans la même veine que « Avant toi » de Jojo Moyes que j'ai dévoré ! J'adore les livres qui changent le cours des choses. lire ce livre ne laisse personne indemne croyez moi ! Il s'est échouez à point nommé dans ma vie ! Alors merci jeune fille.

Un roman bouleversant, écrit pour des adolescents et qui touche une corde sensible, la vie quotidienne des malades. Certainement peu réaliste, mais remplit d'espoir, j'ai trouvé que ce roman menait d'une émotion à une autre, ce qui peut être difficile à supporter ... Mais impossible de rester indifférent !

Littérature jeunesse, Nos étoiles contraires a le mérite de traiter avec sincérité et clarté un thème aussi grave que la maladie chez les jeunes. Une lumière bienveillante qui s'exprime toujours à travers une syntaxe claire et une écriture simple pour un roman résolument positif et tourné vers la vie. Les personnages d'Hazel et d'Augustus sont plutôt bien pensés et réalistes, toujours en décalage, même s'ils auraient pu être davantage étoffés et nuancés.
L'intrigue, bien que classique pour ce genre de littérature, fait apparaître des thèmes essentiels : la maladie bien sûr mais également l'amitié, le soutien, l'amour, la compassion, la compréhension et l'empathie.
Une ode à la vie et à sa beauté qui concilie avec quelques touches d'humour, désespoir et désir d'avenir. Un roman jeunesse plutôt réussit pour une oeuvre qui s'adresse avant tout à un jeune public.
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