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EAN : 9782070662579
384 pages
Gallimard Jeunesse (30/11/-1)
3.55/5   1280 notes
Résumé :
Will Grayson se méfie des sentiments. Les histoires de cœur portent la poisse, tout le temps. Alors, dans la vie, autant se faire discret. Son meilleur ami, Tiny Cooper, est à la fois une bénédiction et une vraie plaie : ami fidèle et rayonnant, il est aussi ouvertement gay que corpulent et n'a pas l'habitude de passer inaperçu.
A l'autre bout de la ville, un adolescent en pleine déprime assume mal sa différence. Le hasard veut qu'il se nomme lui aussi Will G... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (156) Voir plus Ajouter une critique
3,55

sur 1280 notes
~ Ma note 3,5/5.


~ Ce livre m'a laissé une impression vraiment étrange. Il est rare que j'aie autant de mal à exprimer mon jugement à la suite d'une lecture.
Tout d'abord : ça y est, j'ai enfin lu tous les John Green en date ! Et désormais, je peux affirmer une chose : Nos étoiles contraires est le meilleur. C'est le premier que j'ai lu ; c'est le dernier que j'ai vraiment aimé. J'ai trouvé tous les autres romans de l'auteur plutôt brouillons, étrangement similaires et... et... bizarres. À chaque fois, j'ai eu l'impression qu'il partait dans ses propres délires et fantasmes et qu'il me laissait sur la touche. Dans certains de ses romans, tels Qui es-tu Alaska ?, j'ai saisi davantage son message, ses émotions, ses personnages. Mais dans d'autres, je suis passée totalement à côté, comme La face cachée de Margo ou Le théorème des Katherine.

Pour en revenir à Will & Will, c'est exactement le genre d'impression que j'ai ressentie : brouillon, qui part dans tous les sens. Comme d'habitude, les thèmes explorés sont bien traités : l'amour, l'homosexualité, la souffrance, la solitude, l'amitié, la dépression... tout cela avec une touche d'humour (un gros point fort de John Green !) très bien dosée et qui, je le reconnais, m'a fait rire bien des fois. Cependant, les personnages, les actions sont amenés de façon si spéciale, avec une façon de voir les choses étonnante, que cela a rendu ma lecture... déroutante ? Oui, l'adjectif est plutôt bien choisi. Aussi, ce roman n'est pas très émotif et honnêtement, j'ai trouvé la fin cucul. Je n'ai pas compris le message transmis, si message il y avait.


~ Bref : Will & Will m'a laissé très mitigée, j'ai mis un peu de temps pour le lire, mais finalement j'ai su l'apprécier. Et si vous voulez un conseil (que, bien évidemment, vous n'êtes pas obligé de respecter) : lisez seulement Nos étoiles contraires et Qui es-tu Alaska ?. Ne cherchez pas plus loin pour ne pas être déçu(e).
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Des adolescents, des amours et des amitiés, deux garçons du même âge qui se rencontreront par hasard, des chapitres alternent entre les points de vue de chacun des Will.

Will & Will, ça me fait penser à un ancien trio d'humoristes québécois qui s'appelait « Paul et Paul ». Oui, oui, c'était un trio, l'un d'entre eux était le « et ». C'est aussi ce qui se passe dans cette histoire, le troisième héros, le personnage central, c'est Tiny Cooper un garçon obèse, homosexuel et féru de théâtre qui deviendra le lien entre les deux Will.

Une histoire américaine de la banlieue de Chicago, avec plusieurs rebondissements et qui permet de passer quelques messages forts :
— L'homosexualité, ce n'est pas un choix.
— Porter du XXL, ce n'est pas toujours drôle, et l'épaisseur de la couenne ne protège pas mieux le coeur fragile des regards dégoutés et des quolibets.
— La dépression, ce n'est pas juste se sentir déprimé…

Un bon roman jeunesse, avec les émotions et les grandes interrogations de l'adolescence.
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Touchant. drôle. triste. émouvant. Je ne sais pas. Will Grayson est blasé, il a deux règles d'or dans la vie : 1) ne jamais trop s'investir, 2) toujours la fermer. Il ne dit donc jamais rien, mais pense très fort et n'est pas en reste (car ses pensés sont souvent acerbes, cyniques et drôles). Son meilleur ami Tiny Cooper est disons le : un enquiquineur de première un peu narcissique (il a quand même écrit une comédie musicale sur lui), homosexuel qui tombe amoureux toutes les heures, qui chuchote si fort qu'on peut tous l'entendre et qui dit tout ce qu'il pense. C'est un type plutôt bien, mais qui par moment m'a un tout petit peu saoulé. Sa relation avec Will paraît complètement abérante, il fait partie de ces amis qu'on ne choisi pas, mais qu'on aime tout de même. Dans ce livre c'est cette relation amicale bancale que j'ai préféré, parce que moi, les histoires d'amitié je préfère ça aux histoires d'amour, souvent, surtout quand elles sont bien foutus, et fortes. Puis j'ai adoré Will Grayson, et sa façon d'être arelationnel, par pleins de côté il m'a un peu rappelé moi, d'où je l'ai beaucoup apprécié aussi. (Même s'il est un égocentrique plaignard). Ya aussi Jane, Jane une fille plutôt chouette avec répartie, marrante et mignonne, mais que Will rejette parce qu'il ne veut pas s'engager, qu'il n'est pas sûr de lui, qu'il n'est pas sûr d'elle, et qu'il ne veut pas souffrir (ça serait contraire à ses règles d'or). Puis il y a Will Grayson, l'autre, celui qui n'utilise pas de majuscule quand il parle. Celui qui n'a pas de guillemet et qui dit qui cause “moi” “maman” “l'autre w.g” (parce qu'écrire “l'autre Will Grayson” est trop long pour lui sans doute), celui qui met des points partout et qui est dépressif à fond. Et à fond amoureux d'Isaac aussi. Je l'ai beaucoup apprécié, même s'il se laisse tomber, même s'il va vraiment mal, même s'il est incapable de faire attention aux autres “parce que c'est perdu d'avance”. Et puis il va rencontrer par hasard l'autre Will Grayson, et ça va changer quelque chose dans sa vie. Par sa rencontre avec Tiny, par son nouveau j'm'en foutisme, et puis parce qu'il a sans doute besoin d'aller un peu mieux. Ce livre parle d'amour, d'homosexualité, de jeunesse, de langage des jeunes, et de chochotteux (même si on sait pas ce que ça veut dire). Ce livre parle d'amitié. Il m'a fait rire, m'a fait pleurer, m'a fait pleurer de rire. Il m'a touché, c'est bien, c'est ce que je demande à un livre. Ca parle aussi d'homosexualité, mais avec légereté, et pourtant on aborde les problèmes rencontrés (comme le coming out), mais on peut aussi voir qu'un homo n'est pas un stéréotype sur pattes, qu'il n'est pas programmé, et ça c'est bien.
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Il est parfois des amitiés particulières,
de celles qu'on a pas choisi mais qui vous colle comme un aimant depuis l'enfance, vous êtes le noyau de son électron, c'est ainsi, pour le meilleur (très peu!) et pour le pire(le croit-on souvent!). Will est un ado très réservé, à l'humour caustique et percutant. Maura la gothique en a fait son meilleur ami depuis les petites classes et les amis ne devraient pas avoir de secrets l'un pour l'autre.
Comment faire partie plus intégrante de son univers, être l'ultime confidente ?
Une seule solution.
Chronologiquement, fouille discrète de petits cartables, récupération de journaux intimes, obtenir la combinaison du casier au collège, piratage de la boîte mail...
Mais Will ne souhaite exister que pour une personne, son ami secret Isaac. Des années d'échanges complices et de confidences, il est, il pense être..enfin, bref !
Un jardin secret qu'il ne souhaite en tout cas pas du tout partager avec cette poison de Maura qui se mêle de tout et se doute bien d'une amitié loin d'être exclusive.
Oui. Il est parfois des amitiés particulières.
De celles qu'on a choisi aussi, mais qui vous font rougir jusqu'aux oreilles, de celles qui prennent beaucoup de place dans votre espace et se substitue à votre air frais, mais que vous pardonnez grandement tout de même car sinon votre vie serait à défaut morne et plate.
Will est un ado cool, sympa, qui apprécie sa tranquillité mais se rêverait un peu plus rock n' roll pour se défendre de toute impression de personnalité ennuyeuse.
Depuis que Will a défendu Tiny pour qu'il fasse parti de l'équipe de foot lorsqu'ils étaient enfants, « Tiny »(petit) se pose comme un ange gardien pour son pote bienfaiteur au grand coeur. Tiny aime à ne jamais se prendre au sérieux du haut de son allure de grizzly géant, aime à décharger de la blague à l'humour noire en mitraillette ou démontrer des manifestations d'affection sur des banderoles ou au porte-voix.
Déroutant, Tiny a des plans royalement magistraux à mettre en oeuvre cette année: 1- mettre sur pied son projet de comédie musicale, la « Tiny Dance et faire de Will sa star principale, 2- trouver le petit ami idéal, enfin, celui qui sera à la hauteur de son amour à donner. et 3- révéler à Will une évidence, lui et Jane sont fait pour être ensemble et il a 'ailleurs préparé le terrain.
Une dernière révélation que Will a du mal à gérer tant il est troublé par la personnalité de la jeune fille, jolie mais plus entière et vive que lui.
La vie peut-elle ressembler encore plus à un manège étourdissant ou à une attraction du grand Huit ?
Que se passera t-il lorsque Will Grayson à la poursuite d'Isaac et Will Grayson avec une fausse carte d'identité en main pour entrer dans un bar se rencontreront le même soir à Chicago ?
Ils se serreront les coudes dans leur malheur, tiens!
Cette année, la barre est haute !

: John Green nous régale totalement avec ces romans pour grands ados, parlant de choses de la vie, souvent sérieuses et graves, la maladie, la perte d'un être cher, les peines de coeur, la différence sous toutes ses formes mais qui finalement se démontrent surmontables à grand coups de joie de vivre amorcée par la rencontre vers l'autre,
Ce petit carpe diem pour grands ados (et « adulescents ») est servi avec style, en portion individuelle de plusieurs pages à partager par la suite, tant les situations, les répliques et le redoutable humour sarcastique nous arrachent des fous-rires constants qui font du bien chaque fois. Une distance qui permet de prendre de la hauteur sans se brûler les ailes. L'auteur la ménage, la contrôle chaque fois et réussit également à nous tirer des larmes de grandes émotions, qui font du bien aussi et ainsi le propos principal est abordé sous tous ces aspects.
D'un réalisme rendu loufoque, il réussit à parler à chacun sans que le bât blesse, un pauvre ado largué par toutes les Katherine de son existence, deux ados à la maladie incurable et qui vivent la romance la plus mémorable ou ici, deux ados ayant le même nom et prénom qui vont confronter leur deux destins de morne vie -du moins le croient-ils-.
Avec cette histoire à quatre mains, les deux autres étant celles de David Lévithan, nous avons la double histoire de deux ados qui préfèrent rester dans l'ombre mais cherchent désespérément la lumière d'une vie pleine de bonnes surprises. Ce qui peut parler à tous. le même nom et prénom des personnages donne le ton et permet ainsi de lier par avance les deux personnages, il est évident qu'à un moment il faut qu'ils se rencontrent. La notion très romantique et légendaire de destin entre en jeu mais force est de constater que les héros de Green tendent toujours à le forcer car la vie est courte et il faut la vivre pleinement dans chacun de ses romans. Maura et Tiny se montrent chacun à leur manière des anges gardiens d'amitié, la réalité n'apparaissant pas clairement au début, les deux arborant une aura de calamité, deux bons « boulets » que se traînent les deux Will mais sans qui il ne serait rien passé si il n'avait pas forcé leur « tranquillité » choisie.
Ces deux personnages, l'un exubérant et haut en couleurs, l'autre gothique et aussi intrusive que la maman « juive » des bonnes blagues populaires, font bêtises sur irrévérences, mettant finalement de l'épaisseur à la vie toute plate des Will Grayson.
Les chamailleries permanentes entre chiens et chats, deux personnalités que tout oppose, rendent les deux récits attachants, drôles et donnent de la relativité aux peines, grandes et petites, sans les ignorer.
Les deux auteurs réussissent également à donner de la normalité à l'homosexualité, Tiny le gros « nounours » d'amour et le second Will encore tranquillement dans son « placard », font partis du paysage sans que cela devienne le sujet central pour autant sur l'ensemble du roman. L'élément, grâce aux deux histoires qui alternent à chaque chapitre au début, se placent en premier plan et dernier et chacun cherche de la même façon son chat, Will, Will, Jane, Tiny, Maura.
L'autre Will ne sait pas à quoi ressemble l'amour et le reste, il ne se sent pas prêt mais il craint de « rater son train ». de nature très « cool » mais pas dilettante, le premier Will n'est pas à l'aise avec l'action, les effusions de grands sentiments mais il n'hésite pas un instant à intervenir lorsque la situation l'exige en grand défenseur insoupçonnable. Il récolte donc un grand et énorme pote pour la vie qui occupe l'ensemble de la scène qu'il laisse volontiers et à son grand damne , il se trouve souvent sous les projecteurs des regards, Tiny excellant dans l'art du happening grand public.
Le langage, parfois libre et cru, et certains éléments peuvent réserver ce roman à un public de grands ados avertis.
« Will et Will » est un petit bijou entre les autres déjà servi par l'un des auteurs.


A consommer sans modération.
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Bonjour :)

Je dois dire que j'ai longuement hésité avant d'écrire cette critique, puisque je n'ai pas lu tout le livre. Mais au final, je me suis dit que ça aiderait peut-être certains d'entre vous à vous décider sur cette lecture :D

Bon, je commence. On est avec un Will (le 1e) qui vit une vie normale (stéréotypée je trouve). Il n'a qu'un seul pote gay nommé Tiny. On a ensuite un autre personnage nommé Will (le 2e) qui est gay, et est dans une dépression assez importante, elle lui donne des envies de suicide. Les 2 font faire connaissance et se lier d'amitié.

Tout d'abord, je n'ai pas lu tout le livre. Je n'ai que lu les chapitres (alternés entre chaque Will) du Will 2. Ayant commencé avec ceux de Will 1, j'ai réalisé un bout d'un moment qu'on pouvait presque les lire indépendamment de l'autre. En fait je n'ai pas lu les chapitres de Will 1 car je ne comprenais absolument rien au texte (ça commence très vite, et il n'y a pas tellement de présentation des faits au début)... le Will 2, malgré son côté obscur était mille fois plus compréhensible que le 1, et l'écriture était beaucoup plus entraînante.

Ensuite, c'est une bonne idée de donner le même prénom/nom à deux personnages, mais quelquefois c'est dur de comprendre ce qu'il se passe... donc ce point-là m'a aussi déçu. Pourtant, l'histoire, le sujet, et le concept étaient bien, et j'accrochais, mais pas à l'écriture...

Les personnages : on ne sait rien sur eux (j'aime bien avoir une présentation des perso vers le début, sinon je suis perdu, ce qui est arrivé ici avec les 2 will). On ne comprend pas forcément pourquoi Will2 fait une dépression (ce n'est pas dit explicitement).
Malgré cela, Will2, sa mère et Jane, je les apprécie beaucoup, ils sont attachants comme personnages.

Une autre chose me revient en tête, c'est la fin... elle n'est pas forcément explicite non plus. le spectacle de Tiny, c'est bien beau, mais j'aurais aimé une fin plus longue, avec, je sais pas, un bisou, ou alors la mère de Will2 et Will2 aussi qui vont mieux, ... elle était légèrement courte ici, la fin, mais elle n'en reste pas moins appréciable :D

Bon, malgré tous ces points négatifs (on les voit plus facilement que les positifs je trouve), j'ai passé une lecture agréable, d'où le fait que je l'ai finis en une seule soirée :)

De plus, le message est vraiment bien, cependant, accepter la différence, l'homosexualité n'est absolument pas un choix, tout comme la dépression n'est pas juste se sentir déprimé ; enfin, l'obésité n'est pas facile à vivre (et comme le dit bilodoh dans sa critique, les couches qui recouvrent le coeur de Tiny ne l'empêchent pas d'être blessé par les jugements des autres.


J'espère que j'ai été clair dans ma critique, car l'histoire en elle-même est assez complexe je trouve.

J'ai donc été déçu par ce John Green, et j'espère trouver mieux dans un de ses prochains livres :D

Passez une belle semaine, et 189 critiques o/
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Citations et extraits (152) Voir plus Ajouter une citation

"NON. Non non! Je n'ai pas envie de te sauter. Je t'aime d'amour, voilà tout. Depuis quand est-ce que tout se résume à qui on a envie de sauter? Depuis quand n'a-t-on le droit d'aimer que la personne qu'on a envie de sauter? C'est ridicule, Tiny! Je veux dire, merde! On s'en fout du sexe, non?! Les gens se comportent comme si c'était l'activité la plus importante de la vie...mais c'est des conneries. Comment nos intelligences humaines pourraient-elles tourner uniquement autour d'un truc que même les limaces font entre elles? Bien sûr, savoir qui on a envie de sauter et parvenir ou non à ses fins, c'est important, sans doute. Mais ce n'est pas l'essentiel. Tu sais ce qui compte vraiment? Savoir pour qui on serait prêt à donner sa vie. Pour qui se réveillerait-on à 5h45 du mat sans se poser de questions?"
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je sens que ma vie part dans tous les sens en ce moment. comme si elle était faite de plein de petits bouts de papier et que quelqu'un venait de brancher un ventilateur. mais quand je te parle, c'est comme si le ventilateur s'éteignait momentanément. comme si les choses commençaient enfin à avoir du sens. tu me rassembles, tu fais de moi un tout, et c'est très important pour moi.
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"avoir une vie", est un truc de crétins. comme si la vie était un objet qu'on pouvait "avoir" ou acheter dans un magasin. emballé dans une jolie boîte scintillante avec une fenêtre en plastique à travers laquelle il suffirait de regarder pour avoir un aperçu de la nouvelle vie qu'on pourrait avoir et se dire : "waouh, j'ai l'air tellement plus heureux - c'est la nouvelle vie qu'il me faut!", l'emmener à la caisse et l'acheter avec sa carte de crédit. si "avoir une vie" était si simple, l'humanité tout entière serait béate de bonheur.
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je hurlais encore et encore et encore, parfois juste des bruits. parfois des jurons - toutes les pires insultes que tu puisses imaginer.
moi : hmm, la liste est longue. tu as déjà hurlé "bâton merdeux" ?
ma mère : non, mais...
moi : "baiseur de nains" ?
m mère : will...
moi : tu devrais essayer "baiseur de nains". c'est très satisfaisant.
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On flashe sur quelqu'un qui ne vous aimera jamais en retour parce qu'il est plus facile de survivre à une déception platonique qu'à une vraie rupture.
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Flocons d'amour | Bande-annonce VOSTFR | Netflix France (2019) Le film est basé sur le roman du même nom de 2018, écrit par Maureen Johnson, John Green et Lauren Myracle.
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