Suite de Dolce Vita que j'ai moins aimé et qui m'a moins surprise et impressionnée. Néanmoins il est à lire lorsque l'on a apprécié le premier opus
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Quel roman ! Avec comme point de départ, l'enterrement d'un aristocrate, nous rencontrons Aria, Viola, Saverio ... Aria enquête sur son pays qu'elle aime, l'Italie et ce n'est pas joli. Entre Etat, Mafia, Religion et Justice, des années 70 à nos jours, son beau pays se délite et l'analyse sans concession d'Aria est désespérée et magnifique, comme un réquisitoire sur fonds de larmes. Car, elle l'aime son pays, Aria et elle pleure, elle est en colère devant les rapaces qui le dévorent : des Brigades Rouge au crocodile, Berlusconi, la loge P2, la banque du Vatican plus aveugle que les banques suisses ... Il semble y avoir peu de Robin des Bois en Italie et beaucoup de Prince Jean.
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Parler de la mafia comme ça, CHAPEAU
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