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EAN : 9782234060876
416 pages
Stock (13/10/2010)
3.62/5   137 notes
Résumé :

1959. Le film de Federico Fellini, la Dolce vita, fait scandale en Italie, dans un pays pudibond tenu par l’Église ; il remporte la Palme d’or à Cannes en 1960. Son succès signe le début d’une ère pleine de promesses et de libertés qui rompt avec les années de pauvreté de l’après-guerre. 1969. Une bombe explose à Milan et fait seize morts. C’est un massacre, le premi... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (36) Voir plus Ajouter une critique
3,62

sur 137 notes
Le livre s'ouvre sur la projection du film de Fellini "La Dolce Vita", en février 1960. le prince Malo, aristocrate décadent, y tient un petit rôle...Un vent de liberté indécente souffle alors sur une Italie encore bien partisane des vieilles traditions.
Mais aujourd'hui, Malo n'est plus qu'un vieillard malade à l'article de la mort, et dans un dernier travail de mémoire, il confesse au prêtre Saverio les turbulences de sa vie ainsi que celles de cette Italie des années de plomb dont il connaît les exactions commises pendant vingt ans.
Dans son palais à la douce pénombre, il remonte le temps et révèle les complots politiques, les assassinats et les attentats, les trahisons et les secrets…

Avec « Dolce Vita », la romancière italienne Simonetta Greggio peint une vaste fresque politique et sociale de l'Italie, de 1959 à 1979, par laquelle elle énumère les sales affaires qui ont entachées le pays au fil du temps et dont l'écho perdure encore aujourd'hui.
Les Brigades Rouges, la loge maçonnique P2, l'assassinat d'Aldo Moro et de Pasolini, la chasse au communisme...autant de faits divers, de complots d'état et d'attentats qui défilent en vrac sous nos yeux en scénettes palpitantes mais néanmoins un peu obscures pour le non-initié peu adepte d'histoire italienne.

Découpé en plans-séquences, « Dolce vita » ne partage pas que son seul titre d'avec le film de Federico Fellini.
Il offre aussi une construction originale, très cinématographique, dans le montage des faits historiques. Un procédé qui passe sans transition (et sans souci de chronologie), d'un évènement à l'autre, un peu comme une caméra se déplace en travelling circulaire afin de donner un effet de mouvement et de dynamisme aux faits issus du réel. Elle revient ensuite se focaliser en gros plan sur l'élément fictionnel incarné par Malo, ménageant une sorte de respiration entre deux aveux d'affaires criminelles, pour de nouveau reprendre son balayage de l'espace national italien et son évocation des années 60/70.

Le côté documentaire de l'ouvrage se révèle être captivant, mais il faut toutefois le nuancer par le sentiment un peu frustrant de ne pouvoir que survoler les affaires abordées. Ces histoires de complots, d'échauffourées, d'actions militantes, d'accointances avec le crime organisé, etc…sont toutes extrêmement intéressantes, si bien que l'envie s'en savoir plus nous gagne, fatalement ; une envie qu'il nous faut abandonner et qui cause un certain dépit mitigeant la lecture.

En comparaison, l'histoire intime et fictionnelle de Malo et Saverio est nettement moins prenante ; elle aurait même tendance à plomber quelque peu l'ambiance générale et l'atmosphère trouble émanant de ces vieilles affaires d'état au relent de soufre. Quelque chose de statique émerge dans le face-à-face entre le vieillard et son confesseur, une sorte d'immobilisme qui – et bien qu'elle soit nimbée de poésie et de délicatesse - soumet le lecteur à un brin d'impatience, un empressement curieux de retrouver le climat délétère qui enveloppe les épisodes véridiques.

A mi chemin entre le roman et le document, « Dolce Vita » se révèle un peu en demi-teinte mais l'ouvrage a cependant le mérite de nous passionner pour l'histoire contemporaine de l'Italie et pour toutes les intrigues qui l'ont gangrénée au mépris de cette « douceur de vivre » chère à nos amis italiens…
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Le 3 février 1960 c'est la première à Rome de la Dolce Vita, ce très célèbre film de Fellini, très célèbre et très controversé. A l'automne 2010 le prince Emanuele Valfonda, 85 ans, s'en souvient encore, lui qui n'était alors qu'un tout jeune figurant dans ce fameux film. Il s'en souvient et le raconte à son jeune confesseur, le jésuite Saverio. Ces deux là pourraient être père et fils tellement les liens qui les rattachent sont étroits et mystérieux (nous apprendrons à la fin la vérité de la relation qui les lie). Mais si cette confession commence par le récit d'un tournage elle se poursuit bien au-delà. C'est à un véritable examen de conscience que se livre Emanuele Valfonda, comme le testament d'un enfant du siècle, un enfant gâté certes mais surtout le témoin privilégié des années 1959 à 1979 d'une Italie en pleine tourmente. Vingt années seulement et pourtant vingt années qui vont marquer à jamais toute l'histoire contemporaine de ce pays. Rappelez-vous, début des années 60 l'effervescence, les années d'émancipation, de libération, de création, de débauche et de luxure aussi. Mais très vite ces années là deviennent celles de la répression, de l'affrontement, les années de plomb, les années où s'affrontent dans un bain de sang les forces d'extrême droite et celles d'extrême gauche. Des années de confusion où tout se tricote dans une grande complexité, voir complicité, où interviennent pèle mêle politique, finance, croyance donc mafia, loge P2, Vatican et services secrets. L'enlèvement d'Aldo Moro, l'assassinat de Pier Paolo Pasolini, les attentats de Bologne et de Milan et bien d'autres événements et personnages sont ainsi relatés .

Ce livre parfaitement documenté, parfaitement romancé se dévore d'un seul souffle. Jamais peut être récit aussi plaisant à lire ( fantastiques personnages complexes et attachants d'Emanuele et de Saverio) ne nous aura autant éclairé sur cette période sombre de l'histoire italienne, ne nous aura permis aussi de comprendre l'Italie d'aujourd'hui, celle d'une douce agonie, celle de Berlusconi .
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2010 : le prince Emanuele, en fin de vie, appelle le jésuite Saverio pour se confier, raconter son existence tumultueuse.
Prétexte à Simonetta Greggio pour revenir sur toutes les affaires élucidées ou non, sur les nombreux scandales qui ont secoué l'Italie depuis cinquante ans.
Attentats, brigades rouges, meurtres, Aldo Moro, Berlusconi…. Tout et tout le monde y passe. Avec une grande importance accordée au film de Fellini
« Dolce vita ».
Roman de société, bien documenté, intéressant, mais à mon goût un peu décousu et manquant de puissance littéraire. D'un chapitre à l'autre, des faits sont racontés mais tiennent plus d'articles journalistiques que d'un véritable roman.
Ҫa m'a quand même permis de passer un bon moment en Italie
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« Dolce Vita : 1959 – 1979 » est un récit historique, une enquête journalistique, une analyse socio politique. C'est surtout un roman et de la littérature.

Les années soixante soixante-dix ce sont, en Italie et ailleurs, un grand et terrible foutoir qui mêle culture, politique et moeurs. C'est un indémêlable imbroglio entre les Brigades rouges, l'extrême-droite et diverses services secrets ; entre le Vatican et la loge maçonnique P2 ; entre des faits divers scabreux, des scandales et des secrets politiques… le roman n'a que faire de mettre de l'ordre dans tout cela, de construire un « idéal type » explicatif. « La politique est la grande génératrice et la littérature la grande particularisatrice, et elles sont dans une relation non seulement d'inversion mais aussi d'antagonisme » (…) «Rendre la nuance telle est la tâche de l'artiste. Sa tâche est de ne pas simplifier. Même quand on choisit d'écrire avec un maximum de simplicité, à la Hemingway, la tâche est de faire passer la nuance, d'élucider la complication, et d'impliquer la contradiction. Non pas d'effacer la contradiction, de la nier, mais de voir où, à l'intérieur de ses terme, se situe l'être humain tourmenté. Laisser de la place au chaos, lui donner droit de cité. Il faut lui donner droit de citer. Autrement on produit de la propagande, sinon pour un parti politique, un mouvement politique, du moins une propagande imbécile en faveur de la vie elle-même – la vie telle qu'elle aimerait se voir mise en publicité» nous dit Philip Roth un autre écrivain préoccupé d'histoire et de politique. Les acteurs sont perdus, manipulés et les lecteurs naturellement pas toujours à leur aise. L'Italie de ces années là est emplie des relents de son passé fasciste, saturée de violence politique et privée, elle est en pleine déliquescence morale. C'est une période de confusion extrême mais sans aucun doute aussi un moment de grande créativité, de réflexion intense et de remise en cause généralisée. C'est une véritable crise d'adolescence d'une partie des acteurs de l'espace politique – au sens où l'entendait Jean Piaget. Ce microcosme confond les choses de l'intelligence et l'intelligence des choses. En 1960, c'est la première représentation du film de Fellini éponyme du roman. L'auteur, au début de son livre, fait revivre ce moment. Elle décrit des scènes entières de « la Dolce Vita ». L'ambiance de cette période lourde, légère, dramatique, imaginative et frivole est ainsi remarquablement reconstituée. C'est le monde dans lequel l'antipathique Prince Malo a vécu. Celui qui l'a façonné et qu'il a façonné. Il se confesse à un Jésuite avant de mourir. L'espace social, lui, recroquevillé, efficace, préoccupé de production et de consommation à outrance se développe sans mesure. Il nait, comme l'avait souligné Hannah Arendt, une société dépolitisée dans laquelle l'indifférence aux affaires publiques, l'atomisation, l'individualisme, le déchainement de la compétition ne trouvent plus de limites et font craindre le pire : la sénilité incapable même d'imagination, le berlusconisme. le roman fait revivre Pasolini et quel plaisir de l'entendre à nouveau : « L'Italie pourrit dans un bien être qui est égoïsme, stupidité, inculture, commérage, moralisme, intimidation, conformisme ». Les pages se tournent, 1959 – 1979, le temps d'une génération nous achemine du film de Fellini au lendemain de l'assassinat d'Aldo Moro et à la veille de l'attentat meurtrier de la gare de Bologne.

Simonetta Greggio est un auteur plein de talent. Ce récit est remarquablement construit, les brèves, les flashbacks, comme au cinéma dont il est beaucoup question dans ce livre, se succèdent sans transition mêlant le réel et la fiction. Je ne peux que vous conseiller ce roman passionnant et bien écrit.
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N°565 Avril 2012

DOLCE VITA 1959-1979 Simonetta GREGGIO. Stock

Le titre d'abord qui évoque un film mythique de Frederico Fellini sorti en 1960 dont on ne retient que le bain nocturne de Marcello Mastroianni et d'Anita Ekberg dans la fontaine de Trevi à Rome. Ce film qui rompt avec la tristesse et la pauvreté cinématographiques des années d'après-guerre, fit scandale dans cette Italie puritaine et l'Osservatore Romano menaça d'excommunication tous les spectateurs mais il obtint cependant la palme d'or à Cannes en 1960. Il parle de ce pays dans les années 50 et inaugure une écriture cinématographique   « fellinienne », faite de sketchs très en vogue à l’époque. Le synopsis est en effet composé d’épisodes, en apparence décousus, que sa longueur (2H46), le nombre des thèmes abordés et l'ambiance qu'il distille contribuent, à tort, à donner cette impression.

Ce roman fait non seulement beaucoup d'allusions au film mais lui emprunte aussi son montage puisqu'il se donne à voir, un peu comme une sorte de documentaire, racontant vingt ans de l'histoire de l'Italie. Cela commence par la sortie du film de Fellini et se termine par l'assassinat d'Aldo Moro, président de la   Démocratie Chrétienne, en mai 1978 même si on déborde un peu sur cette période). Entre ces deux dates, l'auteur mêle fiction et réalité à travers le personnage flamboyant mais un peu décati du prince Emanuele Falfonda dit   Malo  , vieux et jouisseur octogénaire au pas de la mort et de celui, un peu plus en retrait du prêtre Saverio, un jésuite à la jeunesse mouvementée qui conte, des années plus tard, son histoire un peu comme une confession. Pourtant,   Malo, qui a a participé au film de Fellini (mais juste un petit rôle, presque de la figuration),  ne cherche pas l'absolution, peut-être veut-il seulement la libération que lui procure la parole puisqu'il ne connaît pas le remords et exècre le repentir ? Cela peut passer pour un sourd combat du vice contre la vertu mais ce que veut Malo c'est surtout raconter sa vie dissolue, ses frasques, autant que révéler des secrets politiques dont il a été le témoin. La mort sera pour lui une délivrance mais il souhaite ardemment la compagnie de l’ecclésiastique pour ses derniers instants...

Pourtant, c'est moins son parcours personnel qui est ici évoqué que l'histoire de l'Italie, à la fois insouciante et ravagée par la violence. Tout y passe, les fascistes de Mussolini et les no-fascistes, les affaires de mœurs, les agressions et les attentats, les scandales financiers, les luttes à mort pour le pouvoir, les Brigades rouges, le meurtre d'Aldo Moro, le monde politique, la mort mystérieuse du réalisateur Pier Paolo Pasolini, les assassinats violents et suspects où chacun peut voir l'empreinte de la Mafia, invisible, mystérieuse et toujours meurtrière, la loge P 2, la CIA, les services secrets, mais aussi les intrigues sulfureuses immorales et hypocrites du Vatican, l'ombre inquiétante du cardinal Marchinkus, les blanchiments d'argent, la mort toujours controversée de Jean Paul 1° ... sans oublier le sacro-saint secret de la confession !

Cette histoire n'est pas exactement comme le titre le donne penser, une vie douce, à laquelle on associe volontiers ce pays qu'on voudrait romanesque. Au contraire, c'est la fois un récit plein de dépravations et de cynisme quand il s'agit de la vie de Malo et une chronique sombre où les luttes d'influence, qui bien souvent se terminent dans le sang, le disputent aux enquêtes bâclées, aux destructions de preuves par les pouvoirs publics eux-mêmes, aux coups d'état avortés, aux procès truqués, une classe politique manipulée, véreuse, minée par la corruption, aux prévarications de tous ordres ... Tout cela donne, et sans doute explique, le personnage grand-guignolesque de Silvio Berlusconi, autant que le naufrage économique que connaît actuellement ce pays-frère qui ne peut nous laisser indifférents.

L'auteur qui écrit directement en français, se livre ici à un remarquable travail documentaire autant que l’écriture d'une fiction dont la poésie n'est pas absente. Elle procède par petites touches pour tisser peu à peu ce roman bien écrit, qui se lit facilement, et, avec ses relents de scandale, passionnant du début à la fin. Elle présente son travail de dépouillement d'archives et de créateur de fiction en courts chapitres qui ne sont pas le résultat d'une enquête policière, même si on peut parfois regretter que certains d'entre eux aient la froideur d'une chronique judiciaire. Elle se rapproprie ce pays qui est aussi le sien, y jette un regard plein de tristesse et de nostalgie comme on évoque un âge d'or culturel disparu, fait notamment de grands noms du cinéma et de la la littérature mais aussi en déplore la déliquescence, un véritable gâchis où on a sciemment sacrifié l'espoir légitime dans un monde meilleur et confisqué la démocratie au profit de quelques-uns qui ne seront jamais inquiétés. L'auteur fait dire un de ses personnages cette phrases laconique qui résume bien tout cela   « Nous avons cru que nous allions changer le monde , et c'est le monde qui nous a changés. »

Ce fut un bon moment de lecture avec un plaisir particulier et tout personnel de l'insertion dans les phrases et les paragraphes d'expressions et de mots italiens.

Hervé GAUTIER - Avril 2012.
http://hervegautier.e-monsite.com 

Lien : http://hervegautier.e-monsit..
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critiques presse (2)
Lexpress
30 juillet 2012
Simonetta Greggio n'épargne personne sans que pour autant le sarcasme politique prenne le pas sur le roman. Il y a un évident sens du rythme et un côté feuilletonesque, une capacité à intégrer une documentation très précise et abondante dans la fiction. C'est fluide, efficace, intelligent et trépidant
Lire la critique sur le site : Lexpress
Telerama
13 juin 2012
Greggio est à la hauteur de ses ambitions et voltige du roman noir au documentaire politique sans se perdre en chemin.
Lire la critique sur le site : Telerama
Citations et extraits (21) Voir plus Ajouter une citation
« Aucun avocat ne défendrait le responsable d’un vol dans une joaillerie en se fondant sur la moralité du joailler. C’est pourtant ce qui se pratique communément dans un procès pour viol. C’est la victime, et non le violeur, qu’on juge. Pardonnez-moi d’être franche, mais cela s’appelle solidarité masculine, car l’exemple d’une victime transformée en accusée sert à décourager toutes les femmes qui voudraient demander justice à leur tour. Je ne parlerai pas de Fiorella, c’est humiliant pour elle et pour moi de venir nous justifier, de dire, non, Fiorella n’est pas une putain. Et puis une femme a le droit d’être ce qu’elle veut. Je ne suis pas la défenderesse de Fiorella. Je suis l’accusatrice d’une certaine manière de procéder dans les procès pour viol ! »
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Nous avons cru que nous allions changer le monde , et c'est le monde qui nous a changés .
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Saverio s'émeut de l'odeur des aiguilles de pin, de la terre asséchée sur laquelle il est si doux de marcher, des ombres mouvantes dans les soirées moites, des cigales assourdissantes, des vagues moirées des bains de minuit. Point me at the sky des Pink Floyd est son morceau préféré cet été-là.
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Et des bombes, encore, encore des massacres, sur des trains et sur des places pendant des réunions politiques, encore des tentatives de coups d'état que l'on veut ignorer, minimiser et dont on arrive même à nier l'existence. Des morts, des morts, des morts. Poignardés, matraqués, déchiquetés, le visage explosé, le cœur arraché, brûlés vifs, réduits en mille morceaux, en miettes, en purée. Effacés.
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Il a traversé la vie comme Gianni Agnelli, le condottiere mythique de la Fiat, une cigarette, un cigare, un joint, une pipe d'opium dans une main, une coupe de champagne dans l'autre. Une blonde à son bras droit, une brune à son bras gauche. Pas un jour qu'il n'ait eu les mains pleines, et l'appétit, et la soif, et l'envie qui vont avec.
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Vidéo de Simonetta Greggio
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