AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,86

sur 208 notes
5
7 avis
4
4 avis
3
8 avis
2
3 avis
1
0 avis

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Cela fait maintenant 3 mois que j'ai lu ce livre, je suis restée longtemps loin de Babelio. Fichu Corona ! Entre le télétravail et l'école à la maison, je n'ai pas trouvé l'énergie ni le temps de passer. J'ai donc plein de critiques en retard. Mes avis arrivant à retardement, ils seront donc sans doute plus brefs que d'habitude.

« Les armes de Garamont » est le 1er volet de la trilogie jeunesse « la Malerune ». J'ai passé un agréable moment de lecture même si le roman est plein de défauts. Ce qui m'a le plus dérangée, c'est que tout au long de ma lecture j'ai ressenti un manque d'ampleur dans le roman. D'après ce qui est dit, l'histoire prend place dans un monde vaste et varié. Or, j'ai trouvé que l'auteur ne parvenait pas à rendre cette immensité. le roman m'a paru étriqué comme si le décor se résumait à un château, un monastère et un petit bout de forêt. Malgré cela, le roman se lit bien et facilement. L'intrigue est efficace et certains personnages sont attachants, tout particulièrement celui de la plus jeune des soeurs qui sort un peu du cliché de l'héroïne badass, cliché dans lequel sombre allègrement le personnage de son aînée.

Je lirai sans doute un jour la suite de cette trilogie mais, pour cela, j'attendrai de tomber dessus d'occasion. Si j'ai passé un moment de lecture plaisant et sympathique je n'ai pas été emballée au point de me jeter dessus.
Commenter  J’apprécie          350
Un avis a posteriori qui sera donc peu détaillé.
De ce que je me souviens, j'ai trouvé l'intrigue classique, le ton très jeunesse.
Lucia est insupportable, sa soeur plus intéressante.

Les deux personnages matures, Zétide et Hogo, sont les plus intéressants.
Le monde est cependant plutôt bien construit. Sans être inoubliable, c'est plaisant à lire, plutôt bien écrit, même si la psychologie des personnages est peu fouillé, d'où l'impression de littérature jeunesse ,en fait.

Je l'ai lu il y a 15 jours (était-ce vraiment il y a 15 jours ? J'ai l'impression que c'était il y a au moins un mois... Les problèmes ralentiraient-il le temps ?), en LC avec des copains du forum des Trolls de Babel, au milieu de la quadrilogie "Malhorne" que j'ai adoré, ce qui a été plutôt difficile pour ce livre, du coup... Ce sont les souvenirs qu'il m'en reste...
Commenter  J’apprécie          240
Dans mes souvenirs lointains et plus brumeux que les quais londoniens un soir de fog, le premier tome mettait un peu de temps à démarrer, l'auteur mettant tout en place.

Les personnages étaient attachants et j'avais passé un bon moment de lecture avec eux.

Grimbert s'est occupé du premier tome mais à passé le relais ensuite. Embêtant, mais c'était la seule solution pour avoir une suite.

Une saga à découvrir.
Commenter  J’apprécie          50
Ce premier tome nous fait rentrer dans le troisième monde menacé par la Malerune. Nous y suivons des personnages attachant qui sont à la recherche de la Belle Arcane. La seule rune capable de repousser le maune est de rétablir l'équilibre !
« Ainsi est l'Equilibre ! »
Commenter  J’apprécie          20
Cette trilogie présente cette singularité que seul le premier tome est signé par Pierre Grimbert : l'écriture les deux suites ayant été confiée à une tierce personne. Il faut donc lire les différents tomes pour constater des résultats de cette formule particulière…

Dans ce premier tome, Pierre Grimbert immerge sans introduction le lecteur dans un monde complexe où les mots inventés abondent. On se voit nommer des mets, des végétaux, des animaux et des créatures avec très peu ou pas du tout d'indice sur leur nature, comme si l'auteur avait considéré que le lecteur pouvait deviner ses intentions en « lisant dans ses pensées », ce qui, naturellement, n'est pas possible. C'est donc avec beaucoup d'imagination qu'il faut remplir les « blancs » laissés par l'auteur afin de pouvoir persévérer dans le récit.

Ce dernier étant lui-même plutôt complexe à comprendre, car les explications sur le fonctionnement de ce monde fantastique arrivent très tardivement dans l'histoire. Les lecteurs avisés qui parcourent les résumés et les critiques avant de découvrir le livre lui-même sont donc très avantagés.

Ainsi, aux trois-quart de ce tome, une brève genèse nous apprend que les Dieux ont d'abord créé deux univers, l'Anarein et le Chorus, avant d'en inventer un troisième (l'Enarein) qu'ils créèrent « en deux parties égales, le Maûne et l'Aldo et dissimulèrent sur chacune un symbole de leurs pouvoirs. Deux runes magiques, les plus puissantes de l'univers, et éternelles gardiennes de l'Enarein. L'une apportant chaos, vigueur et incessante agitation; l'autre assurant continuité, plénitude et nécessaire stabilité. Leur oeuvre ainsi achevée, les Dieux laissèrent libre cours à leur imagination et peuplèrent le Troisième Monde de ses créatures. Les plus imprévisibles et terrifiantes, héritières dégénérées des monstres du Chorus, s'enfoncèrent naturellement dans les brouillards du Maûne. Les autres, sensibles à la beauté de l'AEldo, choisirent de s'y installer ».

Les personnages rencontrés évoluent donc dans « l'AEldo » du « Troisième Monde », dont l'existence se voit sérieusement menacée depuis qu'une rune mystérieuse, la « Malerune », fut activée une décennie avant que ce récit commence. Depuis, des maladies aussi incompréhensibles que dévastatrices déciment le rang des habitants de l'AEldo. À cela, s'ajoutent les effets rendus imprévisibles de la magie connue jusqu'alors par la lecture de runes et l'envahissement croissant des êtres violents venus du Maûne.
Une quête pour retrouver l'Équilibre est alors entreprise et c'est à ce point précis que débute ce tome. On y rencontre d'abord Hypolus, un puissant magicien, accompagné d'un allié plein de ressource : Hogoerwen'r (nommé Hogo), un lycante. Ceux-ci sont à la recherche de la rune suprême qui sera à même de rétablir les choses. Dans leur recherche, ils font halte au château d'un grand chevalier (Éras Garamont), parti lui aussi en explorateur. Hypolus (se présentant comme étant « Zétide d'Orchomène ») et Hogo y rencontre deux autres personnages principaux : Ariale et Lucia. C'est à ce point précis du récit que l'action débute véritablement avec intrigues, combats épiques et rebondissements.

Pour ceux ayant lu les livres liés à l'univers de l'île de Ji, les liens entre les deux séries apparaissent nettement, notamment au niveau des caractéristiques des personnages : un puissant magicien, un être versé dans l'art du combat, une combattante novice et une enfant ayant un immense talent inné pour la magie.

Par contre, dans cette histoire, il est difficile de sympathiser avec un des personnages : Lucia, une jeune adulte impulsive aux fréquentes répliques aussi cinglantes qu'enfantines dans une confrontation continue (et injustifiée) avec Hypolus et Hogo. Heureusement, connaissant le style de l'auteur, son comportement devrait évoluer… du moins, espérons-le!

En somme, une fois le fonctionnement de cet univers compris, l'histoire provoque un vif intérêt car Pierre Grimbert sait tenir le lecteur en haleine. Difficile de reposer le livre tant la curiosité de ce que nous réserve l'écrivain dans les prochaines pages est forte. Néanmoins, c'est à mon avis une réussite beaucoup moins éclatante que celle de la série « Gonelore » ou, bien entendu, celle liée à l'incomparable île de Ji.
Commenter  J’apprécie          20
J𠆚i pu lire des avis très mitigés sur ce livre et sur l𠆚uteur, alors je partais un peu dubitative, et m𠆚ttendant à être plutôt déçue.

Et finalement ce fût une très chouette lecture !!! J𠆚i beaucoup aimé l’univers plutôt atypique et sombre de Pierre Grimbert. Atypique je disais car l𠆞nsemble de l’intrigue se déroule au total dans deux lieux clos, ce qui oppresse et rend la lecture angoissante et trépidante !!

Le rythme est soutenu et les actions s𠆞nchaînent à un rythme fou, ce qui rend la lecture fluide et nous donne toujours plus envie de tourner les pages.

J𠆚i par contre regretté le manque d’étoffe de la psychologie des personnages et le côté page turner mal géré : l𠆚uteur utilise constamment les mêmes types de phrases de fin de chapitre pour nous mettre en haleine et ça devient lourd au fil de la lecture.

En conclusion je dirais que l’univers est bien planté par l𠆚uteur, et que le côté trépidant du style d’écriture donne envie de lire les prochains tomes, à condition que la psychologie des personnages soit plus aboutie.
Commenter  J’apprécie          00
Bon... qu'en dire... Déjà, le manichéisme. Lourd. Omniprésent. Oppressant. On se surprend à se demander "ah, est-ce que cette créature du maûne va déroger à la règle ?" Et ben non. Surtout pas. et c'est reparti pour un peu d'expectative, un peu d'action, et un peu de magie.
La malerune se déroule dans le troisième monde (entendre le premier essai à peu près potable des dieux), qui a deux faces (dimensions parallèles), l'aeldo, calme et bon, et le maûne, chaotique et mauvais. Et pour maintenir cet Equilibre, il y a deux runes suprêmes, une de chaque côté, mais faites de telle sorte que si on lit l'une des deux sa face va écraser l'autre progressivement. Oui, les dieux ont été particulièrement inspirés pour défendre l'Equilibre (qui est une notion défendue tout au long du livre, notamment par les moines). On y retrouve donc un paquet de ponci, euh, personnages : un vieux magicien puissant qui est en fait encore plus puissant mais cache son identité, un guerrier invincible aux plus que pratiques pouvoirs de traqueurs, une jeune femme forte et émancipée, sauf des deux personnages précédents car il ne faudrait quand même pas les laisser seules, elle et sa soeur, qui est une fille futée et potentielle magicienne très puissante, mais qui se promet de pas refaire de magie. (étonnamment, elle revient dessus...). Ces personnages qui sont bien sûr des rocs immuables qui ne changent pas du tout le long du roman...
Le problème est qu'il écrit quand même relativement bien. Mais je me suis retrouvé plusieurs fois à me dire "mince, pourquoi est-ce que je le continue déjà ?". Parce que l'histoire n'est pas folichonne non plus : ils se baladent, cherchent Eras, rencontrent des vilains, battent ces vilains, et c'est reparti pour un tour.
Non, ce n'est pas un livre que je recommande. Ca se lit bien, il a une bonne gestion du suspens, mais à par ça...
Commenter  J’apprécie          00
Bon début, la suite (changement d'auteur) est mauvaise, l'histoire devient cousue de fil blanc.
Commenter  J’apprécie          01


Lecteurs (634) Voir plus



Quiz Voir plus

Quiz Pierre Grimbert

Quel livre de Pierre Grimbert a été publié en Novembre 2001 ?

Le guetteur de dragons
La malédiction du coquillage
La reine des Amazones
Le trophée des sorciers

8 questions
5 lecteurs ont répondu
Thème : Pierre GrimbertCréer un quiz sur ce livre

{* *}