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3,85

sur 317 notes
La couverture me faisait rêver, mais la densité des dessins lorsque je le feuilletais m'effrayait un peu...Et j'ai fini par m'y plonger.

Dès les premières pages, on s'engouffre dans le chaos de l'époque : tueries, cavalcades anarchiques sur les barricades, berges de la Seine surpeuplées, moulins des campagnes environnantes témoins des massacres de la population...les pages défilent, prolongent l'action, mettent en scène L Histoire et Paris dont les diverses représentations sont absolument époustouflantes.

On baigne dans les intrigues à tous les niveaux, du soulèvement populaires aux agissements de la noblesse pour conserver ses prérogatives, des politiciens venus faire fortune aux enthousiastes qui s'enrôlent pour la romance ou par amour, la milice inconfortablement coincée entre les deux camps : les cartes sont rebattues en permanence, au prix d'une violence extrême qui emplit les rues de la capitale.

La solidarité s'entremêle aux massacres, aux chevaux qui piétinent les passants : un immense bordel jouissif et extraordinairement mis en scène par les deux auteurs scénaristes et dessinateurs, dont le but de montrer la Révolution par le peuple est amplement atteint.

Un véritable coup de coeur, la suite, la suite s'il vous plait !
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BD qui présente la révolution française au travers de la destinée de quelques personnages fictifs : Louise, servante (?), Kervelegan, aristocrate breton en rupture de ban, frère jumeau d'un député, Marie, jeune borgne, pauvre parmi les pauvres, et un journaliste pro ancien régime, intolérant, ignoble avec sa femme et ses enfants, mais lucide sur ce qu'il se passe.
C'est truffé de détails historiques, c'est parfois un peu confus tant dans le scénario que dans le dessin lui même. Ce dessin est trés particulier, à la fois hyper détaillé, mais qui peut rebuter. Intectuellement c'est vif et bien fait. GRaphiquement, je suis plus mitigée.
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Je dois avouer qu'avant de commencer cette BD, j'étais plutôt sceptique. Il faut dire que la Révolution française, on croit bien la connaître vu le nombre de fois qu'elle est évoquée : aux JT, dans des articles, dans des livres, au collège… tout le monde cite la déclaration des droits de l'Homme à tout bout de champs, rappelant que la France est le pays des droits de l'Homme et blablabla et blablabla. Et franchement, une BD pour dire quoi ? On a déjà travaillé cette période : Marat, Robespierre, la Terreur, la prise de la Bastille et la déclaration. Franchement, qu'est-ce qu'il y aurait à dire de plus ?
Eh bien tout, justement. Car dès les premières pages de cet ouvrage, on se rend bien compte qu'en réalité, de la Révolution française on ne sait rien. Ou si peu. On nous parle de cette période comme d'une succession de dates, oubliant les hommes et les femmes qui l'ont faite naître. Alors Florent Grouazel et Younn Locard prennent le parti de mélanger Histoire et histoire(s) retraçant cette période à travers une multitude de trajectoires individuelles et inconnues. Ici, nous ne suivons pas Marat ou Lafayette mais Marie, une gamine des rues, Abel, un pamphlétaire breton ou encore la reine Audu, maquerelle en chef des dames poissardes. Les auteurs nous offrent ici une superbe fresque populaire dont le climat social et politique n'est pas sans rappeler celui de notre époque…
Ce fond explosif est servi par un graphisme magnifique, fouillé, foisonnant, rappelant presque des gravures anciennes. Un graphisme dense qu'il faut prendre le temps d'intégrer et de lire tant le niveau de détail est élevé.
Les hommes et les femmes que l'on rencontre au fil de notre lecture sont tous.tes très attachant.es, de par leur authenticité. S'y mélangent personnages réels et fictifs ; aristocrates, ouvrier.es et miséreux.se ; un tableau complet de la société de l'époque !
Liberté n'est que le premier tome d'une trilogie qui s'annonce déjà comme un monument de la bande dessinée.
Lien : https://leschroniquesviennen..
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Début de l'histoire …
En août 1788, Louis XVI convoque les états généraux ( organe de consultation non utilisé depuis 1694) …
Sont concernés, les notables (1139 pour être précis) des trois ordres : le Clergé, la Noblesse et le tiers état …
Ils sont chargés des doléances de tous les Français mâles de plus de vingt-cinq ans.

Le scénario …
Essayer de nous montrer comment est née la « Révolution », présentée comme un rouleau compresseur conduit par de simples gens en abordant sa complexité qui brasse à la fois les problèmes soulevés par les impôts, la faim, les barrières de l'octroi, les intrigues …
Il mélange les faits réels et les phantasmes imaginaires qu'a retenu l'Histoire sans oublier les exactions commises par certains sans-culottes (pillages, décapitations hâtives, injures, violences …) et les actions malfaisantes menées par les troupes royales, la noblesse et Louis XVI.

Les personnages …
Un certain Jérôme Laigret, pamphlétaire signant dans le journal le Lys Ardent (qui existe encore et se fait toujours le chantre du royalisme), et écrivain contre révolutionnaire navigant dans le cercle du roi …
Augustin Bernard François le Goazre de Kervélégan (1), avocat, franc-maçon, représentant du Tiers-Etat, un des membres de ce qui fut appelé le club breton (2) …
Et les oubliés de l'Histoire, ceux dont les noms n'ont pas laissés beaucoup de traces, seule, Louise-Renée Leduc (3), alias Reine Audu, fruitière de son état, « reine des Halles », femme de coeur ayant participé à la prise des Tuileries est restée connue …
Les têtes tombent et se laissent promener pour une longue procession dans les rues de Paris, celles du gouverneur De Launay (4), du prévôt Flesselles (5).

Reste à parler des dessins …
Ils troublent, demandent une attention soutenue, ils sont souvent brouillons, fouillis, incertains, nous pauvres lecteurs coincés dans des bulles trop petites peinons à reconnaître les différents intervenants mais il nous reste l'effet de bordel … avec la foule compacte, écrasée ensevelie sous des monceaux de détails.
Lecture ardue, à l'étroit dans le volume …
Mais les faits rapportés sont eux même un fatras de petits événements qui ont abouti à créer une grande page de notre histoire comme certaines pages sublimes nous montre ce que la grande histoire a retenu … la Révolution !

(1)
Augustin Bernard François le Goazre de Kervélégan (1748-1825) est un avocat devenu par la révolution française un parlementaire durant la révolution et l'empire.
Député la même année aux États de Bretagne, il se montra, en 1788, un des plus ardents défenseurs des intérêts populaires contre le parlement de Rennes dans la question des grands bailliages, qu'il alla lui-même soutenir à Versailles. Cette attitude énergique le rend très populaire, et dès la fin de l'année 1788, il prend en main la cause des revendications du tiers état. Il réclame pour cet ordre un député par 10 000 habitants, un nombre de députés égal à celui des deux autres ordres réunis et le vote par tête. La copie de ces motions est adressée par la communauté de Quimper à toutes les communautés de Bretagne.

(2)
Le Club breton est un groupe de députés de Bretagne aux États généraux, puis à la Constituante, qui avaient l'habitude de se réunir au café Amaury à l'angle de l'avenue de Saint-Cloud et de la rue Carnot à Versailles, pour « débattre à l'avance les sujets qui devaient être traités aux États généraux » touchant à la Bretagne ou à d'autres sujets. Il trouve son origine, longtemps avant la réunion des États généraux de 1789, dans le mouvement de la fronde parlementaire qui fut particulièrement radicale au parlement de Bretagne. Son influence fut hors de proportion de sa taille, et des enjeux strictement bretons puisqu'il devint la société des amis de la Constitution, futur club des Jacobins, installé à Paris, lors du transfert de l'Assemblée Nationale.
La Bretagne fut la province dont les cahiers de doléances contenaient les demandes de réforme les plus élaborées, incluant notamment :
* la séparation des pouvoirs ;
* le vote par tête ;
* le droit de faire des lois et de voter l'impôt ;
* l'égalité devant la loi et l'impôt ;
* l'abolition de la féodalité, des trois ordres, des juridictions spéciales, des intendants ;
* la création d'une constitution ;
* la limitation du pouvoir du roi ;
* la gratuité de la justice ;
* la création d'écoles de campagne ;
* l'entrée aux universités par concours ;
* la soumission du clergé à l'impôt ;
* la liberté de la presse...

(3)
Louise Reine Audu, surnommée la Reine des Halles, est une femme française, fruitière à Paris et figure de la révolution. Elle est connue pour avoir participé à la marche des femmes sur Versailles et à la prise des Tuileries.
Le 5 octobre 1789 En cette fin d'été, la moisson a été faite, mais le blé n'est pas encore battu et Paris manque de pain. Des incidents éclatent devant les boulangeries ; les files d'attente s'exaspèrent ; des attroupements de femmes se multiplient. Un cortège de plusieurs milliers de personnes part pour Versailles et envahit l'Assemblée nationale. Cela au moment même où les députés délibèrent de l'attitude du roi, qui refuse de promulguer les décrets de l'Assemblée. L'émeute des " poissardes " et le refus provisoire du roi se conjuguent étrangement pour faire de ce 5 octobre une journée menaçante.

(4)
Jacques de Flesselles, (1730-1789), est un administrateur français qui fut le dernier prévôt des marchands de Paris. Intendant en Normandie, en Auvergne et à Lyon, avant de devenir prévôt , il fut tué d'un coup de pistolet, puis décapité et sa tête promenée au bout d'une pique, juste après la prise de la Bastille.

(5)
Bernard-René Jourdan, marquis De Launay (1740-1789) est le dernier gouverneur de la Bastille. Fils d'un précédent gouverneur, il est commandant de sa garnison le 14 juillet 1789, au moment de la prise de la Bastille, ce qui conduit à son lynchage et fait de lui une des premières victimes de la révolution française.
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Difficile pour moi d'apprécier cette oeuvre tellement j'ai eu de mal à me faire au dessin.
Novice en terme de lecture de BDs, peut être mon manque de connaissance m'a empêché de savourer les dessins pour leur vraie qualité.
Dommage.
Une chose est sûre, la Révolution qui fut l'acte majeure dans la naissance de notre nation garde encore aujourd'hui un fort écho dans notre histoire actuelle.
Sans doute devrais je un jour la relire afin de mieux en apprécier le contenu.
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Hé bé, 300 pages de BD et seulement pour le tome 1 ! Voici l'été 1789 vu à hauteur d'hommes et de femmes de toutes les conditions: tous ou presque ont existé mais ce sont des personnages secondaires, tel député du Tiers État, tel autre de la noblesse. Lafayette et Robespierre apparaissent furtivement. du roi, on ne voit que le carrosse. Ce n'est pas une énième chronique; c'est le récit de deux processus: le processus démocratique à l'assemblée des États généraux et le processus de la violence. Il ne s'agit pas de désigner les gentils et les méchants, le Peuple superbe ou la Horde sauvage mais de montrer les mécanismes individuels, souvent contradictoires, que les circonstances amènent à s'amalgamer en événement historique imprévisible. le rôle de la rumeur y est très bien traité. C'est très complexe; j'ai parfois eu du mal à reconnaître les personnages (surtout qu'il y a des jumeaux !) et je regrette au moins une chose: certaines intrigues sont amorcées (qui est Marie bordel ?!, pourquoi la femme de Laigret est-elle en train de croupir à la Salpetrière ?...) mais laissées en plan au profit du récit purement historique.
C'est très bien pour les historiens, les profs d'histoire, les passionnés mais un peu trop élitiste. Pour ceux que ça intéresse, c'est post-facé par Pierre Serna.
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Le premier tome de Révolution que j'ai lue récemment m'a plus à moitié. Bien sur, comme son titre l'indique, Liberté est le premier de trois tome sur la révolution française. L'histoire y est assez rigoureusement raconter, que ce soit du coté de la bourgeoisie ou du peuple. Je dirais que je ne me suis que très peu attachés aux divers personnages et ce, jusqu'à la moitié de ce roman graphique superbement illustré. En fait, j'ai commencée à apprécié quand est arrivé le personnage de Jacques Louis David, peintre qui deviendra très connu. Fan du travail de cet artiste, je me suis mis à regarder Révolution d'un autre oeil et à recherchée chaque mention du peintre néo-classique. Comme Florent Grouazel n'en a fait qu'un personnage secondaire j'ai été quelques peu déçue même si ont voit sous nos yeux la prémisse de l'intrigue qui mèneras à la peinture de «La mort de Marat». C'est cet aspect parlant d'histoire de l'art qui m'a d'avantage intéressée que la véritable histoire avec un grand H et c'est pourquoi je donne une note un peu moins généreuse.
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Le premier tome de cette trilogie a été récompensé par le Fauve d'or au Festival d'Angoulême. Ce prix confirme les retours critiques et publiques positifs reçus par cet album. Les deux auteurs parviennent à entrer dans la révolution. Pour cela, ils ont choisi de faire un récit choral et de tenir cela avec des personnages de fiction. Les figures les plus connues sont au second plan, apparaissant ponctuellement. L'événement ne repose pas sur la présence de certains noms ou la mise en scène de moments puissants (comme la prise de la Bastille). Les auteurs esquivent cela pour faire entendre les voix, les peurs, les doutes, l'espoir qui ont nourri ce mouvement.


Le tome s'ouvre sur de l'action, sans dialogue et ce mouvement ne cesse de se déployer sans perdre en intensité et en propos. On passe des rues aux salons, des jardins de la capitale à l'assemblée des Etats Généraux. La mise en scène alterne des planches splendides en double page qui donne l'horizon s'ouvrant à ce pays et un découpage plus classique qui fait vivre la choralité. de ces personnages, on perçoit l'euphorie qui les étreint parfois et le désespoir qui les accable. La révolution est une période instable entre la fin d'un monde et l'émergence d'un autre. le premier ne veut pas assister à sa fin et le second est pressé d'arriver. Cette confrontation est captivante et les auteurs prennent le temps d'en montrer toute la complexité. Une BD éblouissante.
Lien : https://tourneurdepages.word..
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La Révolution française est un sujet très complexe demandant à être exposé clairement. Les faits, les personnages, leur position, leurs actions doivent être présentés clairement pour éviter les confusions. Les interrogations sur le pourquoi et le comment historiques des divers faits émaillant cette période (et bien souvent en parallèle) sont suffisamment nombreux pour que le support ne soit pas lui-même source d'incompréhension.

Dans ce premier volume, après plus de cent pages, je n'arrive toujours pas à identifier les personnages, ni à savoir où ils se trouvent ni ce qu'ils font.
Heureusement les chapitres sont introduits par un texte plutôt bien fait qui apporte son lot d'informations mais cela n'est pas suffisant.
A préciser que j'ai déjà lu plus d'une dizaine d'ouvrages sur ce sujet et que je commence à avoir une idée de la chronologie des événements ainsi que des personnages et de leur rôle. Malgré ces quelques connaissances, je me suis perdu dans ces pages.

L'approche est très intéressante : elle se fait par le vécu de députés des différents ordres (du moins c'est ce que je pense avoir compris).
Le premier problème vient de ce que ces personnages ne sont pas présentés et qu'il faut deviner qui ils sont de par les endroits où ils se trouvent et ces endroits sont très difficiles à identifier.
Il en est de même pour les relations entre les personnes; de ce que j'ai compris il se trouve deux frères ayant des positionnements politiques différents. Je pense avoir compris qu'ils ne sont pas jumeaux mais je ne sais ni qui ils sont, ni quels sont leur prénom pas plus que leur nom de famille.

Cette approche est donc totalement inadapté pour ce sujet très complexe.

Le dessin surchargé, manquant de précision (à certains endroits, je ne sais si c'est une robe ou un buisson, un personnage ou un morceau de bâtiment...) continue à créer et entretenir cette confusion.
Si le but est de montrer que cette période est très agitée, perturbée, c'est une réussite totale.
Si le but est d'apprendre quelque chose au lecteur c'est une échec total.

Le dessin n'est pas désagréable à l'oeil, les double planches sont plutôt jolies, plaisantes, et lisibles. Il est évident que les dessinateurs travaillent sur de grands formats mais le style choisi souffre de la réduction de la taille.
Tout comme l'approche n'est pas adapté à cette époque, le style graphique adopté n'est nullement adapté à une oeuvre demandant de la précision.
Ces dessins ont besoin d'être vus en grande taille et aurait leur effet certain en étant présenté comme simple oeuvre graphique, mais ils n'ont en aucun leur place dans une BD demandant autant de rigueur que celle qui nous est présentée.
L'ensemble est quasi monochrome, rien ne ressortant, les personnages se confondant dans le décor, tout comme les détails du dit décor.

Il est évident qu'il y a eu un grand travail pour écrire le scénario.
Il est évident que les dessinateurs ont un savoir faire.
Il est tout aussi évident que ces choix sont malheureux car totalement inadaptés à l'intention et l'esprit de ces livres.
J'ai abandonné le livre à sa moitié, de peur de semer la confusion dans ce que je connais de cette période. Il est hors de question que je lise les opus suivants.

Généralement, lorsque je suis en désaccord avec un ouvrage, je me garde de donner une indication de lecture mais cette fois fera exception. Si vous voulez découvrir les événements de la Révolution ou accentuer vos connaissances, il est impératif que vous fuyiez cette BD. Orientez-vous vers des réalisations plus "classiques".

Par contre, si votre objectif de lecture est de trouver une ouvrage original où le scénario vous est secondaire, alors tentez l'aventure car le graphisme et l'approche sont originaux.

Il m'en reste une grosse déception et le ressenti d'un grand gâchis.

J'ajoute une remarque après avoir déposé cette critique.
Je viens de voir des images de cette BD sur ordinateur. La perception est tout autre : le graphisme est plus lisible, plus contrasté, plus coloré.
Est-ce donc un problème d'impression ou alors les planches proposées sur écran sont-elles particulièrement choisies ?
Je vais peut-être essayer de trouver une version numérique.
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Je reste mitigée sur cette lecture. Je souligne le travail énorme réalisé par les auteurs de mettre en BD la révolution française; on sent une recherche historique poussée et le rôle du peuple est très bien en avant. Les différents points de vue sont également bien présentés ainsi que la montée de la violence et des récriminations populaires. Cependant, j'ai trouvé un manque d'accessibilité à cette BD par une insuffisance de clarté parfois sur les événements, sur les personnages entre ceux réels et fictifs. J'aurais apprécié un texte un peu plus didactique, plus de précision sur les dates et lieux des événements.
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