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La devise de la famille Lament est : "Un Lament voyage toujours". Howard le père en a fait son leitmotiv, il est heureux dans le changement de travail et de pays. Avec sa petite famille, il va traverser tous les continents passant de Barhein pour aller en Rhodésie puis en Angleterre pour s'installer aux Etats-Unis. Une vie de joie, de tristesse et de drames.



Il y a des livres qui n'auraient jamais dû atterrir entre nos mains sans une certaine dose de hasard. C'est le cas pour celui ci. Je n'avais jamais entendu parler de ce titre ni de cet auteur, la couverture ne m'aurait jamais attiré et le résumé ne m'aurait jamais donné spécialement l'envie de le lire hormis peut-être la comparaison a John Irving. Il a fallu une promotion "deux 10/18 acheté un 10/18 offert" pour que ce livre me tombe dans les mains.

Le résultat ? Un coup de coeur total et la découverte d'un auteur qui vaut bien plus que la comparaison réductrice avec John Irving. Lire "la famille Lament" c'est s'embarquer dans une aventure trépidante où les rebondissements sont légions et où l'ennuie est banni. On passe par tous les sentiments , du rire au larmes. Pas de pathos ni de lourdeur, au contraire une grande légèreté de ton et une vision ironique de la vie. Les thèmes comme la mort, l'adoption, l'adolescence, la réussite professionnelle, le rêve américain, le racisme, le couple, etc..., sont traités avec une grande finesse et les personnages sont d'une rare densité. C'est avec un pincement au coeur, qu'une fois le livre achevé, l'on doit quitter cette famille rendue attachante par les joies mais aussi les épreuves qu'elle a du traverser.

Un coup de coeur total pour ce formidable premier roman d'un auteur a suivre.
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La vie comme elle vient ! Cette une histoire drôle et émouvante avec cette famille si attachante. le père entraîne sa tribu là où il trouve du travail. D'ailleurs c'est assez bizarre car nous sommes dans les années 50 et moi qui suis une déracinée (dans mon propre pays simplement en changeant de région) j'ai retrouvé des similitudes dans l'intégration des lament à chaque arrivée sur un nouveau continent. Les Africains blanc qu'ils sont connaîtront le pire de l'intégration et du racisme aux états unis……ça fait sacrément réfléchir même dans un roman. ! Alors me voilà suivant les Lament pour une vie meilleure, voyant les garçons grandir et la lassitude qui gagne peu à peu Julia aux cours de ces années de voyage ! Will , élément fort de cette famille voudrait aussi une vie stable….De drame en drame, de joie en joie j'ai suivi le déclin de cette famille qui reste unie malgré la pauvreté, la dépression du père et la fin plus que dramatique. Une belle leçon que ce livre qui nous rappelle que nous ne sommes pas toujours maîtres de notre destin et qu'il faut l'accepter avec humilité et fierté !


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Dans la famille Lament, on voyage beaucoup. Vraiment beaucoup.
Howard, le père de famille, ingénieur spécialisé en valves, aime changer de métier et tenter de trouver LE poste parfait pour ses compétences (car Howard est brillant, il faut le reconnaître). Malheureusement pour lui, au fur et à mesure de ses pérégrinations, ses espoirs de trouver l'emploi idéal s'amenuisent de plus en plus.
Julia, son épouse, et leurs trois enfants, Will, Julius et Marcus sont bien forcés de suivre Howard dans tous les pays dans lesquels ce dernier décide d'installer (pour un temps au moins), sa petite famille. Et comme Julia s'en rend compte, à chaque déménagement, la famille Lament perd quelque chose.
Les drames sont donc aussi nombreux que les déménagements dans cette sympathique famille. Et j'avoue que le dernier drame vécu par la famille, à savoir m'a laissée un peu perplexe, en me donnant l'impression d'une fin bâclée par l'auteur. Jusque là, le récit, quoique très long, était resté agréable à suivre et l'évolution des personnages était logique. Et puis, d'un coup, les choses s'emballent et C'est presque comme si George Hagen, ne sachant pas comment boucler le destin de ses personnages, avait décidé de
Malgré ce petit bémol, c'était une belle lecture, amusante et émouvante, avec des personnages imparfaits et attachants.
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La famille Lament raconte les pérégrinations d'une famille excentrique dont le périple les amènent aux quatre coins du monde, malgré la bougeotte d'Homard le père, Julia la mère tente d'apporter une certaine stabilité au coeur de la famille. Magnifique roman sur la tolérance, le respect de l'autre, le droit au rêve (même si les désillutions sont parfois terribles), George Hagen fait une entrée fracassante avec ce premier roman dans la lignée des grands auteurs anglo saxons (Irving, Boyd, Ford). Ce roman fleuve d'une vie vous emporte dans une vague d'émotions entre rires et larmes. Plaisir garanti.
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Tout commence dans les années 50 en Rhodésie du Sud (actuel Zimbabwé)
Nous découvrons à la maternité Julia Lament (et Howard, son mari, et le bébé qui n'a pas encore de nom)
Après un rebondissement que je ne citerai pas (mais qui m'a fait venir les larmes aux yeux), la jeune famille part à Bahrein pour le métier de Howard, ingénieur.
Julia élève le petit Will, 3 ans, et se lie d'amitié avec une américaine, Trixie, qui a un fils du même âge. A peine arrivé à un poste, Howard a la bougeotte et envisage un nouveau pays.
Ce sera ensuite la Rhodésie du Nord juste avant son indépendance pour devenir la Zambie, l'Angleterre, les USA. La famille s'agrandit...
La vie de cette famille est toute simple, parfois drôle, parfois triste ...chaque déménagement est à la fois une aventure et une perte d'amitié. J'ai beaucoup aimé cette famille « normale » à qui je me suis attachée.. 18 ans d'une vie avec des événements historiques en filigrane afin de se situer dans le temps.

La quatrième de couverture salue ce premier roman de l'écrivain George Hagen en le comparant à John Irving. J'adhère à cette comparaison, on sent que l'auteur a mis de « l'âme » et de « l'amour » dans tout ce petit monde ....
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Je vais reprendre l'avis de certains lecteurs mais je confirme qu'il y a bien du John Irving dans ce nouvel auteur.
J'ai lu quasiment d'une traite les pérégrinations de la famille Lament avec un réel plaisir. On suit sur 18 années le destin de cette famille qui aurait pu être ordinaire mais qui ne l'est pas du tout en fin de compte et qui nous fait passer du rire à l'émotion tout au long du livre.
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Les péripéties d'une famille farfelue !
Les Lament sont d'irréductibles voyageurs.
de l'Afrique du Sud aux Etats-Unis, en passant par l'Angleterre,
ils nous entraînent à leur suite dans des aventures rocambolesques pendant une vingtaine d'années.

Un roman palpitant au rythme soutenu que vous aurez du mal à quitter.
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La famille Lament c'est Howard, le père, un ingénieur passionné par les vannes (pas les blagues mais le dispositif qui sert à arrêter ou modifier le débit d'un fluide) l la fougueuse Julia, la mère et enfin leurs trois enfants: Will l'ainé plus une paire de jumeaux turbulents . La naissance de Will sera le premier événement malheureux qui suivra Howard et Julia tout au long de leur vie.
C'est une drôle de famille, trimballée à travers le monde par le père toujours à la recherche d'un coin où l'herbe est plus verte, d'un lieu parfait où il sera en mesure de réaliser ses rêves et de se sentir chez lui. Mais quelque soit le pays où ils s'installent , ils se sentent toujours comme des étrangers, jamais tout à fait adaptés à leur environnement et ils se déplacent d'un continent à l'autre chaque fois que les choses deviennent un peu rudes là où ils vivent.
Je n'ai pas réussi à ressentir de l'intérêt pour les tribulations de cette famille dont les caractères manquent de profondeur et malgré leur excentricité, ils ne m'ont inspiré aucune sympathie. L'écriture de George Hagen n'a pas réussi, selon moi, à donner vie à ses personnages et trop d'exagération sévit dans le récit de leurs péripéties pour les rendre crédibles. le commentaire social explicite, difficile à manquer, sur les préjugés, le racisme etc. ne m'a pas parlé non plus. Bref, un gros flop pour cette lecture insipide qui ne m'a procurée aucun plaisir.
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Voici encore un beau livre, depuis des mois sur mon étagère, je ne sais plus qui me l'a conseillé mais je me suis régalée. Une famille comme beaucoup d'autres avec les accidents de la vie. Des moments très douloureux, , le vol de leur bébé à la maternité que l'on remplace aussitôt par un autre, le silence autour de cet enfant qui grandira en se demandant pourquoi il est si différent des autres membres de la famille. Une famille globe trotteuse, qui va d'un pays à l'autre dès que les circonstances deviennent difficiles ils partent vers une autre destination. Les parents se déchirent, mais l'amour est toujours présent et l'enfant adopté réconforte, s'occupe des uns et des autres, il est le tampon entre tous. Très bien écrit, un ton lucide mais plein d'espoir. A découvrir Nena
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Une famille bohème avec ses secrets, ses malheurs, ses rancoeurs, ses déboires, ses forces et ses faiblesses. Une famille qui voyage, s'adapte, se mésadapte, repart, réussit, échoue,évolue. Une famille à laquelle on s'attache et que l'on quitte à regret en tournant la dernière page. du rire et du drame. Ce premier roman de George Hagan se lit comme du John Irving. On a hâte au prochain.
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