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Cette saga assez monumentale raconte l'histoire d'une famille noire américaine sur sept générations, l'auteur Alex Haley représentant la septième génération, et son ancêtre africain Kounta Kinté représente la première de ces sept générations, celui par qui tout a commencé, la racine. Alors peu importe les critiques dues à l'authenticité des faits racontés dans ce livre, et peu importe aussi les histoires de plagiat, je pense qu'il faut non pas lire ce livre comme un récit de biographies qui se succèdent mais plutôt comme un roman historique.

En effet à travers l'histoire de sa famille, Alex Haley raconte surtout l'histoire de la traite de l'esclavage ainsi que l'histoire des Etats-Unis vues par les yeux des esclaves eux-mêmes. de nombreux thèmes très intéressants sont abordés ici tel que la condition des esclaves bien évidement, la difficile insertion des esclaves émancipés après la guerre de sécession, les méfaits de la prétendue civilisation de l'homme blanc ou encore ce qui est peut être le thème le plus important du livre et qui lui a donné son titre: l'identité. C'est un récit passionnant que nous livre l'auteur à travers les vies de ses ancêtres, la plus intéressante à mon gout étant celle de cet ancêtre devenu quasi légendaire dans sa famille: Kounta Kinté. Il n'y a rien de surprenant à ce que ce soit le personnage auquel le lecteur s'attache le plus car c'est celui que l'on va suivre le plus longtemps, 500 pages sur 750. On le quitte brusquement à la 500eme page et puis plus rien en ce qui le concerne, plus de nouvelles. Cette rupture nette avec cet homme que l'on a suivi depuis sa naissance et sur les deux tiers du livre peu sembler déconcertante de prime abord, mais j'imagine que c'est justement le but recherché par Haley qui veut nous faire quitter Kounta aussi brutalement que sa fille est contrainte de le quitter (dsl pour le mini spoil), ce qui est je trouve un choix narratif à la fois adroit et courageux.

En fait plus les générations se succèdent et moins l'auteur ne s'attarde sur elles, ce qui est selon moi le seul point négatif de cette fascinante et terrible histoire. J'aurais aimé qu'il s'attarde un peu plus sur les générations les plus récentes, ce qui n'aurait surement pas manqué d'intérêt grâce à la richesse des époques ou ses parents et grands-parents ont vécu, époques certes plus modernes mais pas moins intéressantes pour autant et qui auraient donc mérité selon moi plus de développement. Bien sûr ça aurait grandement allongé l'histoire qui est déjà de 750 pages, mais pour ma part j'aurais été très demandeur. J'imagine également que Haley n'a pas voulu trop développer l'histoire au delà de l'abolition de l'esclavage et donc de ce thème, mais le thème de l'identité aurait toujours été aussi présent. J'ai donc ressenti une impression de volonté de précipitation de la part de Alex Haley à finir le livre sur les trois dernières générations, ce que je trouve dommage. Ce roman n'en reste pas moins passionnant pour autant et je ne peux que le recommander.
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l'histoire de Kounta kinté ,depuis son enlèvement de son Afrique natale emmené a bord d'un navire négrier , jusqu'au nouveau monde et vendu comme esclave dans le sud des états unis pour travailler dans les champs de cotons , ce livre reprend l'histoire de kounta et ses descendants jusqu'à sont arrière arrière petit fils A Halley qui met en pages ce que les autres membres de la famille se sont transmis oralement !!! leurs Histoire , leur noms , leurs enfers
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Livre très connu, également apprécié et cautionné par des blancs et des noirs de mon entourage, ce qui n'est pas fréquent.
Histoire très prenante, facile à suivre, des réalités souvent très douloureuses racontées simplement, sans pathos, sans misérabilisme.
Un roman initiatique à lire par tous, absolument.
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Racines, c'est un chef-d'oeuvre. Ce livre vous fait ressentir des émotions d'une force impressionnante. J'ai pleuré, j'ai ri, j'ai été révoltée et en colère, j'ai eu peur, j'ai éprouvé une honte immense et un dégoût très pesant envers l'être humain, je crois bien que j'ai fait toute la gamme des émotions.
L'écriture est simple et sincère, et dès les premières pages l'auteur nous plonge dans les coutumes et le mode de vie d'un village en Gambie en 1750 d'une manière tellement riche de détails et émouvante que l'on s'attache immédiatement à son ancêtre Kounta. Avant de nous plonger ensuite dans l'horreur de l'esclavagisme lorsqu'il fut arraché à sa famille et à sa terre par l'homme blanc.
C'est fascinant de remonter sur six générations grâce à la tradition orale, Alex Haley nous a délivré la mémoire de ses ancêtres, de son peuple, c'est un magnifique témoignage et un inestimable cadeau qu'il a fait à ses lecteurs. Merci à lui.
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Je découvre- tardivement, il est vrai (mais vaut mieux tard que jamais, n'est-ce-pas ?), ce roman basé sur des faits vécus qui fut un succès dans les années 80. Force est de constater que Racines a toujours autant d'impact. Dire que j'ai adoré, ce serait peu dire. J'ai trouvé cela captivant, étonnant et magistral !
Racines, c'est le récit de sept générations d'une famille noire des États-Unis, depuis la capture par un toubab de Kounta Kinté, un Gambien fort admirable au XVIIIe siècle, puis transporté jusqu'en Amérique par un négrier dans des conditions effroyables, jusqu'à l'auteur qui, poussé par les histoires de sa grand-mère sur ses ancêtres esclaves, a entrepris des recherches poussées dans le but de vérifier la véracité de certaines histoires transmises de générations en générations par la tradition orale.
Alex Haley nous transporte tout d'abord dans le petit village de Djouffouré en Gambie où naît Kounta Kinté, son ancêtre. La rigueur de la recherche de l'auteur transparaît dans chaque page, alors qu'il nous fait découvrir petit à petit la culture et les traditions du peuple Mandingue à l'époque des captures d'esclaves. J'ai retrouvé avec bonheur et stupéfaction certains éléments de mon récent voyage en Afrique de l'Ouest : les calebasses, les petites huttes de terre cuite, la religion musulmane ainsi que de délicieux fruits que j'ai eu le bonheur de déguster au Togo. Comme quoi la vie en Afrique n'évolue pas aussi vite qu'en Amérique ! Je me suis attachée aux personnages de Kouta Kinté, d'Omoro son père, de Binta sa mère et de ses trois frères. J'ai ressenti l'attachement de ces personnages pour leur terre, leur respect des traditions aussi profondément que cela est possible pour l'occidentale que je suis. J'ai assisté avec beaucoup de douleur et de fierté à l'initiation de Kinté au monde des adultes. Puis, j'ai eu le coeur brisé lorsqu'il s'est fait capturer par un toubab et lorsque son long calvaire a commencé. Et ce, même si je savais pertinemment ce qui s'en venait. Je crois que mon voyage au Togo m'a beaucoup aidée à comprendre l'attachement des Africains pour leur terre, et j'ai eu doublement de la peine lorsque Kounta Kinté l'a quittée pour ne plus jamais revenir.
Cependant, j'ai fini par revenir de ma déception de quitter la Gambie pour éprouver des émotions plus fortes encore en accompagnant Kounta sur le bateau qui l'a mené aux États-Unis. Quelle honte que la façon dont les noirs étaient traités ! J'étais totalement révoltée. Comment pouvait-on les traiter comme du vulgaire bétail ?!?! C'est impardonnable.
On assiste ensuite à la vente, aux tentatives d'évasion, puis à la revente de notre personnages principal. Et ce, toujours avec beaucoup d'affliction. Puis, les choses prennent une tournure plus optimiste avec son mariage avec Bell, la cuisinière de la grande maison, et avec la naissance de leur fille Kizzy. le récit devient presque facile en comparaison avec ce qu'on a lu auparavant, lorsque PAF ! le malheur frappe à nouveau. À ma plus grande déception, nous quittons alors Kounta Kinté pour découvrir les destinées de son enfant, des ses petits-enfants, arrière-petits-enfants, etc., jusqu'à l'auteur. Une fois passée cette petite déception, j'ai su accrocher à la vie de tous ces descendants, toujours avec un intérêt renouvelé.
Puis finalement, la fin. Découvrir comment Alex Haley a découvert toutes ces parcelles de son histoire m'a fascinée et m'a aussi beaucoup émue. Tellement que je regrette presque de ne pas avoir d'ancêtres africains pour pouvoir découvrir mes origines sur cette terre ! En tout cas j'ai maintenant bien envie de découvrir mes origines, et je regrette énormément que chez nous, la tradition orale n'ait pas la même importance que dans les pays africains.

Lien : http://lecturesdisabelle.blo..
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Ce roman nous permet de suivre une famille d'esclaves sur plusieurs générations. L'auteur décrit leurs conditions de vie, le travail forcé, la vente, les viols, les séparations des membres de la famille et bien sûr, la ségrégation dont ils sont victimes. L'histoire commence à l'époque de l'esclavage jusqu'à l'époque contemporaine.
Alex Haley a publié ce roman en 1976. de nombreux documents historiques, dont il fait mention à la fin de son livre, ont été consultés pour étayer l'histoire de sa famille transmise de génération en génération. Trois parties forment le récit : l'enfance de Kounta en Gambie, sa vie d'esclave et l'histoire de ses descendants.

Le personnage à l'origine de l'histoire est Kounta Kinté, jeune homme libre de 17 ans jusqu'à son enlèvement. On suit son cheminement, sa lutte pour la survie et pour garder son identité. On (re)découvre l'esclavage, de sa naissance à son abolition, à travers les hommes, femmes et enfants qui peuplent le récit.

J'ai beaucoup aimé découvrir l'enfance de Kounta, son pays, ses coutumes et traditions. J'y ai appris beaucoup de choses. La seconde partie sur le voyage à bord d'un bateau négrier et sur le sol de Virginie ne m'a rien appris que je ne savais déjà mais elle m'a tout autant bouleversée que mes précédentes lectures sur le sujet.
Même si j'ai appris que l'auteur avait été critiqué sur la véracité de certains faits j'ai apprécié ma lecture. Ce récit est éprouvant et suscite de nombreuses émotions. C'est un formidable témoignage sur le commerce triangulaire, l'histoire du peuple noir, les souffrances engendrées par l'esclavage et l'inhumanité des Blancs de l'époque. L'écriture est agréable et aisée et on ne voit pas passer les 750 pages du roman. Un livre puissant à découvrir si le sujet vous intéresse.
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J'ai débuté ce livre sans réellement savoir à quoi m'attendre, mis à part le fait qu'il s'agissait d'une histoire abordant le sujet difficile de l'esclavage. Ce n'est, ainsi, que tardivement au cours de ma lecture que j'ai réalisé qu'il s'agissait de l'histoire familiale de l'auteur, Alex Haley, lequel est remonté à ses racines, six générations plus tôt.

Ce livre-fleuve est donc divisé en plusieurs parties dont la première débute à Djouffouré en Gambie. Là, on y découvre l'enfance et l'adolescence de Kunta Kinté, l'ainé d'une famille de quatre enfants. La vie y est douce et simple pour Kunta, petit garçon intrépide qui rêve d'être un homme valeureux comme son père, Omoro, qu'il aime et respecte tant. le village de Djouffouré est riche de ses traditions et de ses croyances. L'enfance de Kunta y est bercée par les histoires de grand-mère Yaïssa et de Nyo Boto (la doyenne du village), par le chant du tambour et par les pluies libératrices qui annoncent la saison des récoltes.

Au fil des descriptions de l'auteur on imagine sans mal les pirogues des femmes de Djouffouré se rendre chaque matin dans les rizières en naviguant langoureusement sur le Kambi Bolongo peuplé de sa faune exubérante. le contraste en est d'autant plus rude lorsque, brusquement, Kunta est arraché aux siens pour être vendu aux "Toubabs" , les Blancs.

De l'horrible traversée enchaîné à bord du bateau négrier à sa vie sur les plantations au sein desquelles il est successivement vendu, on suit son parcours avec révolte et émotion. de Kunta à Alex Haley, le chemin est long et les embuches nombreuses.

C'est incontestablement la partie consacrée à Kunta qui est la plus fournie. Logique quand on sait qu'il s'agit de l'Ancêtre par lequel tout a commencé. le titre du livre est d'ailleurs très bien choisi, faisant – selon moi – référence à l'arbre généalogique d'Alex Haley, mais aussi à l'arbre sacré d'Afrique : le séculaire baobab dans le tronc duquel les griots (ces porteurs de la mémoire des clans africains) sont enterrés.

Tandis qu'avec Kunta, la fierté d'être un homme noir portant ses propres croyances et traditions est prégnante, cette glorieuse flamme se tarit avec le temps. de génération en génération, les membres de la famille – n'ayant jamais connu la liberté – sont réduits à leur condition d'esclave. On assiste également à une perte de mémoire sur cette Afrique et cet ancêtre commun, dont le nom finira même par être déformé. C'est Alex Haley qui se charge de combler les vides grâce à cet ouvrage.

On ne va pas se le cacher, certains passages sont extrêmement éprouvants (les conditions de survie dans la cale du bateau à destination des Etats-Unis m'ont tout particulièrement traumatisée).

S'il met nos nerfs à rude épreuve, « Racines » n'en est pas moins nécessaire. Nécessaire pour se souvenir de la cruauté de l'espèce humaine. Nécessaire pour s'interroger sur le racisme sous toutes ses formes (même les plus insidieuses). Et nécessaire pour comprendre la quête d'identité à laquelle sont soumises les populations noires et métissées des Antilles et d'Amérique.

Evidemment, on déteste tous ces maîtres et maîtresses, ces petits propriétaires, régisseurs, shérifs et ce système qui profite sans vergogne du commerce triangulaire tout en souhaitant s'en laver les mains. Cependant, tout n'est pas si clair, et on se pose parfois, également, quelques questions sur les personnages que l'on apprécie davantage.

Le style adopté par l'auteur sert assez bien le récit :

- on alterne brusquement d'une personne à l'autre (à la façon dont les membres d'une même famille sont soudainement séparés au bon vouloir des maîtres) ;
- une scène pastorale est suivie d'une autre d'une terrible violence physique et psychologique ;
- les répétitions font échos aux inlassables tâches des esclaves dont les seuls plaisirs sont la messe dominicale et les bribes d'actualité chipées à travers les portes closes des grandes maisons.

Comme je vous le disais « Racines » est nécessaire mais pas parfait. Je peux ainsi déplorer de nombreuses longueurs au cours de ce livre de près de 800 pages tout de même. On est parfois confrontés à la vie quotidienne des personnages dans ses moindres détails et, soudainement, face à une ellipse temporelle de trois à cinq ans.

Autre point plus ou moins négatif : les bribes d'informations historiques qui sont disséminées dans le livre sans, pour autant, être approfondies. Ces dernières permettent à un lectorat non-américain d'appréhender grossièrement les évènements qui mènent à la Guerre de Sécession. J'aurais, toutefois, apprécié ne serait-ce qu'une frise chronologique ou quelques notes à la fin du livre.

Alex Haley présente un travail titanesque : il aurait passé de nombreuses années cloîtré dans des bibliothèques aux Etats-Unis, en Angleterre, puis en Afrique pour retrouver la trace de son ancêtre et être en mesure de retisser le lien. Travail qui, je me dois cependant de le rappeler, a été entaché par des passages plagiés sur l'oeuvre de l'auteur Harold Courlander. Je n'en ai appris l'ampleur qu'à la fin de ma lecture ce qui me laisse nécessairement un goût amer. Ceci étant dit, je dois reconnaître avoir été émue aux larmes par la fin du livre et je peux facilement comprendre l'impact de cette oeuvre littéraire sur plusieurs générations.

En bref : un livre puissant et bouleversant sur l'inhumanité de l'esclavage et l'identité noire américaine d'aujourd'hui. Je suis nécessairement très déçue d'apprendre que divers passages ont été plagiés sur « The African » d'Harold Courlander. Toutefois, « Racines » relate une histoire dans l'Histoire qui est nécessaire, surtout quand on suit l'actualité mondiale.
Lien : https://thecosmicsam.com
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Il y a actuellement une telle abondance de clichés sur l'esclavage et l'esclavagisme, que c'est avec un peu de réticence que j'ai entamé la lecture de cet excellent roman Racines (écrit en 1976).
Mais bon une fois de plus j'ai fait confiance à la note de Babélio 4,51 /5 et bien m'en a pris.
J'ai beaucoup apprécié ce roman qui aborde de manière exhaustive cette page sombre de l'histoire des états unis.
L'auteur, lui-même descendant d'esclave, a réalisé un travail de plusieurs années de recherche de l'Afrique à l'Amérique pour retrouver les traces de ses origines et de ses ancêtres.
Il a réussi à leur redonner vie dans ce roman passionnant s'étalant chronologiquement de 1750 à la guerre de Sécession soit un siècle plus tard.
De plus il a réussi à positionner cette saga familiale dans le contexte socio-économique politique et religieux des époques traversées en n'oubliant pas les indiens autres victimes de l'histoire Américaine.
L'honnêteté intellectuelle dont il a fait preuve est remarquable car il n'a pas occulté l'esclavage, de moindre mesure, qui existait également entre tribus africaines ainsi que la complicité d'africains pour la capture de leurs congénères.
Je recommande vivement ce roman qui peut permettre de mieux comprendre l'Amérique contemporaine et la genèse de ses problèmes raciaux.
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Tout est dans le résumé, l'esclavage sur plusieurs générations. Un livre difficile, mais très instructif quant à l'histoire Africaine. J'ai lu ce livre il y a une vingtaine d'années, il m'a profondément "marqué"... le pouvoir des mots parfois, je vais le ressortir. Nous n'abordons pas toujours de la même manière un livre.
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Comment ne pas être bouleversé par cette histoire d'un garçon arraché à sa terre d'Afrique pour être esclave aux Etats Unis? Comment ne pas s'attacher à Kounta Kinté qui ne veut pas oublier d'où il vient et veut transmettre ses origines à ses descendants?
Ce roman nous permet d'en connaître plus sur L Histoire des Etats Unis sans rentrer trop dans les détails, ce qui m'a plu, ça m'a permis de rester concentré dans l'histoire de la famille de Kounta.
J'ai été attaché à toutes les générations et le fait qu'ils n'oublient pas d'où ils viennent m'a beaucoup touché.
Le dernier chapitre sur la façon dont Alex Haley a effectué ses recherches est très intéressant et a répondu à pas mal de questions que je me posais.
Il y aurait tellement de chose à dire sur ce livre, le mieux c'est de le lire.
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