84, Charing Cross Road

Bof, bof, bof ! Je me suis un peu ennuyée à la lecture de cet ouvrage. Je ne l'ai pas trouvé intéressant, non plus. Je suis plutôt déçue. François BUSNEL en avait fait une belle description dans son émission "La p'tite librairie". J'avais lu quelques critiques positives chez Babelio, et pourtant.
Je n'ai pas trouvé Helen Hanff agréable, sympathique et pleine de gratitude. J'ai découvert un personnage froid, hautain, impérative, sèche. Elle m'a déplu. Leur longue correspondance : 20 ans n'apporte rien d'extraordinaire. OK, elle est très exigeante et demande des ouvrages que je découvrais au fil des demandes. L'écrivain est une grande érudit, passionnée de livres et de connaissances, un fonds littéraire qui l'aide bien dans son travail de scripte à la télévision. Certes, la librairie Marks & co est fan de cette cliente originale qui n'a pas d'humour à mon avis, grâce aux colis qu'elle envoie, l'Angleterre, malgré la fin de la guerre est toujours sous tickets de rationnement. C'est sûr, cela créé des liens. L'équipe de libraires lui écrit, elle en fait autant, on s'échange des photos. On se jalouse un peu. Mais, je n'ai rien vu de cette amitié. J'ai plutôt lu des échanges de libraire à client sympathiques, patients du côté de Charing cross road. "Je veux tel ouvrage. OK, on vous l'envoie, cela fait x dollars". le lecteur découvre des auteurs innombrables qui rend compte de son incroyable inculture anglaise et générale. Je n'ai pas tout retenu, impossible. Bref, je suis ravie d'avoir fermé ce livre qui n'est pas un roman.

Bien que cette correspondance soit touchante et soit une ode à la lecture et aux amoureux.ses des livres je n'ai pas été transportée : difficile de se sentir proche des protagonistes, beaucoup de références inconnues qui m'ont éloignées d'eux. J'ai presque eu le sentiment d'être une intruse qui n'aurait jamais dû accéder à ces lettres.

Délicieuse histoire par l'écriture, cette atmosphère où était plongée l'Angleterre après guerre, l'humour et la délicatesse de ces cousins outre atlantique qui se rapprochent au fil des pages ....par amour de la lecture. So british avec les sentiments.

84, Charing Cross Road, est un livre inintéressant car tout le long du livre il n'y a que des lettres écrites.
L'histoire n'est pas crédible,elle est ennuyeuse,compliquée et trop longue.
Elle est assez banale.
Les personnages sont bizarres , les relations entre les personnages changent au fil de l'histoire. Ils passent du mépris à l'amitié à la familiarité et presque à l'amour.
Le ton et l'atmosphère générale sont drôles et pleins de charme.
Ce livre ne m'a pas plu, il m'a laissée indifférente. Je n'ai pas aimé ce livre.

Je n'ai pas été touchée par cette "petite" histoire épistolaire (pourtant un style que j'apprécie). A la fin du livre, je me suis dit : "tout ça pour ça". Je ne comprends pas trop le succès planétaire.
J'ai trouvé une autre dimension, par exemple, à des livres comme "Le cercle des amateurs d'épluchures de patates" ou, encore mieux "Inconnu à cette adresse", une lecture que je conseille à tout le monde en "aveugle". Mieux vaut largement aborder le livre sans en savoir rien et surtout, sans avoir lu la Quatrième de couverture qui en dit toujours trop.

Tout petit livre mais qui traîne un peu en longueur (peut être parce que je ne connaissais aucun des noms d'auteur cités ). Une ou deux fois j'ai souris mais je n'ai rien trouvé d'exceptionnel à cet ouvrage.

Dans ce roman par lettres, le seul succès de l'auteur new-yorkaise qui n'a jamais réussi à "placer" ses pièces de théâtre et a écrit pour la télévision, on découvre la correspondance d'Helene Hanff avec une librairie londonienne, Mark's and Co. le correspondant, Frank Doel, très réservé et guindé, contraste immédiatement avec l'approche relâchée et extrêmement désinvolte de l'acheteuse nord-américaine.

Nous sommes dans l'après-guerre, les Londoniens manquent encore de tout et l'acheteuse, ravie de certaines découvertes littéraires et de la compétence, de l'attention de ses pourvoyeurs de livres, se met à leur envoyer des colis de provisions, d'articles. Ces derniers, plus dévoués que jamais la gratifient également et n'ont de cesse de lui demander de venir les voir à Londres...

Je n'ai pas vraiment aimé ce récit, en dehors de son intérêt humain. J'ai absolument détesté le ton vitupérant employé par Helene Hanff (pourtant bienveillante) et la vertu première de ce roman a été de se lire vite. Les oeuvres citées ne m'ont même pas tentée, contrairement à mon habitude... c'est dire !
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