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Un grand merci à Babelio et aux Editions le Lombard...

Dans l'Ardenne ardenneuse, Capitaine Trèfle, sur son cheval, s'approche d'une taverne quelque peu en ruine. Des hurlements stridents attirent son attention. Grimpant les quelques marches en bois, il aperçoit quatre spadassins malmenant un pauvre petit lutin sans défense. Epées à la main, un combat s'engage alors. En quarte, en sixte, coup droit puis coup fatal qui coûtera la vie à ces quatre malotrus. La Capitaine Trèfle emmène avec lui Nourcine. Ils rejoignent une vieille bâtisse en pierres habitée par Bucane Noctiflore, un illustre magicien et astrologue, accompagné de son chat Poltergeist et de sa chouette Chimène. En haut de son observatoire où ils vont ensemble déjeuner, il remarque aussitôt que le corsaire cache quelque chose sous sa cape. Ce dernier fait sortir le lutin qui dort paisiblement. Tout heureux d'avoir devant lui cet être magique qu'il pensait ne plus jamais rencontrer, Noctiflore s'empresse de se renseigner sur lui. Dès que le lutin des sables ouvre un oeil, il leur raconte son histoire...

Partez, à bord de Lola, à la rencontre des petits lutins des sables, des pirates, des fées, des monstres marins tentaculaires ou encore des peaux-rouges. Dépaysement garanti! Pierre Dubois déborde d'imagination et nous a concocté une potion au goût particulier. L'on évolue dans un monde imaginaire fantastique. le scénario, quelque peu linéaire, n'en reste pas moins original, avec des textes étoffés et quelque peu désuets. de chat-clown en chat-clown, l'on suit le périple de ces nouveaux amis. En la personne de Hausman, Dubois a trouvé un compagnon de route idéal tant les dessins et les couleurs sont en parfaite adéquation avec la trame. Son trait unique et reconnaissable ainsi que ses couleurs tendres sont du plus bel effet, notamment les quelques pleines pages.

Capitaine Trèfle... une rencontre étonnante...
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♪ Ca-pi-taine Trèfle, tu n'es pas, de no-tre galaxiiiie ♫

Et pour cause, dans la sienne y évoluent aussi bien des fées que des géants, des sirènes que des faunes, des Kraken, des pirates et des guibs ( lutins des sables pour les rares néophytes ). Cherchez pas le lien, y en a pas.

Intéressons-nous justement au cas de Guib.
D'une nature petite mais généreuse, ce lutin, ne supportant pas l'éloignement de la mer, aspire à la simplicité. Vivre paisiblement au rythme des saisons tout en comptant fleurette au houblon et tétant son amoureuse de Dodeline, si ce n'est l'inverse...
Mais ça, c'était avant. Avant que le Pirate Ecarlate et sa horde d'esclavagistes ne débarquent pour asservir ce petit monde de légende.
Miraculeusement sauvé par le Capitaine Trèfle, c'est en sa compagnie et celles de l'illustre magicien Bucane Noctiflore flanqué de Corbus Barbygère, son fidèle assistant, qu'ils vont parcourir le vaste monde, à la poursuite de ce pirate sans honneur, pour tenter de sauver ce qui peut l'être encore...

Pierre Dubois est Elficologue autoproclamé de profession. Passionné de contes et de féerie, son quotidien gravitera très rapidement autour de ces deux axes peu communs.
On y retrouve ici tout ce qu'il affectionne. Si le récit premier focalise sur la piraterie, il est fortement nimbé de légendes en tout genre. Faut-il pour autant y chercher une quelconque logique ? Surtout pas, et ça m'arrange. le maître-mot, se laisser porter par l'histoire, aussi improbable soit-elle, tout en se délectant des fantastiques planches à l'aquarelle d'Hausman.

Le Capitaine Trèfle, piquant à souhait, tape presque dans le coup de coeur, dixit Caro. Et j'suis pas loin de penser comme elle...
3.5/5

Merci à Babelio et aux éditions LE LOMBARD collection SIGNÉ pour cette bien agréable balade en Duboisie.
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C'est à l' occasion du vingtième anniversaire de la collection "Signé" et du partenariat qui a été mis en place entre les éditions le Lombard (maison d'éditions chez laquelle cette collection est publiée) et Babelio que j'ai reçu cette bande-dessinée. Aussi, commencerais-je ma critique par simplement remercier ces deux derniers qui me font découvrir des histoires extraordinaires, toujours avec un graphisme toujours aussi bien travaillé avec des couleurs pastel pour ce tome-là et, tout cela, donc, réuni dans une collection de prestige.

Ici, le lecteur découvre (ou redécouvre pour certains) le capitaine Trèfle qui se fait le défenseur de la veuve et de l'orphelin. C'est en sauvant un lutin détenu par d'affreux pirates dans une taverne que Trèfle va devoir faire affaire avec son ami magicien Bucane Noctflore et va ainsi se lancer dans une incroyable aventure. Après avoir réussi à identifier la race à laquelle le lutin appartient et ainsi, pouvoir lui prodiguer les soins nécessaires, que le capitaine et son ami apprennent, de sa propre bouche, sa tragique histoire. Mais, tout grand capitaine qu'il est et, de plus, ayant juré de ne jamais mourir, Trèfle est bien décidé à venir en aide à ce petit être sans défense ainsi qu'à toutes les autres créatures fantastiques qui sont aux mains des pirates et qui les exploitent dans des cirques comme des monstres pour la simple raison qu'ils sont étranges.

Une histoire, bien que fabuliste, où le lecteur rencontre toutes sortes de créatures merveilleuses et croise aussi d'autres légendes telle celle du Hollandais volant, redouté par tout vieux loup-de-mer qui se respecte, mais tire aussi une bonne leçon de morale quant au comportement humain. L'inconnu nous effraie, il est vrai mais, même si vous ne connaissez pas, vous, chers lecteurs, le capitaine Trèfle, je ne peux que vous recommander cette lecture qui, je l'espère, ne pourra que vous ravir !
J'y ai également trouvé une référence à la célèbre tirade de Cyrano de Bergerac lorsqu'il se bat et fait des rimes en même temps. L'ai-je inventé ? Peut-être...A vous de me le dire !
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« Le Capitaine Trèfle fit de trois revers, une quarte et deux moulinets, siffler son épée et jura au rondon de la Lune de ne jamais mourir. »

La nuit est noire à l'heure où on la rêve livide...
C'est une bonne heure pour lire Capitaine Trèfle.
C'est le moment de s'éveiller doucement à toutes les chimères, à tous les mirages que nous offre l'ombre de la nuit, de s'abandonner aux légendes enfouies depuis bien longtemps.
En ces heures indues, il est bon de croiser le fer et les lutins de mer.
Couper la route du Vaisseau fantôme.
Dégager d'un coup de cuissarde les affreux pirates, goguenards vestiges d'un Jack Sparrow se ratatinant.
Batter de boulets la coque ennemie pour l'embraser de flammes rougeoyantes.
Tirer droit, au bon endroit, en prenant bien garde de ne pas blesser au passage les jolies sirènes et les baleines « cathédrales des eaux païennes ».
Parer de ses plus beaux atours la fille du capitaine, Cybèle et si irrésistible.
Riposter de pied ferme.
Parader...

C'est une bien belle parade à laquelle nous invite Hausman et Dubois et, de chat-clown en chat-clown, on se laisse émerveiller par l'harmonie délicate des mots et des dessins, par la merveilleuse alchimie qui n'en finit pas de vibrer sous la plume de ces deux artistes, l'un dessinateur, l'autre scénariste.

Le temps est suspendu. Il ne tient qu'à un fil.
La Lune, de ses reflets argent, lève son voile de ténèbres et dévoile une mer calme, repue de tant de combats, avec ce sourire mystérieux aux crêtes des vaguelettes.
Il lui reste encore tant de choses à cacher...Du moins, je l'espère...
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Avant de devenir une bande-dessinée de la collection Signé aux Éditions le Lombard, Capitaine Trèfle est d'abord un roman signé Pierre Dubois et illustré par René Hausman. Lors du passage au format bande-dessinée, les deux acolytes se sont donc retrouvés, Dubois au scénario et Hausman au dessin.

Découvrir le Capitaine Trèfle, c'est partir sur les mers dans le sillage d'aventureux flibustiers, à la découverte d'un univers merveilleux, féérique et étonnamment poétique. Féérique, parce que peuplé de magiciens, de lutins, de géants, de vouivres et de créatures en tous genres en passant par des sirènes et même un effroyable kraken. Poétique, tant on ne peut que se laisser envoûter par la poésie et la musicalité des dialogues de Dubois.

Charmés, vous pouvez aussi l'être par les dessins de Hausman, le plus marquant pour moi étant les couleurs dans les tonalités de bruns et de gris. Peu de couleurs vives, surtout des pastels et un aspect souvent lavis, aquarelle.

Valeureux et vaillant capitaine au grand au grand coeur qui tombe toujours à pic pour ne pas laisser ses amis sur le carreau, le Capitaine Trèfle. Et puis, il y a aussi Bucane Noctiflore le magicien, et Nourcine le guib, enfin le lutin des sables ! Accompagnés de quelques autres, ils ne seront pas trop face à la folie des hommes incarnée par le redoutable et sanglant pirate à la jambe de bois, Haggard Craspeck.

« Nous vivions par de-ci de-là en nos maisons-champignons, en nos châteaux de fleurs, en nos manoirs-montagnes, en nos palais d'eau et de corail… Heureux… Et puis… Et puis, l'homme est venu… Venu déranger, bousculer, chasser, troubler les rivières, ensabler la mer, abaisser les cimes, remonter les vallées, déboiser les forêts, mettre l'envers à l'endroit tout sens dessus dessous. »

Et l'ombre des Pirates des Caraïbes ou du Peter Pan de Loisel plane sur tout ce petit monde…


Un grand merci à Babelio et aux Éditions le Lombard pour cette découverte.

Lien : http://bouquins-de-poches-en..
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Très déçu par ce volume qui m'est tombé des mains une première fois et que je n'ai repris que pour être sûr de mon verdict. Pas bien brillant, le verdict : ennuyeux, fade, pale et mélangeant un peu tout dans un récit qui a même du mal à respecter la syntaxe avec l'excuse de faire dans le poétique. Je ne suis vraiment pas le public visé par ce genre d'ouvrage. Je m'attends à autre chose en bande dessinée. de plus profond, de plus cohérent et construit. Ici, j'ai lourdement ressenti l'adaptation d'un roman "jeunesse". L'adjectif "jeunesse" derrière le mot "roman" ne devrait même pas exister. Et pourtant... Et quelle jeunesse ? Je vous demande un peu ? Diaphane et transparente dans des dessins remplis de variations de gris colorés à peine visibles. Comme si on avait pris le dictionnaires des êtres fantastiques des provinces françaises pour le passer au mixeur avec les quatre DVD de Pirates des Caraïbes avant de diluer le tout dans une bonne demi douzaine de litres d'eau d'Evian. Franchement, j'aurais préféré que ce soit des os déviants, histoire de mettre un peu de piquant dans toutes ces images d'une extrême mollesse. Désolé de ne pas avoir entre huit et dix ans pour les apprécier pleinement. Et même,... Déjà, à cet âge-là, je n'aurais pas supporté ces grisailles que je j'aurais pris pour un manque de vitalité, un coup de vieillesse prématurée, une forme d'intellectualisme mal placé de la couleur. Et ce serait la figuration d'une forme de douceur ? Vraiment ? "Les doux pirates" éventrant des jouets et mettant à poil des demoiselles lutins ressemblant à des petites filles. Comme c'est logique. Est-ce qu'il faudrait voir dans toute cette ternicitude colorée, l'évanescence de la matière des rêves à la frange du sommeil paradoxal ? Et bien, moi, je rêve en technicolor, Messieurs. Et mon coté onirique, c'est peut-être de la pâte à cartoon mais je ne fais pas dans le demi-ton lavasse et les couleurs éclatent comme dans les Dix Commandements de Cecil B. Demille.

Ha, si seulement le graphiste avait conservé la qualité et la densité des illustrations que l'on peut voir dans le cahier technique en fin de volume. Plus de la moitié du voyage vers une oeuvre de qualité aurait été parcourue. Si, en plus, les articulations entre les différentes parties du récit avaient été un peu plus développées, alors là on aurait eu (peut-être) un vrai chef-d'oeuvre. Je reste sur une impression très nette de travail non abouti ...
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Laissez-vous embarquer de chatclown en chatclown (puisque le mot pitre est démodé) dans cet univers fantaisiste rempli de lutins, de pirates et de légendes.
Le capitaine Trèfle, tout de vert vétu, sera la chance d'un petit lutin pourchassé par de bien vilains pirates. Ils nous inviterons alors a embarquer sur les ponts de la Lola afin de retrouver la terre imaginaire et de délivrer le peuple féérique des pirates sans scrupules. Nombres de légende nous attendent aux creux des vagues.
Un récit agrémenté de très peu de dialogue qui aura la saveur d'un conte qu'on lit auprès de la cheminée lors de ses veillées d'hiver. Mais qu'on apprécie de tout temps comme en ce jour où le soleil brille sur ma terasse. Un gout d'enfance et de magie!
Le tout traduit par de belles aquarelles aux traits fins.
Merci à Babelio et aux éditions le Lombard pour cet envoi. J'ai aimé le voyage aux saveurs douces-amères.
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Ardennes, 18ème siècle. Surpris par une tempête automnale, le Capitaine Trèfle trouve refuge dans une auberge abandonnée. Il y découvre un lutin séquestré par d'affreux pirates. Après un rude combat, il délivre le malheureux et l'amène au magicien Noctiflore afin qu'il panse ses blessures. Remis sur pieds, le Guib (nom donné à cette race de lutins des sables) raconte son histoire à ses sauveurs. Chassés par les hommes, les créatures fantastiques du petit peuple vivaient en paix depuis des siècles au-delà de la mer, de l'autre coté du monde. Jusqu'au jour où y débarquèrent le terrible Capitaine Écarlate et son sinistre équipage, bien décidés à faire des sirènes, elfes et autres dragons de vulgaires bêtes de cirque. N'écoutant que son courage, Trèfle se lance à la rescousse des opprimés au cours d'un périlleux voyage au fil des océans…

Plonger dans un album du duo Haussman/Dubois, c'est accepter de réinventer le monde. Conteurs hors-pair, ils cisèlent leur récit avec une rare minutie et nous emmènent dans un univers où l'imaginaire est roi. Loin des modes, cette ode au petit peuple fleure bon les livres d'antan. Ici, le langage est précieux, une « enseigne rouillée ne cesse de grincer comme s'éraille le rire d'une sorcière » et les « chat-pitres » deviennent des « chat-clowns ». Artisan d'une BD à l'ancienne où chaque détail mérite la moindre attention, l'orfèvre Hausman signe des planches d'une beauté sidérante. Dubois ne pouvait trouver meilleur complice pour mettre scène le bestiaire fabuleux née de son imagination débordante. Un bijou d'album, idéal pour peupler les rêves des grands et des petits.

Lien : http://litterature-a-blog.bl..
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"Capitaine Trèfle tu n'es pas de notre galaxie ...", c'est un peu ce que j'ai envie de chanter à l'issue de cette lecture qui m'a quelque peu déroutée sur le début avant de me séduire par sa magie.
Capitaine Trèfle, c'est le preux chevalier vaillant au combat et prêt à défendre la veuve et l'opprimé, en l'occurrence ici un lutin aux prises avec un vilain pirate avec une jambe de bois.
Capitaine Trèfle, il a du panache, de la fougue et c'est une fine lame : "En quarte, en sixte, coupé, dégagé, batté, tiré droit, paré, riposte de pied ferme, coup droit, parade, chocs d'estoc et de taille, le fer de Trèfle plonge et tue.", mais il a aussi des amis pour l'aider : le magicien et astrologue Bucane Noctiflore, et son aide Corbus Barbygère.
Car le lutin est égaré et son monde a été ravi par le vilain pirate qui a réduit à l'état d'esclavage et de monstres de foire les êtres magiques qui le peuplaient.
Ni une ni deux, Capitaine Trèfle met les voiles à bord de son bateau qui délivrer ce peuple et chevauche une nouvelle fois la mer, son amie : "Écoutons bien l'air du vent, trouvons son rythme et dansons de compagnie ! Arrondissez la poupe à la caresse des embruns et saluez votre cavalière : la mer !".

Adapté en bande dessinée du roman pour enfants au titre éponyme de Pierre Dubois, "Capitaine Trèfle" est une bande dessinée à part, qui m'a surprise mais dans le bon sens du terme.
Déjà, les chapitres s'intitulent des "chat-clown", cela met tout de suite dans l'ambiance; quant à l'histoire je me suis demandée pendant quelques pages où les auteurs voulaient en venir mais je me suis très vite pris au jeu et j'ai suivi avec énormément de plaisir les aventures du Capitaine Trèfle et de ses amis.
Le langage est soutenu et certaines envolées lyriques ou tournures de phrase un peu passées contribuent à donner du cachet à cette bande dessinée et à renforcer son côté aventures de cape et d'épées.
Capitaine Trèfle ne se contente pas de sauver le lutin, il vient bel et bien au secours d'une jeune damoiselle en détresse : "Là, une jeune fille à la chair tendre et nue s'offre au monstrueux appétit d'un kraken ... Un poulpe géant qui épanouit ses bras hérissés de protubérances suintantes.", qui s'avère être la fille du capitaine fantôme qui erre sur les mers avec son bateau et son équipage : "Ma fille est un caprice des choses qui ne s'expliquent pas. Elle est née de mon union avec la nuit. Chaque monstre a toujours à son côté une fille lui rappelant un amour chimérique. Et un jour, un héros vient la lui ravir.".
C'est un héros comme je les aime, sans peur et sans reproche qui sitôt son aventure achevée s'envole vers une nouvelle, et qui au cours de ma lecture m'a fait oublier mon âge.
Mais ce qui m'a particulièrement plu, au-delà de l'histoire, c'est la qualité remarquable des dessins de René Hausman.
Ce sont des aquarelles absolument magnifiques qui illustrent très joliment cette bande dessinée et qui en font tout son charme.

En conclusion, tous les ingrédient sont là pour faire de cette bande dessinée une formidable histoire de cape et d'épées qui ravira petits et grands.
"Capitaine Trèfle" de René Hausman et Pierre Dubois est un très bel ouvrage qui reflète parfaitement l'essence même de la collection Signé.
Lien : http://lemondedemissg.blogsp..
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J'ai eu bien du mal à débuter cette lecture, un peu rebutée par les dessins aux couleurs fades je dois bien l'avouer. Au final on s'y habitue mais j'ai eu aussi du mal avec la narration qui donne à cette BD un air de conte. L'histoire n'est vraiment pas mal et on fait un plutôt beau voyage. La fin est peut être un peu trop rapide.
Un bilan mitigé.
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