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4,25

sur 3322 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Sérieusement, une remarque machiste ou raciste à quasiment chaque paragraphe. Je débute le roman conseillé par une amie avec laquelle habituellement je partage les goûts. Je ne sais pas si je vais aller jusqu'au bout. Clichés macho, racistes... je me croirais en train de lire le scénario d'un film américain où bien sûrs les américains sont les héros. Insupportable pour moi j'ai vraiment du mal à me concentrer sur l'histoire.
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Livre très décevant qui est basé sur des clichés les américains sont les plus fort (auteur américain) les arabes tous des intégristes et le reste du monde sont pas trop intelligent voir stupide... Quel tristesse !!! Je n'ai pas non plus aimé l'intrigue ou dès que le ton est donné on se doute bien du résultat.

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Mais qu'est ce que c'est que ce livre ! Hé ! Mr Hayes ! C'est quoi ce travail ?!
J'ignore comment j'ai pu pousser jusqu'à la page 373, mais comment ? !
C'est réac, complétement réac.
L'intrigue, les personnages tout est mal fichu, c'est du grand n'importe quoi.La quatrième de couv' annonce un mélange de Homeland et de Jason Bourne.D'un point de vu géographique, oui, ça se rapproche un peu. Pour le reste...Ce bouquin m'a tellement énervé que je l'ai balancé par la fenêtre avant de me rappeler que ce n'était pas le mien. Pas grave, pas une grande perte.

Du coup je me lance dans Victus d'Albert Sanchez Pinol, à bientôt !



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Je m'attendais a une transcendance, j'entendais partout, en foire du Livres, en librairie: " vous allez voir, il est génial..."

Et finalement, j'en suis restée...BOF, sans plus.

Franchement pas de quoi casser 3 pattes à un canard.

Heureuse de l'avoir trouvé en seconde main pour 3 euros car la déception fut au rendez vous.

Le premier chapitre est prometteur, captivant...on arrive à se mettre dans la peau de ce gars qui analyse et voit ce que d'autres n'ont pas vu...

Ensuite, on part complètement dans une aventure d'espionnage lourde et prévisible.

bref.

Déception
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Je me suis forcée à le lire jusqu'à la fin car c'est un livre qu'on m'a offert..... Sinon, il serait parti dans la poubelle du recyclage des papiers dès les premiers chapitres. Une multitude de détails plus sordides les uns que les autres pour essayer de "faire vrai". Des détails d'une violence inouïe. Violence gratuite qui n'apporte rien à l'intrigue. Une telle accumulation d'horreurs, que j'avais juste envie de vomir en lisant... de plus, intrigue abracadabrante cousue d'incohérences. Livre à éviter sauf si vous êtes sanguinaire ou masochisme.
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Que j'ai détesté ce livre. je ne suis même pas arrivé à la fin. je ne suis pourtant pas hermétique au genre. Je l'ai entamé sans à priori.
Je me suis accroché pendant 450 pages, on ne peut pas m'accuser de ne pas avoir persévérer. Mais j'ai beaucoup de mal avec l'aspect très "américain" de ce livre. Il met en place un modèle binaire entre les gentils (nous, les USA) et eux (les autres, et plus précisément les musulmans, depuis que l'URSS a sombré). Il justifie allègrement la surveillance à outrance, Echelon et toutes les dérives (mais vous comprenez bien, nous on est les gentils et on doit se défendre contre eux, qui ne recule devant rien)... en fait, j'ai l'impression d'y voir une illustration de l'état de guerre permanente chère à George Orwell. Volilà ce qu'illustre ce livre. il valide une idéologie discutable en y opposant la peur du terrorisme bactériologiste, oinventant une figure de terroriste assez improbable, et auquel on dénie soigneusement toute forme d'humanité. Autant l'humanité du héros est mise en avant dans ses questionnements, ses doutes... autant le terroriste est animé d'une haîne viscérale et d'une obstination sans borne. Il n'est qu'une machine à tuer qui ne se consacre qu'à son but. On lui consacre bien quelques pages pour expliquer son parcours, mais elles ne servent juste qu'à essayer d'expliquer que ce qui a motivé la haîne des USA au Sarrasin, ce n'est pas tant les USA que les dictatures arabes et le terrorisme palestinien.
Le livre ne semble qu'être construit qu'autour de la peur savamment entretenue d'une attaque inévitable, qui nécessite des mesures extraordinaires. L'intrigue insiste donc sur les stéréotypes habituels, recyclant les figures traditionnelles (dont le hacker original contraint de travailler pour le gouvernement) et distillant de petites phrases anodines mais qui en disent long sur la tonalité generale. Cela peut sembler dérisoire mais lorsque que Terry Hayes décrit le président des USA, il insiste sur son côté humain et empathique, sur le fait qu'il n'est pas issu du système. Il est en fait un ancien homme d'affaire spécialisé dans le rachat d'entreprises en difficulté pour les redresser, mais qui a eu l'occasion de relever un nouveau défi (sous-entendu se mettre au service du peuple, bien que cela soit mal payé). Et de glisser qu'il n'aime pas les syndicats parce qu'il vaut mieux s'arranger avec le patron. Cette petite pique est noyée dans beaucoup de choses, mais elle indique bien que nous sommes dans un monde vu par le prisme des ultra-conservateurs. La référence appuyée au 11 septembre est évidemment bien présente, jouant sur la carte de l'héroïsme ordinaire et de l'émotion.
Mais si l'intrigue est bonne, on pourrait faire abstraction de ce contexte pour se laisser porter par le rythme de l'histoire.
Malheureusement, Terry Hayes semble avoir écrit son roman en pensant à l'adaptation en mini-série, plus sur le schéma de Homeland que d'un film. Il tire donc en longueur, multipliant les sous-intrigues. Il en résulte une mise en place de 400 pages, rien de moins. Voilà ce qu'il faut pour que les enjeux soient enfin définis. Entretemps, Terry Hayes a multiplié les matrices d'épisodes pour faire monter la sauce, mais de manière purement artificielle. Il complexifie artificiellement le tout en jouant sur la chronologie, mais sans que ce soit autre chose que du bricolage. Un gros livre en toc, mâtiné d'une idéologie discutable.
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Trop fort ces Américains. Des héros, des génies, des saints. Quant aux autres, tous fidèles aux lieu communs xénophobes. Un mauvais conte pour adolescent attardé. J'ai pu l'achever en survolant les 400 dernières pages, 1 paragraphe toutes les deux pages. Rien a voir avec la production américaine autrement réaliste et critique. Heureusement, aussitôt lu, aussitôt oublié...
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Manichéen, machiste, raciste, réac… par le père des Mad Max. ça montre le niveau intellectuel et prétentieux du bouquin. Les super gentils Américains, qui n'hésitent pas à faire le boulot et se salir les mains pour nous sauver du mal. Les étrangers très méchants (les arabes) ou stupides (nous). le 11 septembre, l'Afghanistan, la visite du camp de concentration pour faire bonne mesure. le président des USA, si humain (sic). Au fil des pages, je me rends compte que j'avais déjà essayé de le lire, peut-être 3 ans auparavant. C'est dire s'il avait laissé peu de traces dans ma mémoire. À déconseiller si on n'aime pas les relents du politiquement correct.
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