Marie et Bronia
Ce passage m’a beaucoup plu car c’est un des moments que j’attendais le plus.
Bronia aime Casimir Dluska mais n’ose pas lui avouer, elle attend qu’il le fasse et un jour…
« -Nous nous entendons bien, n’est-ce pas ?
-Oui, approuva Bronia, qui ne comprenait pas pourquoi il semblait si tendu.
-Je ne vois pas un seul sujet sur lequel nous sommes en désaccord. Tu veux faire ta thèse en médecine ? Moi aussi. Tu envisages d’ouvrir ton propre cabinet médical ? Pareillement. Tu aimerais rentrer en Pologne un jour ? Excellent. Nous nous accordons sur tous les sujets.
Bronia crut deviner qu’il lui proposait un nouveau jeu, qui consisterait à faire la liste de leurs points communs. Enthousiaste, elle complétait l’inventaire :
- Nous aimons tous les deux les compositions de Chopin fit-elle en comptant sur ses doigts, les romans d’Emile Zola… C’est ton tour.
- Comment ? s’impatienta Casimir. Laisse-moi continuer, pour l’amour du ciel. Où en étais-je avant que tu ne parles d’Emile Zola ? Comme si c’était le moment !
Il se tamponna le front avec sa serviette de table :
- Voilà, je me suis dit… Je voudrais… Si jamais…
Il passa sa main dans sa barbe, écarta sa mèche qui tombait sur ses yeux et reposa sa serviette.
- J’ai pensé… Veux-tu devenir ma femme ? »
J’aime beaucoup ce moment grâce à la naïveté de Bronia pensant que c’est un jeu alors que Casimir lui parle de l’avenir.
Lina-LesLakabooks
Marie et Bronia
Mon passage préférer se concentre sur la mort de Zosia et la souffrance de Bronia. Les sœurs sont chez elles. Elles se sont fait piqué par des insectes. Tout ça s'est déroulé dans le premier chapitre
"Les deux jeunes filles étaient à l'agonies. Elles souffraient de terribles fièvres, des migraines à se taper la tête contre les murs, de puissantes nausées. Wladislaw, le père, qui veillait déjà sur son épouse depuis deux mois, remuait ciel et terre pour les sauver toutes. Il envoyait quérir le médecin à toutes heure, leur faisait boir des tisanes de raifort sauvage, ouvrait les fenêtres e grands pour faire circuler l'air dans la chambre. L'état de Bronia se stabilisa, mais celui de Zosia allait de plus en plus mal. Bientôt, ses propos céssèrent de faire sens et ses vomissements noirs devinrent alarmant. Après deux mois de souffrance inouie, Zosia s'éteignit. Hirsute, Les yeux injectés de sang, Wladislaw poussa la porte de bronislawa (la mère) pour lui dire que l'aînée n'était plus.
J'ai bien aimé ce passage car il y a des vomissements noirs et Zosia meurt dans d'attroces souffrances.
Lakabooks-Maxime Cheng.
Une robe noire, oui je sais! pour que tu...
...Puisse la remettre au laboratoire!
- N'oubliez jamais, disait Wladyslaw, que vous devez contribuer à l'amélioration de la société. Vous n'avez qu'une seule vie, ne la gaspillez pas. Vous devez trouver votre chemin, et devenir quelqu'un.
Tel un ermite il était entré dans les ordres scientifiques.
C'est ainsi qu'en grandissant avec un poère favorable à l'égalité des sexes, à l'éducation de tous les enfants et à la culture générale, les enfants de Wladyslaw acquierent un trésor: la confiance en soi. Le plus beau cadeau que l'on puisse espérer.
vous avez qu’une seul vie ne la gaspiller p25
Le pacte des sœurs naquit ce soir-là, dans l'obscurité d'une petite chambre de Varsovie.
Ce que vous avez dans la tête, martelait-il, c'est une richesse que jamais personne ne pourra vous enlever. [...] On peut vous voler beaucoup de choses [...] mais ce que vous savez, ce que vous avez appris, c'est à vous pour toujours.
Vous n’avez qu’une seule vie de la gaspillez pas ! p25