Tu pourrais t'inscrire à la Sorbonne en sciences physiques et moi devenir gouvernante à Varsovie. Dès que tu auras obtenu ton diplôme, nous inverserons.
Mon passage préféré se concentre sur la mort de Zosia et la souffrance de Bronia. Les sœurs sont chez elles. Elles se sont fait piquer par des insectes. Tout ça s'est déroulé dans le premier chapitre. Les deux jeunes filles étaient à l'agonie. Elles souffraient de terribles fièvres, des migraines à se taper la tête contre les murs, de puissantes nausées. Wladislaw, le père, qui veillait déjà sur son épouse depuis deux mois, remuait ciel et terre pour les sauver toutes. Il envoyait quérir le médecin à toutes heures, leur faisait boire des tisanes de raifort sauvage, ouvrait les fenêtres grands pour faire circuler l'air dans la chambre. L'état de Bronia se stabilisa, mais celui de Zosia allait de plus en plus mal. Bientôt, ses propos cessèrent de faire sens et ses vomissements noirs devinrent alarmants. Après deux mois de souffrance inouie, Zosia s'éteignit. Hirsute, Les yeux injectés de sang, Wladislaw poussa la porte de Bronislawa (la mère) pour lui dire que l'aînée n'était plus.
J'ai bien aimé ce passage car il y a des vomissements noirs et Zosia meurt dans d'attroces souffrances.
Mon cœur est si noir si triste que je sens combien j’ai tort de te parler de tout cela et d'empoisonner ton bonheur . Seule de nous ,tu as eu de la chance.
"C'est ainsi qu'en grandissant avec un père favorable à l'égalité des sexes, à l'éducation de tous les enfants et à la culture générale, les enfants de Wladyslaw acquirent un trésor; la confiance en soi. Le plus beau cadeau que l'on puisse espérer."
Car c'était bien ce sage physicien qui les avait faites comme elles étaient, ces deux soeurs téméraires, déterminées à ne jamais se laisser marcher dessus, à braver les interdits, à gagner leur liberté (...) Lui qui leur avait expliqué que rien ne serait impossible si elles restaient fidèles à leurs ambitions.
Nous devons suivre son exemple, Kochanie, et enseigner à nos filles que rien n'est impossible.
La précision, mon garçon, répétait -il à son fils, voilà la clef du succès. En chimie, comme en jardinage.
L'ambition était un sentiment fort, personnel et intime.
On peut vous voler beaucoup de choses: votre porte-monnaie, votre manteau, et même votre maison. Mais ce que vous savez, ce que vous avez appris, c'est à vous pour toujours.
Ce livre m'a plu car j'ai bien aimé le contexte et ce quedémontre le livre, le fait de toujours s'accrocher pour avoir ce que l'on souhaite comme Marie qui veut devenir gynécologue, mais qui ne pouvait pas car, les femmes n'avaient pas le droit d'étudier dans son pays d'origine. Je recommande ce livre à ceux qui recherches des livres faciles à lire car Marie et Bronia est un assez gros livre mais qui ce lit vraiment rapidement même pour des petits lecteurs, et je recommande ce livre aussi pour ceux qui recherches un livres avec une bonne morale qui fait comprendre qu'il faut s'accrocher quoi qu'il arrive et de toujours trouver un moyens pour réussir.
J'ai bien aimé le passage page 53, ligne 8 à 16:
«-Ce tsar... Que dirais-il si sa fille voulait tout à coup entreprendre des études, hein? La renverrait-il dans sa chambre?
-Elle doit être très belle, sa chambre.
-J'étouffe. Cette situation m'étouffe, reprit Bronia en serrant les dents. Qu'est-ce que je peut faire? Hurlez assez fort pour que le tsar m'entende? Entreprendre une grève de la faim?