Things do not happen by chance, we make our own destiny, that was what I came to believe.
Je n'ai pas du tout aimé la suite donée par mme Susan Hill au roman de Daphné du Maurier .
Autant dans le roman Rebecca , surnage toujours une note d'espoir, de vie et de bonheur latent , autant dans " la suite " écrite par mme Hill ,l'atmosphère est opaque et sans espoir aucun.
On a l'impression que les pages on été noircies, déroulant à plaisir des volutes sombres pour atteindre un nombre correct (395) pour être données à un éditeur .
Cela me fait penser à un plagiat subtil et emprunt de risque .
It is better that we cannot see into the future. We are spared that. The past we carry with us forever into the present and that is enough to contend with.
Nous ne sommes pas punis pour nos péchés, mais par eux.
Rien de
tout ça n’est réel, pensais-je alors. Qui suis-je ? Où suis-je ? Ce n’est
pas moi qui suis ici, je suis une autre, un tel bonheur est impossible. Je
finis par m’habituer à cette sensation, mais elle ne me quitta jamais vraiment,
et par la suite, lorsque nous arrivâmes à Manderley, ce fut un sentiment d’irréalité
différent qui m’envahit.
J’aurais aimé avoir un miroir, pouvoir
m’y regarder, composer mon visage, y mettre un masque, comme lui savait si bien
le faire. Je devais feindre. Je n’avais rien vu, il n’était rien arrivé.
C’était une photographie en pleine page. Elle se tenait en haut du grand escalier, une main délicatement appuyée sur la rampe, l’autre à la taille, comme un mannequin. La pose était artificielle, mais parfaite, et l’éclairage la mettait en valeur. Elle portait une robe du soir en satin, de couleur sombre, sans manches, avec une seule épaulette partant du corsage garni d’un ruché, et une étole de zibeline qu’elle tenait négligemment à la main. Sa tête était légèrement rejetée en arrière, révélant son long cou pâle, ses cheveux noirs ondulaient en vagues naturelles et ordonnées sur ses épaules, longs, soyeux.
Nous ne sommes pas punis pour nos péchés, mais par eux. Nous ne pouvons pas vivre en nous sentant coupables pendant le restant de nos jours.
Is this all? I asked myself. Will there truly be nothing more than this perambulating, pointless life, trundling through our middle years down to old age and infirmity and separation and death. Is this all? No, it was not.
I remember hearing someone once say to me, when I was a child, demanding this or that, 'Beware of wanting something too much - you may get it' and I did not understand. Now I do.