- T'as fini la dissert' de philo?
- Non.
J'en ai trouvé une sur le net, mais je ne vais pas l'utiliser. Si je me mets à gruger pour un sujet d'éthique, alors c'est sans espoir.
- Vous devez me prendre pour une folle.
- Mme Locke, il y a un an, un détraqué a voulu l'atomiseur avec son pisto-laser. En fait une ventouse couverte d'alu. J'ai grandi dans un pays où l'on arme les enfants. Ma mère m'a inscrit de force à un cours d'escrime après avoir rêvé qu'un jour, j'aurais à combattre à l'épée. Je suis bien mal placé pour dire qui est fou.
- N'aies jamais d'enfants, Tyler, sauf si tu es prêt à vivre dans la peur pour le restant de tes jours.
Frappe-moi encore une fois et je quitte cette maison pour toujours. Ne plus jamais te revoir, ça ne me fait pas peur.
- T'es en train de commettre une terrible erreur, mon pote. Je parle pas de ta vie, je parle de ton tragique choix de sous-vêtements et de ta décision de les exhiber à la vue de deux filles plus que potables.
Les Aspirations et les Idéaux des Hommes Libres sont tels une Armée d'Ombres : impossibles à abattre...
- On a étudié un truc en psycho, hier. Y aurait toute une théorie comme quoi le dégoût cache très souvent un violent désir secret.
- Et tu penses que c'est la cas ici ?
- Nan. J'essaie juste de te remonter le moral.
p.51.
- Vous devez me prendre pour une folle.
- Mme Locke, il y a un an, un détraqué a voulu m’atomiser avec son pisto-laser. En fait une ventouse couverte d’alu. J’ai grandi dans un pays où l’on arme les enfants. Ma mère m’a inscrit de force à un cours d’escrime après avoir rêvé qu’un jour, j’aurais à combattre à l’épée. Je suis bien mal placé pour dire qui est fou.
p.31.
Ce n’est pas ton courage que je mets en doute, mais ton intelligence.
- Sérieusement, Bode, arrête de trouver des clés partout.
- Mais c’est elles qui me trouvent.