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J'ai commencé ce tome avec quelques regrets, celui de suivre Tristabelle et non plus Merry. D'autant qu'on avait laissé Merry dans une situation difficile à la fin du tome un . Mais au final moi aussi je suis tombée sous le charme de l'ainé ! En plus de ses préparatifs pour le bal de la reine, on suit un jeune inspecteur qui la soupçonne de meurtres. C'est aussi l'occasion d'en apprendre plus sur ses origines et ses pouvoirs. Encore une fois on ne s'ennuie pas et de temps en temps on peut aussi suivre Merry, ce qui m'a fait très plaisir. J'adore toujours autant l'ambiance de Grisaille, ses huit familles un peu flippantes, ses créatures surnaturelles et Tristabelle, ce personnage si admirable ! J'ai hâte de plonger dans le tome 3, auprès de la dernière soeur.
Challenge Mauvais genres 2022
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Deuxième tome des Soeurs Carmines, deuxième soeur à prendre les manettes. J'avoue que j'avais une petite appréhension, en sachant que Tristabelle était la narratrice cette fois-ci. C'est la membre de la fratrie avec laquelle j'ai le moins d'affinité, et qui est, disons-le clairement, assez antipathique. Cependant, elle a aussi un côté étrange et mystérieux qui pique la curiosité. Sans compter que, sa façon de parler sans aucune retenue, fait sourire.

Les événements se déroulent quelques temps après le "fâcheux" incident qui a conduit Merry en prison. Autant vous dire que l'aînée des Carmines ne se soucie absolument pas de sa cadette et que nous entrons directement dans ce qui va l'accaparer durant tout Belle de gris, à savoir : le bal donné par la reine pour dénicher sa nouvelle dame de compagnie, la dernière ayant perdu la tête dans tous les sens du terme. le ton est tout de suite donné. Piquant, vif, sans retenue, avec sarcasme et élégance, bien entendu. Tristabelle se dévoile un peu plus, nous livrant sa façon de voir le monde et de le ressentir. Elle devient alors moins mystérieuse, sans que cela soit un défaut pour autant, bien au contraire. Tout s'éclaircit, et même si ses actes sans très borderline, il n'en reste pas moins qu'ils prennent enfin sens. Et puis, Trista est quand même tout à fait raccord avec Grisaille, que cela en déplaise à certains.

Si la jeune femme a un but unique dans Belle de gris, elle cherche aussi à comprendre qui elle est. Cette recherche d'identité et aussi les prises de conscience que nous prenons pour elle, sont vraiment intéressante. Encore une fois, nombres de ses actes sont répréhensibles, sans morale aucune, mais en même temps, il est difficile de la détester. Ariel Holzl arrive avec brio a nous faire aimer Tristabelle. L'humour noir qui l'entoure y fait beaucoup, sans compter l'aide de certains autres personnages secondaires. C'est frais et touchant à plus d'un égards. Et plus l'histoire évolue, plus on voit dans la jeune femme quelqu'un de brisé. Pas de manière grandiloquente mais avec cette fissure qui lui donne une toute autre dimension.

En ce qui concerne les deux autres soeurs Carmines : pas assez de Dolorine !!! C'est un scandale ! Bon, en même temps avec une aînée comme Tristabelle, difficile d'être mise en avant. J'ai été heureuse de revoir Merry par contre, ainsi que d'autres personnages du premier tome. J'accroche vraiment avec elle, et bien que Trista ait été une narratrice sympathique au final, le fait de couper son récit avec celui de sa cadette était agréable. J'ai à l'opposé eu beaucoup de mal avec ce que Kat est devenue...

L'intrigue principale suit donc petit à petit son chemin, nous amenant à prendre quelques détours, pour finir en apothéose. Originale par certains côtés, la fin de Belle de gris a aussi réussi à me fendre le coeur, ce à quoi je ne me serai jamais attendu. Mais encore une fois, Ariel Holzl joue sur le côté pétillant de ses personnages pour nous éviter une trop grosse déprime.
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J'ai retrouvé les soeurs Carmine dans ce deuxième tome. Avec une petite frustration puisque c'est maintenant Tristabelle, la narratrice. Je n'avais pas beaucoup aimé le personnage dans le complot des corbeaux. Pourtant, j'ai aimé ce second tome et par moments, on aurait presque pitié de l'ainée des Carmine qui parait au premier abord, froide comme la pierre. L'humour d'Ariel Holzl aide à apprécier ce tome qui m'a paru plus noir, plus sombre que le premier. Chacune des soeurs est différente et à vrai dire, je suis curieuse d'en savoir un peu plus sur la benjamine Dolorine !
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Tristabelle Carmine doit participer au bal de la reine. Il ne lui reste que trois semaines pour trouver la tenue parfaite.. et une invitation.
Dans le premier tome, Tristabelle apparait comme une jeune femme égoïste et superficielle. Si le deuxième tome appuie cette impression, on la découvre aussi débrouillarde et finalement bien plus attachante qu'on ne pouvait l'imaginer au départ. Parce qu'elle est amusante, sans scrupule et se retrouve au centre d'une série de morts inexpliquées qu'on va finir par lui attribuer.
Le récit est enlevé, amusant et riche en péripéties, dont Trisabelle se tire toujours avec élégance. de nouveaux personnages font leur apparition et l'on retrouve avec bonheur les protagonistes du premier opus, même s'ils sont moins présents.
J'ai une nouvelle fois écouté ce titre, qui bénéficie de la prestation d'Adélaïde Poulard, déjà narratrice du premier tome et qui prête une nouvelle fois sa voix pour faire vivre les personnages de cette saga.
Je suis impatiente de lire ou écouter le troisième tome, consacré à Dolorine, la petite soeur si attachante de cette fratrie pas comme les autres.
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Je me suis totalement laissée emporter par ce tome centré sur Tristabelle Carmine. À vrai dire, j'avais eu une véritable révélation avec la voix envoûtante d'Adélaïde Poulard dans le tome précédent sur Merryvère Carmine, mais Tristabelle ne m'a pas déçue. L'univers d'Ariel Holzl, teinté d'humour et d'ironie, a su me captiver, tout comme le décor fascinant de Grisaille.
Tristabelle, contrairement à sa soeur Merryvère, est débordante d'assurance et d'ambition. Même si elle peut paraître agaçante, son désir de briller et son machiavélisme assumé m'ont séduite. Elle est un personnage complexe, façonné par son passé douloureux. Les liens entre les soeurs Carmine sont tout sauf cordiaux, mais leur amour commun pour Dolorine les réunit.
Tristabelle est devenue ma préférée, avec son ambition délirante et son charme atypique. Ariel Holzl la décrit de manière attachante, dévoilant sa vulnérabilité derrière son masque. Son histoire est palpitante, entre quête de pouvoir et enquête policière. Ce tome est un véritable coup de coeur, une aventure captivante au coeur de l'univers singulier des soeurs Carmine. #LectureDuJour #SororitéSurnaturelle #TristabelleCarmine

Lien : https://www.instagram.com/re..
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Ayant beaucoup apprécié ma lecture du tome 1, j'ai eu envie de lire la suite. le père noël ayant été gentil avec moi (même si je ne le méritais pas vraiment) m'a apporté ce joli tome 2 à la belle couverture violette. le premier tome nous avait présenté la famille Carmine composée de 3 soeurs aussi différentes les unes que les autres et la ville de Grisaille dans laquelle elles vivaient. Alors que le tome 1 s'intéressait plus particulièrement à Merry, la soeur du milieu, celui-ci est consacré à Tristabelle, l'ainée de la famille.

Des trois soeurs, Tristabelle dans le premier volume, paraissait clairement la moins intéressante de part son égoïsme et ses centres d'intérêts plutôt frivoles. Merry a un caractère beaucoup plus neutre et était parfaite pour entrer dans l'univers créé par l'auteur. Aussi, je craignais un peu de voir ce tome uniquement consacrée à la plus âgée des soeurs Carmine. Pourtant, l'auteur a su me surprendre d'agréable manière surtout grâce à un humour de second degré très présent qui prend constamment le contrepied de ce à quoi on pourrait s'attendre. Voir évoluer Tristabelle dans ses aventures est loin d'être de tout repos, mais quel plaisir de suivre le cheminement tortueux de ses pensées. Une des grandes réussites est pour moi, le choix de narration qu'a fait Ariel Holzl et qui nous plonge au plus près des pensées de ce personnage vraiment particukier qu'est Tristabelle. Ses réflexions sont un vrai délice d'humour noir/ second degré et font de Tristabelle un personnage qu'on adore détester.

L'intrigue de départ est assez simple: le bal de la reine a lieu dans 3 semaines et Tristabelle veut à tout prix s'y rendre, car à cette occasion la reine choisira sa prochaine dame de compagnie, place on ne peut plus enviée. L'ainée de la famille Carmine est donc prête à tout pour obtenir une invitation, à être la plus belle et surtout à obtenir le choix de la reine. Elle ne recule devant rien ni personne. Tristabelle est tellement sure d'elle-même qu'on se demande bien ce qui pourra l'arrêter, et pourtant les obstacles sur sa route sont nombreux. Mais, telle une tornade de crinoline dévastatrice, elle nous surprend par ses pensées et ses actes.

Ce tome permet également de faire la connaissance de la mère des 3 soeurs qui était de retour à la fin du tome précédent, mais aussi d'en apprendre un peu plus sur les origines des soeurs qui ont toutes un père différent. L'univers ne s'étoffe pas beaucoup, cependant cela sera visiblement le cas dans le tome 3 consacré à Dolorine, la benjamine de la famille. Même si on peut regretter un peu le fait que Dolorine soit en retrait dans ce tome, on se console vite avec le fort tempérament de Tristabelle et le rythme que prend la seconde partie du roman. La succession d'évènements de la fin est vraiment bien maîtrisée pour nous offrir une fin haletante et encore une fois une fin à contrepied.

Ce second tome est donc une parfaite réussite, et nous dépeint un personnage féminin fort et rare, qui se sert de tout et de tout le monde, profondément égoïste, mais qui finit par devenir touchante malgré son coeur de pierre. le procédé narratif et la plume de l'auteur font merveille, tout comme son humour acide et cocasse. le tome 3, consacrée à la plus jeune de la famille, sera à mon programme de lecture de l'année prochaine sans aucun doute!
Lien : https://aupaysdescavetrolls...
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Oh la la cette Tristabelle Carmines, quelle peste, quelle ignoble indifférente aux malheurs des autres et quelle insensibilité ! Mais bon sang que c'est bon de l'adorer un peu car tous ces défauts lui donne du corps (quoique des formes elle en est déjà fort pourvue) et un sacré caractère que j'ai adoré suivre dans ce tome 2 des soeurs Carmines.

Ariel Holzl sait nous dépeindre ses personnages avec brio. On aime les adorer ou les détester gentiment et même leurs pires travers nous font sourire. Il faut dire que ces trois soeurs sont bien particulières.
Après avoir fait la connaissance de Merry, la monte-en-l'air, ce tome nous propulse dans la vie tumultueuse et agitée de Tristabelle.
Noble jusqu'au bout des ongles, des yeux à damner un saint, froide et hautaine, elle est tout le contraire de ses soeurs. Ses préoccupations sont elles aussi loin d'être les mêmes. Triviales diriez-vous ?? Que nenni ! Assister au bal de la Reine est le summum dans la vie d'une jeune femme de Grisaille. Si vous voulez être vu, admiré et décroché la place convoitée, il faut faire preuve de doigté, d'audace et d'un soupçon de rouerie. Tout Tristabelle en somme.

C'est ainsi que ce tome 2 nous apporte de nombreux indices sur le passé des filles Carmines. Ou plutôt sur leur ascendant et géniteur. J'avoue (je sais je suis une boulette) ne pas avoir compris au départ le métier dont s'enorgueillissait leur mère. Une fois cette lacune comblée je comprends mieux leurs disparités de physiques et de caractères.

Les informations que l'auteur nous glisse entre deux portes laissent présager beaucoup ou du moins nous le laisser croire.

Chacune des soeurs a des particularités surprenantes.

Tristabelle a un coeur de pierre, elle ne ressent rien pour personne. Nous l'avions déjà aperçu dans le tome 1 à sa manière de traiter les autres avec hauteur et condescendance au point d'en être fortement irritante. Les premiers chapitres vont nous conforter dans cette image.

Autant Ariel Holzl a su instiller des touches d'humour acide et truculent comme sa pilule du non lendemain. Autant j'ai apprécié que Tristabelle ne soit pas l'élément principal de ce récit. Vous le verrez, elle ne rend pas indifférent. Pour moi ça a été comme une craie sur un tableau noir. Ses réactions, ses réflexions m'ont fait grincer des dents. Ah combien de fois n'ais- je pas eu l'envie forte et irrépressible de l'étrangler de mes propres mains. de secouer le roman jusqu'à ce qu'elle tombe de son piédestal. de lui coller des baffes. de ...

Enfin bref ... Vous avez compris.

Les moments passés avec son autre soeur ont été comme une oasis de douceur en plein désert d'insensibilité. Sa maladresse, sa timidité et ses grandes valeurs sont un baume après avoir suivi Tristabelle quelques pages.
Un petit bémol sinon dans cette lecture, il m'a manqué les pages du journal de Dolorine et Mr Nyx. Et je sais que je ne suis pas la seule à penser cela.

Pourtant, malgré cette peste insoutenable, j'ai adoré ma lecture.

Comment ne pas s'éclater quand vous vous sentez fébrile en lisant certains passages.

La plume de l'auteur est vraiment une pure merveille pour cela. Peu ou pas de temps morts. Par contre quelques morts ça oui.

Quelques émotions fortes ou plus douces aussi. Mais surtout, surtout cet humour corrosif. Car malgré son côté agaçant Tristabelle sous la plume d'Ariel a des côtés poétiques sanglants, tout à fait macabres et inconvenants mais totalement bien écrits.

Et lorsque j'ai refermé ce roman sur sa dernière page, enfin celle du tome 2 , puisque l'auteur, ce vil tentateur y a ajouté un avant-goût du tome 3.

Lorsque, donc, j'ai refermé ce roman j'étais estomaquée, complètement retournée et totalement attentive à la suite des aventures de nos trois Soeurs.

Tristabelle et sa complexité m'ont perdue à de nombreuses reprises. La détester ou non a été une question cruciale lors de ma lecture. Encore maintenant je me pose la question. Mais comme il semble y avoir une justice en ce bas monde de Grisaille j'ai ressenti pendant un instant un peu de la perversité de la belle en me réjouissant de cette fin.

En bref, Tristabelle a su m'énerver au plus haut point, Merrywere m'émouvoir, Dolorine rester ma préférée.

Il n'en ressort donc qu'une seule option.

JE SUIS FAN!!!

Fan de cette famille, de la plume d'Ariel Holzl découverte par hasard sur un coup de tête. Fan de son humour décapant. de son monde.

C'est un coup de coeur que cette série. Alors pour en profiter encore un peu je me replonge à nouveau dans le premier chapitre du tome 3 et vous dis "rejoignez moi donc à Grisaille vous ne le regretterez pas".
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Dans Belle de gris, ce sont cette fois les pas de l'aînée de la famille que nous allons suivre, et qui dit changement de soeur, dit changement de ton. Ce n'est pas peu dire, car avec la pétulante et cruelle Tristabelle, ça va valser!Vous allez suivre (quand elle est d'accord) cette tornade d'égocentrisme dans son plan machiavélique pour devenir la nouvelle suivante de la reine et elle nous traînera dans les ruelles les plus crasses de Grisaille comme dans les salons de bonnes famille. Mais son chemin semble semé d'assassinats inexpliqués... la carnassière Tristabelle aurait-elle un secret ? Ou serait-elle elle même la proie ?
Tout comme le premier tome de cette trilogie, Belle de Gris est une franche réussite. Avec un récit toujours aussi dynamique et pétillant, dans un univers qui gagne encore en cohérence à mesure qu'on l'explore, les aventures de Tristabelle sont même encore plus cocasse, drôles et mordantes. Car dès le départ le ton est donné : le narrateur ce fait littéralement viré car, du point de vu de la belle, il ne raconte pas les choses comme il faut. C'est Tristabelle qui reprend sobrement (nan, pas du tout) le discours et nous suivrons donc dans ce tome une intrigue à la première personne. Ce petit coup de génie narratif, en plus d'être très drôle, se révèle également un stratagème narratif parfait pour éloigner le lecteur de l'aînée quand elle nous l'ordonne, la laissant ainsi mener tranquillement ses entourloupettes de cours tandis que nous retrouvons avec plaisir Merryvère et ses amourettes.

Entre jeux de mots, jeux narratifs, humour mordant et toujours cette touche de burlesque Pratchettien, Ariel Holzl nous offre des moments de franche rigolade, mais aussi des temps forts bien plus sérieux et tout aussi bien écrits grâce à une plume subtile et toujours raffinée. Et quand toutes les pièces du puzzle se mettent en place, cela nous mène à un dénouement qui, quant à lui, se passe de commentaires : bien au-delà de la simple intrigue de cour dénuée de scrupules, il est d'une sobriété et d'une puissance formidables.

Un vrai grand plaisir lecture où l'on se délecte page après page de l'irrésistible méchanceté d'une héroïne haute en couleurs.
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J'avais adoré le premier tome, mais davantage pour l'univers que pour son personnage central, notre petite Merry. Grisaille et ses personnages loufoques m'ont ravi, tandis que Merry était totalement à contre-courant. Cependant, avec Tristabelle, le mot culpabilité n'existe pas, et c'est fascinant. J'ai toujours apprécié mon séjour à Grisaille, mais j'avoue que le passer dans la tête de cette femme au coeur de pierre, c'était bien plus sympa. J'ai adoré le dénouement de l'affaire, que ce soit son projet personnel mais aussi les révélations sur son père. Il me tarde d'aller à l'école avec Dolorine...
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Après un premier tome qui m'avait totalement charmé, est-ce que la suite est parvenu à me plaire ? Et bien oui, complétement.

Pourtant, la perspective de suivre Tristabelle Carmine me faisait un peu peur. Quelle erreur. Tristabelle Carmine est un personnage incroyable. Incroyablement méchante, égoïste, voire effrayante, certes, mais incroyable quand même. Il ressort de ce nouveau point de vue un humour toujours plus cruel et méchant qui m'a beaucoup plu.

Les personnages sont toujours aussi attachants, autant qu'ils peuvent être effrayants, lugubres, macabres. L'ambiance est toujours autant réussie. J'ai eu plaisir à suivre les péripéties de ce deuxième tome.

J'ai particulièrement aimé les révélations de ce tome, ainsi que l'émotion que parvient à faire naitre Ariel Holzl alors que rien ne nous y prépare, vu l'environnement dépeint ici et les personnages que l'on suit. Chapeau l'artiste / l'auteur.

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