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J'ai reçu ce livre en cadeau lors de l'achat de 2 J'ai lu Fictions. L'histoire a l'air très intéressante sur le thème du policier :-)

Le début du roman est plutôt prévisible grâce à tous les indices que voit Alex, le personnage principal. On se doute que malgré son jeune âge (14 ans), il va se jeter tête baissée dans la recherche de la vérité concernant son oncle et donc dans les ennuis. Qui est-il vraiment ? Quel est son vrai métier ? Pourquoi toutes ses affaires ont disparu de chez lui ?

Je pense même que ces indices ont été volontairement laissés par les employeurs de son oncle de façon à ce qu'Alex devienne leur espion malgré lui. Au cas où, ils avaient également d'autres moyens de pression pour pouvoir l'utiliser à leur avantage...

Malgré son âge, Alex est très curieux de nature et s'intéresse à différents domaines. Grâce à son oncle, il a également appris différentes langues et un sport de combat, entre autre chose.

J'ai un avis plutôt mitigé pour ce roman. L'histoire est intéressante malgré quelques incohérences et invraisemblances comme Alex allant dans un camp d'entraînement pour agents spéciaux en Angleterre...

J'ai mis longtemps à mettre le doigt sur ce qui me gênait le plus dans ce livre. C'est lié à l'écriture, de temps en temps, l'auteur rajoute des bouts de phrases ne servant à rien en mon sens. Ce livre est destiné aux enfants de 9 à 12 ans mais ce ne sont quand même pas des abrutis. Ces bouts de phrases sont des précisions sur la situation d'Alex mais qui pour moi tombent sous le sens et ne sont pas du tout utile à la narration. Cela l'alourdit un peu plus. Il y a également quelques phrases où on se demande s'il n'y a pas eu un problème de traduction car même en relisant plusieurs fois le paragraphe, je n'en comprenais toujours pas le sens.

Au vu de ça, je ne lirais très certainement pas la suite des aventures d'Alex Rider. L'auteur a voulu faire d'Alex un genre de James Bond, sauf que dans certaines situations, c'est tout sauf réaliste... Je pense que dans le même genre, je tenterais plutôt la série « A comme Association » qui remporte plus de suffrages sur Babelio :-)

Vous l'aurez donc compris que je ne vous conseille pas vraiment de lire cette série, à moins que vous n'ayez l'âge adéquat ^^ Mais comme on dit : « Chacun ses goûts » donc à vous de juger cette série...

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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"Stormbreaker" est un sympathique roman d'espionnages jeunesse.
Quoiqu'un peu convenu, il constitue un parfait divertissement, dépourvu de toute prétention.
Le talent d'Anthony Horowitz réside dans son art de raconter des histoires banales de façon à les rendre intéressantes. Il a d'ailleurs un vrai art de raconter, de narrer, de conter.
En outre, il existe dans "Stormbreaker" de vrais mystères qui semblent souvent impénétrables.
Un bon roman d'espionnage jeunesse, donc.
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« You're never too young to die. »

Alex Rider a la surprise de sa vie, lorsqu'il apprend que son oncle Ian s'est tué dans un accident de voiture en rentrant du boulot. Les circonstances ne collent pas au personnage, et tout semble remonter à la Royal & General, une banque douteuse aux employés douteux. Alex décide de mener sa propre petite enquête, et se fait prendre la main dans le sac en train de fouiller dans le bureau du patron de la banque. Ce qu'il va apprendre va dépasser son imagination...

Et bien, c'est un joli petit roman d'espionnage jeunesse que nous avons là. L'histoire commence tout de suite, un bon point, et on y rentre facilement dedans, un autre bon point non négligeable ! L'auteur Anthony Horowitz dit dans sa postface avoir eu l'intention de donner vie à un James Bond adolescent, et il a rempli son défi avec brio.

Au départ, j'avais un peu peur que Alex Rider ressemble à une autre saga culte d'espionnage jeunesse, Cherub. Finalement, pas du tout ! Là où dans Cherub, il faut mobiliser 15 agents secrets pour recueillir des infos sur le trafiquant de drogue du coin, dans Alex Rider, c'est un ado solo l'asticot qui est propulsé dans une mission impliquant généralement un milliardaire véreux ayant pour ambition de conquérir le monde. de même, Alex Rider est embauché de force par les services secrets anglais et est le seul ado à y travailler ; contrairement à Cherub, qui est une véritable usine à fabriquer des bébés espions (consentants, eux). Pas du tout le même genre, donc.

Passons au héros, le fameux Alex Rider. Je l'ai quand même trouvé un peu bêta par moments, ainsi que le Premier Ministre lui-même. La suite se fera sous balise spoiler !

Mais par-dessus tout, je soupçonne Anthony Horowitz de faire du placement de produit pour Mercedes. Regardez un peu la tartine de compliments qu'il écrit en faveur des modèles de voitures de l'entreprise (traduction maison, donc je m'excuse des possibles inexactitudes) :

"La Mercedes S600 gris argenté parcourait l'autoroute en direction du sud. Alex était assis sur le siège passager avec tant de cuir souple autour de lui, qu'il pouvait à peine entendre le moteur de 6 litres de 389 chevaux, qui le portait vers le complexe Sayle près de Port Tallon, Cornwall. À quatre-vingts milles à l'heure, le le moteur ne faisait que tourner au ralenti. Mais Alex pouvait sentir la puissance de la voiture. Cent mille livres d'ingénierie allemande. Une touche du chauffeur au visage de marbre, et la Mercedes bondissait en avant. C'était une voiture qui n'avait cure des limites de vitesse." Rien que ça...

Je crois que j'ai dit tout ce que j'avais à dire de notable sur ce bouquin. Un court livre palpitant qui ne laisse pas le temps de souffler. Les quelques invraisemblances que j'ai relevé ne doivent pas faire oublier que j'ai adoré. Pour ceux qui me lisent et qui se demandent pourquoi mes citations sont en anglais, la raison est toute simple : j'ai lu le livre en V.O. D'ailleurs, ma note de 5 étoiles sur 5 est notamment là pour "remercier" les éditions Harrap's Yes You Can d'exister ; je vous recommande leur collection ! Parfait pour débuter en anglais comme moi.

Bonnes lectures ! ;-)
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Alex Rider vit tranquillement chez son oncle, un banquier à la vie simple mais peu présent.

Lorsqu'on annonce au jeune homme que celui-ci est mort dans un accident de voiture banal, Alex n'y croit pas et enquête. Il va découvrir rapidement que son oncle n'était pas du tout banquier.

Ayant fait preuve d'un grand talent pour ses recherches, l'agence secrète décide d'employer le neveu pour terminer le travail de l'oncle.


Voilà ce que m'annonçait ce livre : un roman ado avec quelques aventures inexistantes.
Point du tout.
Ce roman commence à dater, et il ne ressemble pas à la plupart de ceux qu'on nous met sous le nez de nos jours.
Notre héros n'est pas parfait (quoique), se prend des coups, se loupe mais vit quand même de sacrées aventures qui nous entraînent derrière.
Bon, n'attendez pas non plus un James Bond version ado mais on s'en approche.
Le méchant est méchant, les services secrets sont…non, pas secrets, mais typés boulets face au héros, l'aventure est simple mais difficile à réaliser pour un ado ordinaire.
Bref, un roman, comme je vous le disais, qui parait bateau mais qui possède ce grain de puissance qui empêche le lecteur de s'ennuyer.
L'écriture doit aussi jouer un rôle important puisque le style n'est ni trop chargé ni trop simple et qu'il ne donne pas l'impression au lecteur d'être pris pour un sous-doué en lecture et en grammaire…Comme certains…Je ne nomme personne…car beaucoup de crabes…Brrreeff.
Ce premier tome a été adapté au cinéma et j'ai commencé le visionnage mais celui-ci ne m'a pas assez plu pour que je le continue.
A savoir que notre héros Alex Rider apparaît dans une suite assez conséquente, ce qui réjouira ceux qui ont apprécié le roman. Pour ma part, je m'arrête là…Je ne trahirai jamais James…
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Premier tome de la série des Alex Rider, une sorte de James Bond adolescent. Catapulté bien malgré lui dans l'univers très secret et mystérieux des espions anglais, le jeune Alex se voit confier la reprise d'une enquête menée auparavant par son oncle sur Harod Sayle et ses médiatiques Stormbreaker.
Le style est fluide, les personnages très cadrés, l'intrigue ciblée. Bref, on sait d'emblée où on met les pieds avec ce roman et il se conforme parfaitement aux règles du genre du roman d'espionnage. En ce sens, je pense qu'il peut être une belle initiation pour les jeunes lecteurs qui désirent découvrir ce pan de la littérature, ils ne seront pas perdus. Mais j'avoue que pour moi, c'est un peu convenu. Je ne suis pas le public cible de cet opus que je situerai plus vers les collégiens (de l'âge d'Alex en fait). D'Horowitz, je préfère nettement les récits historiques dans lesquels mon âme de lectrice adulte s'amuse beaucoup plus. C'est une lecture agréable et qui le serait certainement plus si je l'avais lue en classe de 4ème.
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Stormbreaker est (un roman romantesque et fictionaire d'Anthony Horrowitz). C'est le premier tome de la série d'Alex Rider.
Le personnage principal de cette série est Alex Rider; c'est un collégien orphelin de 14 ans qui vit (alors) avec son oncle.
Plus tard, après la mort de celui ci, il découvre que son oncle ne travaillait pas dans une banque mais qu'il travaillait comme espion pour les services secrets brittanique (MI6).
Alex Rider étant le personnage principal, va être confronté à un monde encore inconnu, entouré de dangers. Il est à son tour enrolé par le MI6 pour découvrir ce qui se cache derrière le Stormbreaker, un nouvel ordinateur ultra-puissant qui inquiète le MI 6. Il echappe à deux doigts la mort.

Pourquoi j'ai aimé ce livre?
C'est un roman agréable et facile à lire pour adultes comme pour adolescents.
Il y a beaucoup de moments inatendus, de suspens, beaucoup de rebondissement d'action, on s'identifie assez facilement aux personnages.
Que ce soit un adolescent qui se mette en danger secrètement par ordre du MI6 pour sauver la vie à un grand nombre de personnes, plutôt que d'aller au college comme tout autres collégiens c'est très héroïque.
(Tess)
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Alex Rider est un adolescent ordinaire de quatorze ans, orphelin, qui vit chez son oncle et sa "gouvernante" Jack, sa tutrice et meilleure amie. Il mène une vie tranquille jusqu'à la mort brutale de son oncle Ian, qui n'était pourtant qu'un simple banquier. Peu après sa mort, Alex est convoqué à la banque Royale & Générale, où travaillait son oncle, pour y entendre la lecture du testament de ce dernier. C'est alors qu'Alex découvre que son oncle Ian était en réalité un espion. Malgré son jeune âge, voici Alex Rider enrôlé à son tour par le MI 6, les services secrets britanniques, pour qu'il puisse finir ce qu'avait commencé son oncle : découvrir ce qui se cache derrière le Stormbreaker, un nouvel ordinateur ultra-puissant qui inquiète le MI 6. Malgré l'aide de Smithers, qui lui fournira des gadgets d'agent secret, son expérience en karaté et son courage, Alex passera plusieurs fois à deux doigts de la mort. Pourtant, il est bien décidé à ne pas décevoir le MI 6.


Se livre est facile a lire parce que il procure des émotion
je conseil fortement se livre car on ne s'ennuie pas
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De la bonne littérature de jeunesse: un héros, jeune, un peu James Bond sur les bords. Même si tout est impossible dans la réalité, je me suis laissée emportée!
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Lu à voix haute en juillet 2018

Alex Rider, quatorze ans et orphelin, vit à Londres avec son oncle Ian. Un matin, on lui apprend que son oncle vient de périr dans un accident de voiture. Qui sont les personnes mystérieuses qui apparaissent à son enterrement ? Où Ian travaillait-il vraiment ? En enquêtant sur les conditions mystérieuses de son prétendu accident de voiture, Alex se trouve pris dans un engrenage qui le conduira au coeur d'une affaire d'espionnage pleine de rebondissements spectaculaires !
Ce premier tome des aventures d'Alex Rider réunit tous les ingrédients classiques du roman d'espionnage anglais : services secrets parfaitement camouflés, gadgets, messages chiffrés, péripéties à couper le souffle, ennemis machiavéliques bien sûr associés d'une manière ou d'une autre à la Russie et à la Chine… La monstrueuse méduse Physalie mérite une mention particulière !
Si le livre se conforme fidèlement aux conventions du roman d'espionnage, ce genre est assez inhabituel dans la littérature jeunesse et cette lecture a permis à mes garçons (de 7 et 8 ans) de le découvrir. Ils ont adoré. Alex est un vrai héro susceptible de susciter l'identification des jeunes lecteurs : sympathique, débrouillard, courageux, athlétique, intelligent, polyglotte, plein de sang-froid et de discernement. Anthony Horowitz, dont nous avions déjà beaucoup apprécié L'Île du Crâne l'année dernière, connaît son affaire : le style est fluide et agréable, l'intrigue est très bien ficelée et les scènes d'action s'enchaînent sans temps mort, avec une montée en puissance jusqu'à un final proprement vertigineux.
L'intérêt du roman est certainement moindre pour les lecteurs plus expérimentés qui noteront de nombreux parallèles avec la série des James Bond, une tendance au manichéisme caractéristique du genre, des cascades bourrées de testostérone et des invraisemblances ici ou là. le roman vit essentiellement de l'intrigue et va droit au but, sans proposer de contexte ou d'univers particulièrement travaillé. Il peut néanmoins être proposé sans hésitation aux jeunes amateurs de frissons et d'histoires d'espions, qui le dévoreront d'une seule bouchée…
Lien : https://elireblog.wordpress...
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J'avais vu le film il y a quelques années et il m'avait rendue très curieuse. J'aurais dû me plonger dans cette série beaucoup plus tôt, cependant, je ne l'ai débutée que récemment et je ne le regrette pas. Ce fut une très bonne lecture et j'ai passé un bon moment en compagnie d'Alex. le monde de l'espionnage est intéressant et bien exploité et j'espère véritablement pouvoir lire la suite. En attendant, c'est la parution de Roulette russe qui fut déterminante dans ma volonté de lire Stormbreaker. Les deux sont liés.

L'intrigue est palpitante. Elle se met en place rapidement, après la mort de Ian Rider, l'oncle d'Alex. Tout se bouscule et les événements conduisent le jeune garçon à faire la rencontre du MI 6 l'engageant pour une périlleuse mission : celle sur laquelle son oncle travaillait et qui lui aura coûté la vie. On alterne avec des passages truffés d'action, haletant et parfois tendu, notamment dans les passages d'infiltration avec des phases de réflexion pure, où Alex tente de comprendre ce qui l'entoure. le mélange donne un roman d'espionnage franchement bien mené et captivant du début à la fin, je suis restée accrochée jusqu'au bout !

Le style d'Anthony Horowitz est complètement facile à lire sans pour autant être simpliste. Les descriptions des lieux, des actions ou des objets restent fluides et agréables à lire, elles permettent de se plonger facilement dans ces ambiances sombres, mystérieuses propres à l'infiltration. Les dialogues sont vifs, ils donnent des renseignements importants, des révélations parfois étonnantes. On progresse aisément dans le récit grâce à cette plume lisible et précise, travaillée et agréable.

L'univers d'Alex Rider est très bien introduit dans ce premier tome. Les principaux protagonistes sont présentés avec force et suffisamment de mystère pour donner encore envie aux lecteurs de lire la suite. Je pense notamment aux espions du MI 6, Blunt en particulier. le monde de l'espionnage est bien montré, avec ses gadgets, ses percées avec les indices trouvés, avec la tension et l'adrénaline. L'histoire même du Stormbreaker avec cette bonne dose de science et d'informatique m'a de suite enchantée, parce qu'indirectement, comme Alex, on ne comprend l'histoire qu'à la fin. Quand toutes les pièces du puzzle s'imbriquent en somme. Avec ce genre de récit, j'ai facilement oscillé entre thriller et policier, c'est un mélange passionnant à lire et les personnages sont très attachants.

Je pense à Jack, la gouvernante d'Alex, nous la voyons peu, mais elle est terriblement gentille et protectrice envers son protégé. Alex Rider est un garçon très attachant, dès les premières lignes je l'ai apprécié et il sait impressionner, il est touchant et honnête, débrouillard et intéressant à suivre au fil de son aventure. Les antagonistes de cette affaire Stormbreaker sont eux aussi incroyablement attachants, ce sont des méchants, mais ils sont si singuliers. Sayle, Nadia Rami ou encore M. Rictus, ils ont tous quelque chose à apporter au récit et sont captivants, notamment Sayle. Toutefois, le personnage le plus charismatique en raison de la grande aura de mystère qui plane autour de lui, c'est Yassen Gregorovitch. Très curieux, c'est un tueur réputé et dangereux, pourtant ses dernières recommandations à Alex le rendent touchant. Il est sincèrement intéressant et c'est pour cette raison que j'ai lu Roulette russe, un spin off lui étant entièrement consacré.

En conclusion, l'univers Alex Rider est fantastique ! de l'action, de l'humour, des rebondissements, de l'aventure, de l'enquête, de la tension, voilà d'excellents ingrédients pour une série d'espionnage de haute voltige. Alex est un héros passionnant, il est obligé de suivre la voie de son oncle et une vraie évolution s'opère en lui durant cette affaire de Stormbreaker. le mélange science et informatique, les protagonistes intéressants et la plume soignée donne un récit palpitant impossible de lâcher. J'ai sincèrement passé un très bon moment avec ce premier tome, il sait introduire de bonnes bases tout en offrant une intrigue singulière.
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