Un des plus chefs d'oeuvres de
Victor Hugo, grand écrivain à la forte personnalité politique et intellectuel engagé du XIXème siècle.
Les Misérables dénonce la justice humaine de la Société à travers une métaphore filée de la rédemption du dieu déchu Satan.
Ce que je n'ai pas vraiment apprécié ici étaient les moments où le roman stagnait et où je me lassais, c'est-à-dire que l'on restait au même endroit ou sur une même personne pendant longtemps : comme avec l'évêque Myriel ou encore avec l'épisode de la Barricade.
En contrepartie, ce que j'ai le plus apprécié était le don que
Victor Hugo possédait à décrire les émotions de ses personnages, notamment avec Cosette.
Dans l'édition Pocket, texte intégral, à la page 1161 se trouve la phrase qui est pour moi la plus belle que
Victor Hugo ait écrite dans ce roman :
"Elle lui répondit en sanglotant ce mot du paradis qui n'est jamais plus charmant qu'à travers les larmes :
- Je t'adore !"
Je retiendrai cette phrase dans ma tête pour mes prochains écrits.
Si vous êtes avide de Romantisme et que vous n'avez pas lu ce roman-là, ne perdez plus de temps et lisez-le immédiatement.
Il vous enrichira de sa Beauté.