Le Roi se meurt

Cette pièce appartenant au théâtre de l'absurde est une pièce que j'ai du étudier pour mes cours de français le mois dernier. le contexte de cette pièce est tout de suite placé par le titre, mais aussi dés le début de l'intervention des personnages.
Six personnages apparaissent dans cette pièce : Marguerite, première épouse du roi mais celle qu'il aime le "moins" qui est un personnage symbolise la raison, elle est franche et directe et annonce les choses clairement au Roi sans prendre de pincettes, c'est ce que j'ai apprécié chez elle.
Marie, la seconde épouse du Roi, et plus sensible elle ne veut pas admettre les choses.
Le Garde, le Médecin et Juliette sont deux personnages qui apparaissent peu dans la pièce mais qui m'ont fait sourire par leur répliques décalées. Enfin le Roi, ne m'a pas vraiment plu, il ne veut pas accepter sa future mort, la refuse et finit par se résigner.

Cette pièce, m'a fait découvrir un genre théâtral que je ne connaissais pas du tout. Il me plait moyennement, cette pièce m'a parfois ennuyée, parfois fait sourire. Mais je ne pourrais pas dire que j'ai apprécié.
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Pas le même impact qu'à la première lecture. J'avais tremblé, je réfléchis. Je me demande si ce roi qui meurt, ce n'est pas Dieu, si ce texte n'est pas une parabole. La reine s'appelle Marie... La terreur de la mort, juste elle, il y a quelques années, un peu de comique aujourd'hui, dans les répliques du garde, dans la naïveté de Juliette, dans les délires du roi. Marguerite est-elle la mort, la faucheuse, une allégorie ? Sans doute est-ce parce que la mort de Dieu, ou sa vie, son existence, toutes ces questions qui me torturaient, se sont éloignées. Sans doute relirai-je ce livre et retrouverai-je son impact quand je saurai que c'est vraiment la fin.

Presque tout est dit dans le titre, on assiste donc à une très longue agonie d'un roi appelé Bérenger Ier.
Cette pièce est, pour moi, la moins bonne de toutes celles que j'ai lu de l'auteur car il ne s'y passe vraiment rien qui soit palpitant ni de vraiment absurde. La seule chose vraiment intéressante est cette idée, qu'avec nous disparaît en même temps une sorte d'empire, de monde fait de subjectivité.

21e-siècles, théâtre-et-opéra
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J'ai préféré cette pièce-ci à La cantatrice chauve où il semble avant tout détruire le théâtre bourgeois et idéologique de son époque, tandis que dans celle-ci, il continue à se positionner contre ces théâtres, mais en construisant le sien. J'ai apprécié la façon dont il a traité le thème de la mort, sans véritablement prendre parti à la fin: cela ne nous dit pas ce qu'est la mort, ni son issue, mais propose plusieurs pistes connues et surtout, cherche à aider à accepter son inéluctabilité .

J'avoue avoir du mal à lire du théâtre car comme je l'ai déjà dit, je préfère assister à la représentation d'une pièce que de la lire. Et puis pour moi le théâtre est un divertissement, je n'ai pas envie de réfléchir à la signification de telle ou telle réplique. C'est pourquoi lorsque je me lance dans la lecture d'une pièce, je la choisis forcément courte pour que la découverte ne soit pas plombée par l'ennui. Objectif atteint avec celle-ci, seulement 137 pages, quelques répliques amusantes, j'ai aimé les personnages du garde et la reine Marguerite, mais je ne la garderai pas en mémoire à moins de voir la pièce.

Peut-être qu'en vrai, en live, au théâtre ça a de la gueule. Mais en texte, lu vite, c'est très insipide.

J aime moyennement,ayant été obligé de le lire au collège
Assez bizarre comme écrivain,j ai beaucoup de mal à percevoir son univers