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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Dai est un adolescent qui voit sa vie bouleversée par la découverte du jazz. Passionné par cette musique jusqu'à l'obsession, il s'entraîne des heures durant sur les berges de la rivière dans l'espoir de devenir « le meilleur du monde ». Malgré cela la première prestation en public de Dai est un pur désastre et le doute fait son apparition. Mais l'amour du jazz et quelques rencontres déterminantes vont redonner espoir à Dai.
Dix tomes sont prévus pour ce manga qui ne choisit pas la facilité. En effet, comment réussir à décrire l'émotion que peut provoquer en chacun de nous une musique qui nous est chère ? Pari tenu (du moins pour les 5 premiers tomes disponibles) avec une mention spéciale aux planches où Dai joue de son saxophone adoré. Elles sont tellement réussies que la musique jaillit presque des pages !
Ce qui fait que le lecteur, même s'il est n'est pas forcément amateur de cette musique, suit avec plaisir le parcours de Dai qui a fait du jazz sa raison d'être et la bande-son de sa vie, au risque de susciter moqueries et incompréhensions. Habilement, le manga place en fin de volume des interviews de personnages ayant cotoyé Dai durant ses années d'apprentissage, ce qui laisse supposer qu'il a bel et bien fini par réaliser son rêve...mais de quelle façon et à quel prix ? Là est la question car le chemin vers la reconnaissance est difficile et c'est aussi un point fort de ce manga de rappeler le travail et l'obstination que demande la maîtrise d'un instrument ou d'une discipline quelle qu'elle soit. le « génie «  n'étant, la plupart du temps, que le résultat d'heures et d'heures de pratique.
Ode au jazz, ce manga peut également servir d'introduction idéale à qui veut découvrir cette musique souvent considérée (à tort) comme hermétique car le néophyte y piochera de précieuses références, de Miles Davis à John Coltrane.
Un manga vibrant à savourer... et écouter !
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La détermination de Dai l'autodidacte est impressionnante ! Sa passion du jazz est née d'un coup de foudre inattendu et ne le quittera plus, même si le chemin de l'excellence est ardu. le jeune héros doit faire face aux préjugés de certains camarades ("ça sent grave la naphtaline"), au coût lié à la pratique de l'instrument (il doit régulièrement acheter de nouvelles anches pour son saxophone) et s'entraîne dehors pour être plus tranquille (j'ai beaucoup aimé les scènes où il joue au bord de la rivière). S'il n'est pas toujours facile pour lui de faire comprendre par les mots ce qu'il ressent avec le jazz ("une musique libre et intense!"), les épisodes sans paroles parlent d'eux-mêmes à travers l'enthousiasme et l'intensité qui se dégagent du personnage ("C'est la musique de l'émotion"). Son au revoir en musique à son ami Mitsuaki est particulièrement émouvant.

Pour autant Dai doute beaucoup de ses capacités, tout comme son père qui s'inquiète un peu pour son avenir même s'il le soutient ("Lance-toi et va jusqu'au bout!"). le jeune homme, qui se débrouille seul, n'a aucune base (il ne connaît ni le solfège ni les grands standards, il fait essentiellement de l'impro) et n'a donc aucun recul sur ce qu'il joue. La scène où il se produit pour la première fois en public avec un groupe est à la fois drôle et pitoyable ("Tu nous casses les oreilles!"). Mais alors même où l'on se demande si Dai n'est pas rien d'autre qu'un amateur complet, des témoignages viennent nous interpeller ("Sa performance allait dans tous les sens mais j'en suis tombé raide dingue"). Comme si ces gens revenaient sur le passé du musicien... Serait-il devenu célèbre? Ce premier tome serait-il le début d'un récit rétrospectif?
Lien : https://www.takalirsa.fr/blu..
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Je ne suis pas très amateur de la musique de jazz. Pour autant, j'ai adoré deux films du cinéaste oscarisé Damien Chazelle à savoir Whiplash et le fameux La La land qui est un véritable chef d'oeuvre. Ces films décrivent très bien ce qu'est le jazz et son ambiance toute particulière qui lui donne ce caractère bien trempé et parfois élitiste.

Il est vrai que le jeune héros adolescent de ce manga cherche à définir ce qu'il aime passionnément. Il y a une description qui comprend l'essentiel à savoir une certaine improvisation dans cette musique où il faut jouer en groupe et non en solitaire. Certes, il est autodidacte ce qui peut être également à son honneur.

Pour autant, j'ai bien aimé le fait qu'il faut faire des efforts dans la vie quand on souhaite exceller dans son art. Je n'ai rien contre l'ambition bien au contraire. Il faut favoriser toutes ces initiatives basées sur le travail. Tout le monde peut réussir quand on se donne la peine. En l'occurence, notre jeune héros a pour ambition de devenir le plus grand jazzman au monde (rien que cela). Visiblement on assiste à une espèce de nécrologie en interrogeant les gens qui l'ont connu à ses débuts.

Quant au dessin, il est vraiment à la hauteur pour un manga. le graphisme est détaillé et lisible. Il retranscrit à fond toutes les émotions que le jeune élève de terminale tente de nous faire passer à travers la musique. Il y a une belle intensité. Après l'intéressant Vertical, le mangaka Shinichi Ishizuka est décidément un auteur à suivre !
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Cela faisait un moment que je voulais me lancer dans Blue Giant de Shinichi Ishizuka, série terminée au Japon en 10 tomes et toujours en cours chez Glénat en France. Ce n'est pas lié à une passion pour le jazz qui est un genre que je connais assez peu, mais c'est surtout la très bonne réputation du manga, ses couvertures magnifiques et l'idée de découvrir une histoire de passion brûlante pour un art en particulier qui m'attirait beaucoup. Et après avoir été encouragé sur twitter par plusieurs personnes, je me suis enfin lancé. C'est donc avec grand plaisir que je vais vous parler de ce premier tome plein de promesses.

Dai Miyamoto est en terminale. Il fait partie de l'équipe de basket, travaille à mi-temps dans une station service, et vit seul avec son père et sa petite soeur. Surtout, il s'est pris de passion pour le jazz depuis le collège. À tel point qu'il joue tous les jours sur les berges de la rivière, peu importe les conditions météo. Qu'il pleuve, qu'il vente ou que la canicule soit au rendez-vous, il joue. Il veut être un géant du jazz et reste persuadé qu'il peut y arriver. Seulement, pour cela, il va devoir se confronter à la réalité : entre les explications aux amis, les premières représentations chaotiques et les rencontres diverses, la détermination de Dai va être mise à rude épreuve…

Avant de s'attarder sur ce que raconte ce premier tome, je vais tout d'abord aborder l'aspect visuel du titre car il est vraiment magnifique. L'auteur a un coup de crayon impeccable qui fait de chaque page un régal pour les yeux, en plus de poser une ambiance avec un talent fou. On se croirait aux côtés de Dai lorsqu'il joue sur la berge la nuit, ou lorsqu'il est sur scène dans un bar. Ceci est d'ailleurs un des enjeux principaux du manga, réussir à retranscrire l'intensité de la passion et de la musique uniquement en images (même si pour le lire, je me suis mis une playlist de jazz qui aide à se mettre dans l'ambiance, je suppose d'ailleurs que beaucoup de lecteurs et lectrices ont fait de même). de ce point de vue, on constate un gros travail sur les décor et sur l'intensité du noir et blanc qui permet vraiment de s'immerger. En plus de ça, le mangaka met beaucoup l'emphase sur ce que ressent Dai lorsqu'il joue (et on le voit beaucoup jouer) avec de nombreux gros plans, n'hésitant pas à s'attarder sur les expressions de son visage, sa transpiration, mais également sur son instrument, afin de rendre compte de la puissance du son qui en sort. de ce point de vue, le contrat est parfaitement rempli dès ce premier tome et on n'a aucune peine à ressentir l'investissement du jeune homme.

Ceci étant dit, nous pouvons nous intéresser à l'écriture et au déroulement de ce premier tome. J'ai été particulièrement surpris par le rythme frénétique que l'auteur lui a conféré. Il se passe énormément de chose, de nombreux personnages gravitant autour de Dai sont présentés et chaque séquence est plutôt courte. Je me demande d'ailleurs si ce n'est pas une volonté de se rapprocher du rythme du jazz, avec ses nombreuses notes et son improvisation permanente. Toujours est-il que ce travail rythmique fonctionne parfaitement et que la lecture du tome passe à une vitesse folle, ce qui est toujours une qualité appréciable. Ainsi, on passe du premier chapitre où l'on assiste au moment de la naissance de la passion de Dai pour le jazz à sa première représentation en fin de tome, après de nombreuses heures passées à répéter seul au fil des jours. Tout ceci étant ponctué de moments de vie où l'on apprendra à connaitre son meilleur ami, son patron, sa famille ainsi que ses camarades de classe. Sans parler de l'homme qui va lui permettre d'avoir sa première opportunité sur scène, les gens avec qui il va jouer et quelques autres personnages plus ou moins anecdotiques. Je vous avais bien dit que ce premier tome était très rythmé et donc très riche.

Et au centre de toutes ces qualités, il y a ce personnage principal, Dai Miyamoto. Il séduit d'emblée car sa passion peut parler à toute personne ayant une passion. Qu'importe qu'ici il dédie sa vie au jazz, l'auteur arrive à donner à son récit une vraie forme d'universalité en parlant de passion au sens large. C'était selon moi le point qui devait être le plus important pour permettre l'adhésion des lecteurs et lectrices : il fallait dépasser le simple cadre du jazz pour que l'on puisse ressentir ce que ressent Dai. Et sur ce point, c'est parfaitement réussi. Je pense que chaque personne qui a vue naître en elle une passion a ressenti les mêmes choses : tout d'abord une première connexion qu'on n'arrive pas à expliquer. Ensuite, ne pas pouvoir communiquer aux autres ce que l'on ressent tant c'est fort, et surtout ne pas se soucier réellement de l'image que les autres ont de notre passion. Car on fera remarquer à plusieurs reprises à Dai que le jazz est soit ringard, soit un genre pour les snobs, mais il ne se sent pas concerné et ne se pose pas ce genre de questions : le jazz, il le vit un point c'est tout. de ce point de vue, ça me parle beaucoup ayant toujours eu du mal à faire comprendre mes passions aux autres, d'autant plus que parmi mes principales passions, certaines souffrent d'un manque de légitimité auprès de certains (le jeu vidéo en tête, mais le manga aussi dans une moindre mesure). de ce fait, je ne pouvais pas m'empêcher de ressentir de l'empathie pour Dai et ce qu'il vit.

En résumé, j'en espérais beaucoup de ce premier tome de Blue Giant et il ne m'a déçu en aucun cas. Je sais que ce n'est pas forcément la meilleure façon d'appréhender une oeuvre que de se faire une idée de ce qu'on souhaite y trouver car on risque d'être déçu, mais je n'ai pas réussi à m'en empêcher pour ce manga. Par chance, j'y ai trouvé exactement ce à quoi je m'attendais, c'est à dire une oeuvre qui dépasse son cadre de base pour atteindre une vraie universalité dans son sujet, qui est la passion qui nous anime. Je ne vois de ce fait pas d'autre mot pour qualifier ce premier tome que : passionnant !
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Je lis assez peu de manga, le style parfois enfantin ne m'attirant pas toujours. Mais il y a toujours des surprises, des albums qui sortent du lot. Celui-ci ayant pour thème le Jazz, j'avais très envie de l'ajouter à ma petite sélection de l'automne.

Les dessins arrivent à transmettre la musique même s'il est difficile, voir impossible, de faire ressentir des sons sur du papier. L'auteur va donc jouer sur les sentiments et les expressions du personnage, il pose ses doutes, mais surtout sa détermination à suivre son rêve.

J'ai tout de même un regret : ne pas avoir le son avec lorsqu'il joue.
Heureusement, une playlist a été réalisée, un petite touche qui vient enrichir la lecture de l'ouvrage !

Ce manga est une jolie introduction et donne envie de suivre les aventures de Miyamoto.

Retrouvez mes avis sur https://pause-the.blogspot.com/
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Un 1er tome lu rapidement. le dessin est très bon, le scénario excellent (alors que retranscrire la musique et les émotions qui y sont liées en dessin, c'est loin d'être facile…). Pour l'instant, les personnages ne sont pas très fouillés mais on verra par la suite. Un très bon manga, plutôt destiné aux ados et adultes, qui change de ceux qui sont disponibles d'habitude. Je conseille sans problème.
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Un joli manga, avec un auteur qui sait transmette la puissance du son visuellement.
L'ami qui me l'a conseillé m'a dit de lire les trois premiers tomes à la suite, ce que j'ai fait. j'ai été happée par le récit, par le personnage de Dai amateur maladroit mais passionné qui ne se laisse pas démonter par les obstacles et possèdent une vraie richesse intérieure. Il veut faire de la musique pour toucher et retranscrire les émotions car pour lui c'est ça la musique est une façon de transmettre et de traduire des émotions.
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Encore sous l'influence d'une certaine interview parue dans la revue Atom, me voici essayant la nouvelle série de Shinichi Ishizuka sur le thème de la musique et tout particulièrement du Jazz. Il faut savoir que j'ai aimé tous les titres que j'ai pu lire consacré à la musique, de Me and the Devil Blues, en passant par Nodame Cantabile ou les shojos Lovely Love Lie et Aishite Knight. Je suis donc très bon public pour ce genre de titres et celui-ci n'y a pas échappé.

Comme dans les titres que je viens de citer, il se dégage de Blue Giant une vraie passion pour l'univers de la musique et du Jazz en particulier qui fait que je ne peux que trouver l'auteur fort sympathique et l'histoire entraînante. Nous suivons, les années de lycée de Dai Miyamoto, un jeune joeur de basket passionné par le Jazz, qui n'hésite pas à répéter tous les jours au bord du fleuve, qu'il pleuve, qu'il neige ou qu'il y ait une canicule. C'est un vrai passionné. le problème, c'est que ce n'est pas si facile de se faire une place dans ce milieu, surtout quand on est seul et qu'on n'y connait rien. Une rencontre va donc changer cela et nous allons peu à peu voir Dai évoluer.

Blue Giant est clairement un manga d'apprentissage, celui de Dai pour devenir un jazzman professionnel. Dans ce premier tome, nous faisons donc sa rencontre et celle du petit monde banal dans lequel il vit. Il a ses copains au lycée avec qui il fait du sport et sort en ville, il a son père et sa soeur avec qui il vit tranquillement. Bref, il a tout pour être heureux. Mais plus jeune, il a découvert par hasard le jazz et en particulier le saxo et ce fut un choc pour lui, une vraie révélation. Depuis, il ne peut passer une journée sans jouer et malgré que sa vie soit parfaite à côté, il comble un certain manque à travers cette pratique.

Tout peut sembler un peu simple et facile dans le début de cette histoire, comme le personnage qui est peut-être un peu fade pour le moment. Dai n'est pas embêté par ses amis ou sa famille à cause de sa passion. Il trouve le temps de répéter et semble assez doué même si complètement autodidacte. Il trouve même l'argent lui permettant de poursuivre son rêve. Tout va bien dans le meilleur des mondes. Ce n'est que vers la fin du tome qu'un caillou vient se glisser dans sa chaussure qui va devoir le pousser à se remettre en question.

Ce tome est clairement un tome d'exposition. On nous présente le cadre mais l'histoire va vraiment se lancer dans les prochains tomes d'après ce que je pressens à la lecture des dernières pages qui font un beau bond dans le futur pour nous appâter.

Shinichi Ishizuka nous livre ici un titre de passionné, pour les passionnés. Son dessin est vif, puissant, il retranscrit parfaitement l'ambiance de force et de folie que peut transmettre la musique jazz, et en même temps, je retrouve chez lui la patte de Naoki Urasawa avec ses visages carrés et expressifs très typés seinen. Il maîtrise tout autant la narration de son histoire avançant lentement mais sûrement dans son récit sans que jamais il ne traîne en longueur, tout en mêlant moments du quotidien et passion pour la musique. Il nous livre ainsi un récit maîtrisé et fort intéressant à suivre, que je me ferai un plaisir de poursuivre.
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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☼ Mon avis ☼

Avant de commencer ma chronique, je tiens à remercier la plateforme Izneo de m'avoir proposé de découvrir le premier tome de " Blue Giant ".
« Blue giant » est un manga qui touche un thème rarement exploité, la passion du jazz.
Personnellement, ce n'est pas le genre de musique que j'écoute tous les jours, mais cela ne m'empêche pas d'apprécier ce titre et ses références musicales.
Pour un premier tome, j'ai beaucoup aimé le personnage principal, malgré ses défauts, il a joué de tout son coeur et de toutes ses forces, d'ailleurs certaines personnes supportent pas sa façon de jouer.
Dai Miyamoto est un protagoniste motivé et énergique, où l'on remarque rapidement sa passion pour le jazz, car il joue n'importe où et n'importe quand.
Évidemment, c'est un titre qui doit être génial à regarder en anime, et même si nous ne pouvons pas entendre les sons, nous pouvons sentir sa puissance pendant qu'il joue.
Dans l'ensemble, c'est un premier tome intéressant, et avec le temps on le verra évoluer et se former pour qu'il soit un jour un très grand artiste de jazz.
Lien : https://mangastra.blogspot.c..
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Dai Miyamoto n'a qu'un rêve : devenir le meilleur jazzman du monde. Saxophoniste, il joue sans relâche au bord de la rivière qui traverse sa petite ville de province, Sendaï au Japon. Les dix tomes qui composent la série narrent l'ascension de ce petit prodige de la musique de sa rencontre avec son mentor, musicien de renom, à la formation de son premier groupe à Tokyo.
C'était un véritable pari de la part de l'auteur de dédier un manga à ce genre musical si peu présent dans la culture japonaise. D'autant plus lorsque l'on sait combien il est difficile de dessiner la musique en BD ! Pourtant Shin'ichi Ishizuka s'en sort haut la main en ponctuant ses planches de nombreuses onomatopées, notes et lignes de fuite qui nous font ressentir les moments jazzy et musicaux ! L'histoire de Dai est passionnante et truffée de références aux légendes du jazz et du saxo qui donneront aux lecteurs néophytes comme passionnés une envie furieuse de (re)découvrir les morceaux et les artistes évoqués.
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