La villa aux étoffes, tome 4 : Retour à la villa aux étoffes

Traduit de l'allemand par Corinna Gepner

La famille Melzer est à la peine. Et quand je parle de la famille, j'englobe également les domestiques, les employés et les ouvriers.
Car Paul, le chef de famille, est un patron paternaliste, dans le bon sens du terme. Il prend soin des siens et de tous ceux qui dépendent financièrement de lui.
Nous sommes en 1930, en pleine crise économique mondiale.
En ces temps difficiles, tout le monde doit se serrer les coudes et la ceinture car les ennuis des uns rejaillissent indiscutablement sur les autres.
Tous les détails, même triviaux sont abordés. C'est ce qui rend cette histoire et ses protagonistes si proches de nous.
Les personnages principaux ou subalternes sont tous intéressants, mais plus ou moins attachants.
La fin me laisse une impression mitigée.
Beaucoup de problèmes restent en suspend. Y aurait-il une suite, par hasard ?
Si c'est le cas, elle serait la bienvenue, ne serait-ce que pour connaître le destin de Leo et de LIesel et d'Elvira von Maydorn et de...tous en fait.
Un très bon moment passé en Allemagne avec, hélas, la montée du nazisme.

Quatre ans ont passé à la villa aux étoffes, la famille doit désormais faire face à la grande crise qui touche l'Allemagne dans les années 30; les tumultes politique du pays, la pauvreté et la dette d'après-guerre.
Marie et Paul doivent faire face à la maladie et aux dettes, la Liesel va partir à la rencontre de son père et decouvrir le domaine Maydorn. Tilly et Ernst, ainsi qu'Elisabeth et Sebastian se retrouvent piégés dans un engrenage politique qui contamine le pays.

J'ai adoré retrouver la famille Melzer agrandie ainsi que tous ces domestiques, j'ai été attristée par la montée du nazisme , qui s'étend inexorablement sans que rien ne puisse si opposer.
J'ai toujours autant d'affection pour Marie, Kitty et Robert.J'ai été émue par la Liesel ainsi que par les enfants de Paul et Marie.

❤❤❤❤❤

{Retour à la villa aux étoffes/Tome4/Anne Jacobs}

Bonsoir, je viens d'achever ce 4ème tomes.
J'ai eu plaisir à retrouver nos chers amis aux fils des tomes....
Ce tome ci change un peu, il y a beaucoup plus de tensions et de soucis, mais heureusement étant donné que cette famille est soudée pour le moment ça ira.... suite aux prochains épisode, mais rien ne leur est épargné...

[A lire dans l'ordre évidemment 😜]
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*lecture terminée*

❄️ Retour à la villa aux étoffes de Anne Jacobs publié chez @lillycharleston.

✋ Tome 4 : risques de spoils!

La vie continue. On retrouve la famille Melzer dans l'entre deux guerres. L'Allemagne est ruinée. Les entreprises ferment malheureusement les unes après les autres. Les plus grandes familles riches sont ruinées et vendent leurs maisons les unes après les autres.
Malgrès ces aléas de la vie, Marie et Paul s'aiment comme au premier jour et essayent tant bien que mal de rester la tête hors de l'eau. Malheureusement Marie devra s'occuper une fois de plus de l'usine après que Paul affaibli par le stress tombe malade. Arriveront ils à garder leurs maisons et usines?!

J'ai beaucoup aimé ce tome 4. On comprends bien mieux les rouages de la seconde guerre mondiale. L'Allemagne est vraiment ruinée et malgré les efforts de tout le monde n'arrive pas à remonter la pente. On assiste donc à la montée du nazisme...
On retrouve la famille avec grand plaisir, comme si ils nous avaient manqué! Et la famille a bien grandit ! J'ai aimé suivre Léo et Dodo dans leurs passions respectives. J'ai hâte de voir ce que le tome 5 leur réserve!
On assiste également au tout début de l'indépendance des femmes qui arrivent à divorcer, travailler et profiter de la vie sans avoir à se marier.
Du côté des domestiques enfants ont également bien grandit et on assiste aux premiers amours. Les uns s'en vont, d'autres reviennent. C'est vraiment une saga passionnante avec aucun temps mort. Je la vois très bien adaptée en série!

Fan de Downton Abbey, foncez!! Cette saga est addictive et passionnante!!

Cette saga vous tente? Vous en êtes à quels tomes?

Quel bonheur j'ai eu à me replonger dans la vie mouvementée de la villa aux étoffes. L' auteur nous embarque encore une fois dans les aventures palpitantes des maîtres et des valets dans une Allemagne des années trente où se dessinent à petites touches la montée du nazisme et de l'antisémitisme. La crise économique sévit, et la famille Melzer doit faire preuve d'imagination pour faire face aux revers de fortune. Nous suivons Léo le musicien de la famille qui connaîtra des déconvenues avec son professeur de piano. Nous suivons Liesel la fille illégitime d'Augusta qui part en Poméranie faire la connaissance de son père. Nous suivons Tilly qui saura mener un combat pour conquérir son indépendance et se mettre à exercer son métier de médecin etc etc etc. On ne voit pas passer les six cent vingt huit pages et comme d'habitude avec cette saga, on referme à regret le livre en espérant qu'il y ait un tome 5.

📖 La villa aux étoffes - Tome 4 : L'héritage de la villa aux étoffes
✒️ Anne Jacobs
🏠 @editionscharleston (broché), @editions1018 (poche) et @lizzie_livresaudio (audiobook)
📆 21 Septembre 2021
🎧Audiobook
Dans le cadre de la Lecture commune de la saga (un tome/mois) organisée par @les.mots.de.gaelle, je poursuis l'écoute de cette saga.

Dans ce tome, la situation économique est toujours aussi difficile. La famille Melzer doit faire des choix pour réduire drastiquement son train de vie pour préserver l'usine.

Dodo se voit enfin mise en avant quand ses talents en mécanique sont mis à profit pour "sauver" l'usine de tissage. Leo en est aux balbutiements de sa carrière de musicien, malgré quelques difficultés.

L'antisémitisme commence à émerger, tout comme un nouveau parti d'extrême-droit en Allemagne. le nom d'Hitler est évoqué, et cela fait frissonner le lecture qui sait à quoi s'en tenir.

La solidarité et la fidélité des domestiques envers les Melzer est à nouveau démontrée dans ce tome. Les interactions entre ces classes sociales très éloignées se modifient : les places sont de moins en moins figées.

Je souligne encore une fois que l'écoute de ce tome est très plaisante. J'ai trouvé qu'il y avait moins de longueurs que le tome précédent.

Il me tarde de commencer à écouter le tome 5, dans le courant du mois de mais.

Et toi, tu suis les péripéties de la famille Melzer et de leurs proches ? Tu en es à quel tome ? Dis-moi tout en commentaire.
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Nous retrouvons les anciens protagonistes de la « villa aux étoffes » située à Augsbourg (en Allemagne) en 1930. Paul et Marie Melzer ont eu un troisième enfant (Kurt) âgé de quatre ans. Leurs ainés (les jumeaux) sont devenus deux beaux adolescents de quatorze ans. Léo (Léopold) se verrait bien pianiste, ou plutôt compositeur de renommée mondiale (il est effectivement très doué …) Alors que sa soeur Dodo (Dorothea) ne rêve que de pilotage et de mécanique (elle est également particulièrement brillante !)

Elisabeth, la soeur ainée de Paul, est à présent mariée à Sebastian Winkler, l'ancien instituteur (voir le volet précédent …) Leur petite famille s'est installée dans une aile de la villa, spécialement construite pour eux. Ils ont eu trois enfants : Johann (cinq ans), Hanno (trois ans) et la petite Charlotte (à peine deux ans …) Sebastian Winkler a voulu rester ouvrier dans l'usine de son beau-frère Paul, refusant de renier ses origines modestes et son adhésion au communisme. Quant à Kitty, la petite soeur de Paul Melzer, elle a épousé – après la mort de son premier mari, le père de sa fille Henriette (Henni, quatorze ans) – Robert Scherer, un ancien domestique de la villa aux étoffes, qui est allé faire fortune en Amérique …

On retrouve – de même – tous les domestiques (Fanny Brunnmeyer, Else, Gertie, Liesel, Christian, Hanna et Humbert …) L'horrible Augusta (la mère de Liesel) et Gustav (son époux) ont quitté la villa aux étoffes depuis très longtemps (pour s'établir maraichers) et ont bien du mal à joindre les deux bouts, avec leurs jeunes garçons : Maxl, Hansl et Fritz …

Depuis le Krach de 1929 à New-York, l'économie mondiale s'est effondrée et l'usine des Melzer en subit les graves conséquences : il va falloir licencier au grand dam de Paul … Pire, d'odieux actes antisémites apparaissent depuis peu … Sans oublier un certain Adolf Hitler qui commence à faire parler de lui … Walter Ginsberg, le seul ami de léo (dont la mère travaille à l'atelier de couture de Marie Melzer) en a déjà fait les frais : devront-ils émigrer en Amérique ?…

Une très agréable quatrième partie, au cours de laquelle on sent monter lentement une réelle tension politico-économique : un opus pas si « léger » que cela, finalement … J'attends avec une grande impatience la suite (avant-dernier épisode de cette saga, dont j'apprécie beaucoup l'intrigue depuis le début !) Mon côté « fleur bleue » probablement !

J'ai beaucoup apprécié retrouver les personnages de cette famille ainsi que les domestiques, suivre leur progression au fil des années.
Je qualifierais ce tome de transitoire. Il met notamment en lumière la nouvelle génération, leur personnalité s'affirme et nous offre des perspectives d'évolutions pour la suite de la saga. le nazisme prend de l'ampleur en Allemagne et laisse planer de tristes lendemains. Quel rôle vont-ils jouer dans cette guerre et quel impact cela aura sur la villa. J'ai hâte de le découvrir.

Retour à la villa aux étoffes (La villa aux étoffes T4) Anne Jacobs

Nous retrouvons la famille Melzer et tous les personnages des tomes précédents en 1930 à Augsbourg. La famille s'est agrandie. Paul et Marie s'entendent à nouveau comme au premier jour, leurs ainés sont devenus adolescents, ils ont un petit frère. Lisa vit désormais à la villa avec son mari Sébastian et leurs trois enfants. Kitty est remariée.

L'Allemagne déjà marquée par la défaite est en pleine crise financière. On commence à sentir la montée du nazisme. Les difficultés économiques touchent l'usine et mettent en danger la villa.

J'aime voir l'évolution des personnages au fil du temps et des aléas de la vie. Les grands enfants ( Léo , Dodo et Henni ) prennent maintenant part au récit.

La plume d' Anne Jacobs est toujours aussi fluide et agréable. L'alternance des chapitres à travers la vie des membres de la famille et des domestiques rend la lecture passionnante.

L'autrice sait également nous rappeler de manière subtile les informations des tomes précédents afin de nous remémorer toutes les intrigues passées.

Bien que j'ai trouvé la première moitié de ce tome un peu plus lente, à la fin du livre le rythme s'accélère et la lecture devient alors addictive.

Comme à chaque fois, je quitte la villa un peu triste de laisser ses habitants et j'ai hâte de les retrouver. le tome 5 parait le 15 juin et je le lirai dès sa sortie !

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Après une crise conjugale assez impressionnante dans le tome précédent, Marie et Paul Melzer sont à nouveau fous amoureux et s'apprêtent à fêter leurs quatre ans à la villa familiale. Mais ce moment de bonheur sera de courte durée car une crise sans précédent traverse l'Allemagne et l'Europe toute entière, impactant directement leur usine textile. Alors que les dettes s'accumulent Paul est contraint de faire des choix et de prendre des décisions cruciales pour sauver l'entreprise. Des décisions qui concernent indirectement aussi la villa et ses habitants, aussi bien sa famille que leurs nombreux domestiques ...



Je n'en dis volontairement pas trop puisqu'il s'agit d'un tome quatre mais je peux vous dire que c'est mon tome préféré ! J'ai pris plaisir à retrouver la famille Melzer et notamment les enfants qui ont bien grandis et qui se sont découvert des passions (pour ne pas dire vocations pour certains). du côté des adultes chacun fait face à des problèmes de la vie courante ce qui les rend d'autant plus attachants (ou détestables pour certains) et du côté des domestiques je ris toujours autant face à leur curiosité dévorante lorsqu'il s'agit de la vie de leurs maîtres. Des maîtres qu'ils aiment d'ailleurs plus que tout et le prouvent dans ce tome. J'ai aussi apprécié en découvrir plus sur ce contexte historique de l'entre-deux guerres en Allemagne, avec la montée de certaines opinions politiques et un certain Adolf Hitler qui commence à faire entendre sa voix en rendant les juifs coupables de tous les maux. On connaît tous l'après ce qui laisse supposer un tome cinq bouleversant, mais je lis rarement des romans sur ce qui s'est passé avant donc c'était intéressant de ce côté là.



Le seul bémol qui ne concerne pas l'histoire mais le livre en lui-même est le fait que la quasi totalité des pages du roman aient été pliées ... Sûrement un défaut de fabrication mais ce n'était pas très joli.