Il était une fois, tome 3 : La princesse au petit pois

Cette réécriture de la Princesse au Petit Pois ne m'a pas tellement plu car je n'ai pas vraiment adhéré à l'histoire qu'on me racontait. Je ne connais pas très bien le conte original, mais il est évident que l'auteur s'en est beaucoup éloigné même si elle multiplie les références.

Les personnages principaux m'ont bien plu. Leurs caractères ne manquent pas de piquant (en particulier la jeune femme, provocatrice et drôle) et ils forment un couple qui fonctionne bien, entre chamailleries et tendresse.

L'histoire démarre assez lentement, le temps de tout mettre en place, puis le rapprochement amoureux se fait presque sans obstacle, un peu trop vite et un peu trop facilement. La rivalité involontaire avec la soeur jumelle crée un dilemme intéressant qui se résout trop vite à mon goût, tout comme l'opposition de la mère du duc est trop vite surmontée. Tout cela pour laisser le temps à une dernière partie qui est celle qui m'a le moins plu dans le roman : j'ai eu du mal à prendre au sérieux cette expédition de sauvetage pour récupérer en France l'ancien fiancé de la jeune femme, blessé après de grands exploits à la guerre.

Au final je dirais que la lecture n'est pas désagréable, mais que l'histoire en elle-même n'est pas à mon goût.

Voici le troisième tome de la saga Il était une fois qui, pour chaque livre, reprend un conte très célèbre. Cette fois-ci c'est de la princesse au petit pois dont il s'agit et j'avoue à ma grande honte (ou presque!) que je ne connais pas l'histoire originelle, donc je ne peux pas faire de comparaison entre les deux. Néanmoins, étant donné que pour les deux tomes précédents, l'adaptation de chaque conte était très libre, je ne pense pas que celui-ci fasse exception.

Il n'y a qu'à lire le résumé pour savoir que l'on ne va pas s'ennuyer et que l'histoire nous réserve son lot de surprises.
Encore une fois, notre héroïne sort du lot avec une personnalité bien trempée et un refus de se conformer aux règles. Et pourtant ce n'est pas faute d'avoir essayé de l'éduquer comme une duchesse, ce qu'elle est destinée à devenir de part son statut d'ainée. Enfin, il faut vite le dire puisqu'elle n'a que quelques minutes de plus sur sa soeur jumelle qui, elle, représente la parfaite jeune fille de bonne famille, destinée à épouser un duc. Néanmoins, il ne faut pas se fier aux apparences car cette soeur, plus sage, sait tout de même ce qu'elle veut.

Pour Olivia, son avenir est tout tracé car elle est promise à un Duc suite à une promesse faite par son père. Bien sûr tout cela ne serait pas drôle si le Duc en question n'était pas plus jeune qu'elle et surtout un peu simplet. Il y a d'ailleurs une scène au début dans la bibliothèque assez mémorable!
Mais Olivia n'est pas au bout de ses surprises car même si elle s'est résignée à ce mariage, elle va faire une rencontre qui va tout changer.

J'ai bien aimé Olivia qui n'a pas peur de dire ce qu'elle pense et qui, en même temps, est peu sûre d'elle à cause de ses formes qu'elle trouve trop généreuses et qui, à son sens, ne peuvent plaire à un homme.
Mais Quin n'est pas de cet avis et dès qu'il la voit, il tombe sous le charme. Mais tout cela n'est pas aussi simple qu'il n'y parait, vous vous en doutez, et l'auteur n'a pas fini de torturer nos héros, même quand ils pensent avoir enfin trouvé le bonheur.

J'ai bien aimé cette romance mais j'avoue qu'elle m'a moins emballée que les deux précédentes et le tome 2 en particulier. Il m'a manqué un petit quelque chose sans que je sache vraiment quoi. Cela vient peut-être de moi, je ne sais pas. Mais ne vous y trompez pas, cela reste pour moi une bonne romance, agréable et divertissante et je ne lui demandais pas plus.

En tout cas, je recommande cette saga et je ne manquerais pas de lire la suite!
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Je continue donc cette petite saga assez sympathique reprenant pour chaque tome, la base d'un conte. Et je suis ravie de continuer cette saga en compagnie de mon amie Sylvie. J'avoue que le conte "La princesse au petit pois" ne me disait pas grand chose, mais cela n'a pas trop d'importance puisque l'histoire écrite par Eloisa James est vraiment construite toute autour. Par contre ici, pas de "petit pois" et pas vraiment de "princesse".

On y fait la connaissance d'Olivia qui est promise au fils du Duc, tandis que sa soeur jumelle Georgina est, quant à elle, promise à Quinn. Tout est parti d'une promesse faite par le père d'Olivia et celui de Rupert, de marier leur "premier né" ensemble. Mais, vous le savez, l'amour n'a aucune barrière. Olivia va tomber sous le charme de Quinn! Il faut dire que son "promis", Rupert n'est pas vraiment un modèle de beauté et d'intelligence. Malgré ce revirement d'Olivia, sa soeur reste humble et attachante.

J'avoue que jusqu'au deux tiers du livre, je me suis un peu ennuyée, beaucoup de longueurs et de "sur place". Heureusement que la fin va venir pimenter un peu l'histoire et relever le niveau. Est-ce que ce troisième tome m'a moins plu car je ne connais pas le conte à la base? Je ne sais pas vraiment. Mais, je suis tout de même impatiente de lire le quatrième tome qui est basé sur le conte "Le vilain petit canard".
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J'ai bien aimé ce roman, il est léger, plein d'humour et les personnages n'ont pas leur langue dans leur poche.
Olivia est intelligente, impertinente et totalement originale, mais en même temps elle est aussi fière, protectrice et fondamentalement honnête.
Les personnages pince sans rire au début et les remarques d'Olivia m'ont fait sourire à de nombreuses reprises.
Quin est fier, un peu borné et c'est un peu comme si il avait chassé tout les sentiments suite à sa perte énorme, ce qui fait qu'on lui pardonne tout de suite une fois qu'on c'est rendu compte de ce qui l'avait rendu comme ça. C'est en cela qu'Olivia est parfaite pour lui, elle n'a pas peur de sa carapace est réussi à le faire sortir de son monde la ou personne d'autre n'y arrivait.
Par contre j'ai trouvé que la situation avec Rupert était un peu "trop facile", quand Quin est Olivia se sont rencontré je me suis dis "non elle va quand même pas oser faire ça ..." et en fait ...si ... donc déception sur ce point, j'aurais préféré que la situation se règle d'un autre façon.
Un autre déception mais pas sur l'histoire elle même ni le livre en fait, c'est le fait que vu que j'ai adoré Georgiana, j'aurais aimé en savoir plus sur elle, et si l'auteur avait fait une série de romance historique plus classique on en aurait surement eu un, mais la ce n'est pas le cas et j'aurais vraiment voulu savoir comment elle en arrive à la fin !!

En résumé un livre que j'ai bien aimé malgré une déception sur la façon dont l'auteur s'arrange à la fin. Je me suis tout de suite attachée aux personnages et j'ai adoré l'humour qui est présent tout du long.
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Et il n'y a pas une princesse mais deux, des jumelles qui se ressemblent comme le jour et la nuit et la vraie cache bien son jeu et ne se dévoile qu'à la fin.
Pas mal du tout que cette réécriture du conte de Hans Christian Andersen où l'auteure reprend les éléments clés du récit originel et les transpose bien habilement dans une romance de duchesses, son terreau favori.
Entre limericks grivois et piques malicieuses, voici une lecture bien amusante qui aborde avec beaucoup d'humour les mariages arrangés et les règles surannées de l'aristocratie anglaise pendant la période dite de la Régence.
Bon, au risque de me répéter, ce genre littéraire quand il est bien écrit, quand les mots sont variés et bien choisis, que le rythme est donné non seulement par les rebondissements de l'histoire mais aussi par les figures de style utilisées, ressemble étrangement à ce qu'on appelle de la littérature et mérite que l'on s'y attarde un peu.
Un roman qui correspond à l'item « Un livre avec un végétal dans le titre » pour mon challenge multi-défis 2016, le pois étant une plante grimpante cultivée pour ses graines comestibles à savoir, le petit pois ;-)

Olivia Lytton, 23 ans, est fiancée à un jeune duc stupide depuis l'enfance. En attendant leur mariage, elle est envoyée avec sa soeur Georgiana à la campagne. À peine arrivée, la jeune femme se sent irrésistiblement attirée par le veuf qui les héberge, alors que c'est Georgiana qui est sensée le séduire.

Troisième tome de la série Il était une fois, La Princesse au petit pois n'a qu'un lien assez éloigné avec le conte auquel il emprunte son titre. La (trop) délicate princesse est devenue une jeune femme pétillante d'intelligence, au caractère déterminé et aux courbes voluptueuses, le prince un attendrissant duc plus doué pour les mathématiques que pour les sentiments. Et l'intrigue mêle quiproquos, ironie, sentiments dans une comédie romantique à l'époque régence, sans temps morts.

Même si l'histoire n'est pas très originale, La Princesse au petit pois est donc une romance vive et drôle (et mon tome préféré de la série, alors que c'était l'un de ceux qui me tentaient le moins). À déguster, ne serait-ce que pour apprendre « pourquoi les ducs sont plus amusants que les héros ».

J'aime bien la saga Il était une fois d'Eloisa James, du moins j'ai apprécié les deux premiers. Beaucoup moins celui-ci.

Olivia Lytton, jeune fille de bonne famille, a été élevée dans le but de devenir duchesse suite à un accord entre son père et le duc de Canterwick. Malheureusement, son fiancé est loin d'être ce qu'on attend d'un futur duc (émotif, rêveur, etc.). Quant à elle, elle n'est pas non plus aussi douce et classe qu'elle devrait l'être, elle est surtout en pleine rébellion, provocatrice dans l'âme faisant fi des bonnes manières. La soeur de l'héroïne, Georgianna a suivi le même apprentissage, mais contrairement à sa soeur, elle se montre parfaite. N'ayant aucun soupirant en raison de son manque de fortune familiale, le duc de Canterwick l'a pistonné auprès de la mère du duc de Sconce. J'avoue que l'histoire ne m'ayant pas plu tant que ça, je n'ai pas fait l'effort de retenir les noms.
Les deux soeurs Lytton sont donc invitées à venir passer quelques jours sur le domaine des Sconce, le but étant de tester Georgianna. Inutile de dire que le duc ne s'éprend pas de la bonne soeur…

L'histoire met beaucoup de temps à s(installer et l'auteure met l'accent sur les règles à suivre dans le beau monde anglais. J'ai trouvé ça long, pompeux et disons-le sans détour : chiant.
Peut-être au final que mon plus gros problème venait du personnage d'Olivia. Elle était assez fade, son côté provocateur me donnait envie de lui trancher la gorge pour la faire taire et ses plaintes constantes sur son physique étaient horripilantes à la longue. J'ai nettement préféré Georgianna qui, sous ses airs de fille parfaite, est bien plus maligne et intéressante qu'Olivia, mais je ne vais pas dire en quoi pour ne pas spoiler.

C'était une lecture assez moyenne dans l'ensemble. Je me suis ennuyée les 70 premiers pour cent, ça traînait en longueur. Et les 30 restants auraient pu être chouette, mais ça a été expédié et bien trop facile pour me plaire.
Bref, je suis un peu déçue.
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Après avoir plus ou moins apprécié Au douzième coup de minuit en raison du côté prévisible du récit, je suis tombée sous le charme de la belle et la bête. Alors avec ce troisième tome, j'espérais grandement que celui-ci serait aussi excellent que le tome précédent.

Olivia et Georgina sont deux soeurs jumelles qui furent élevées dès leur naissance afin de devenir duchesses. Car voyez-vous leur père, M. Lytton, avait pris entente avec un ami de jeunesse, le duc de Canterwick. Il allait marier sa fille aînée au fils aîné de celui-ci. Donc depuis sa naissance, Olivia est promise à Rupert, mais cette jeune femme est quelque peu rebelle et n'a jamais suivi les consignes de « duchification ».

Quant à Georgina, elle a tout pour devenir une vraie duchesse, mais étant née sept minutes plus tard qu'Olivia, il était aujourd'hui difficile de lui trouver un époux. de plus, elle n'avait aucune dot à offrir puisque tout l'argent de ses parents fut utilisé pour la « duchification ». Tandis que le cher Rupert, disons qu'il est très gentil, mais tel que son père le mentionne lui-même « il a le cerveau ramolli ».

Toujours est-il que les fiançailles entre Olivia et Rupert sont annoncées officiellement et le jeune homme part à la guerre. Dès le lendemain, les deux jeunes soeurs quittent la maison pour se rendre chez le duc de Sconce, car Georgina est pressentie pour devenir son épouse. C'est la douairière qui prendra la décision après avoir évalué si elle a les aptitudes pour devenir une vraie duchesse. Dès l'instant où le duc pose les yeux sur Olivia, le désir les atteint de plein fouet. Est-ce que le désir viendra chambouler la vie du duc et des deux jumelles? Et qu'adviendra-t-il de Rupert qui est parti au front?

Contrairement aux deux premiers tomes, l'auteure semble avoir perdu un peu de sa petite touche d'humour. Il y a moins de remarques qui m'ont fait sourire et les événements m'ont semblé moins rocambolesques.

J'ai eu de la difficulté au début du récit principalement en raison du fait qu'Olivia ne semble pas prendre en compte que sa soeur est auprès du duc pour devenir sa fiancée. Cet élément ne la perturbe pas puisqu'elle se laisse embrasser plus d'une fois par le duc. Ce manque de loyauté m'a légèrement perturbée. Mais peut-on empêcher un coeur d'aimer?

Finalement, je me suis laissée porter par le conte. Nous ressentons bien dans l'esprit des romances historiques avec les jolies robes et les bals. de plus, le contexte entre la France et l'Angleterre est également pris en compte au cours du récit. Cela a permis d'ajouter un élément vraiment intéressant et ainsi créer quelques rebondissements.

Au final, ce troisième conte n'est peut-être pas mon préféré de cette saga, mais j'ose espérer que les deux contes à venir sauront me charmer!

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Ce roman n'est pas vraiment une pépite. Je ne connais pas l'histoire de "La princesse au petit pois" seulement quelques indications. Cette romance historique m'a quand même plu car Quin et Olivia sont deux personnages très intéressants. Les découvrir dans leurs univers respectifs est assez fascinant. Leur rencontre comme leur début de romance m'a fait énormément rire. Durant le long de leur histoire mêlant Georgina, qui souhaite épouser Quin, va mettre Olivia dans une position désagréable puis au fur et à mesure, je me suis prise au jeu du chat et de la souris jusqu'au moment où tout commence réellement.

Malgré la romance, des péripéties s'amoncellent autour des deux protagonistes, surtout Olivia. La mère de Quin n'aime pas Olivia à cause de son langage provocateur et son corps opulent. La plus grosse péripétie va concerner Rupert, son fiancé, qui s'est blessé et qui se trouve en France, un pays ennemi qui est en guerre. Les péripéties se suivent et donnent une belle dimension à la romance car Eloisa James a réussi à allier, avec parcimonie, des problèmes qui réunissent les deux personnages.

Concernant la fin, j'ai aimé la façon dont le rôle de Quin met Olivia en haute position risque à mourir pour elle. Toutefois, les personnages secondaires ne sont pas aussi présents à part au début avec Georgina. le fil de l'histoire est tout de même bien mené.

"La princesse au petit pois" est un tome intéressant qui allie deux personnages totalement différents. Une romance agréable et le côté historique était plaisant.
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Ce roman est très inégal. Drôle et original par moments; caricatural et redondant d'autres fois. J'aime bien les romans qui font référence à des contes merveilleux classiques ou qui en donnent une autre version, donc j'aime d'emblée le thème choisi. Toutefois, il y a trop de ressemblances entre les différents tomes de cette série. Autrement dit, on dirait que l'auteure suit une recette et créé ses personnages dans le même moule que lors des tomes précédents. Il en va de même pour les séquences d'actions et les dialogues: ils ont un air de déjà-vu.

On retrouve ici l'histoire d'Olivia Lytton, fiancée à un duc idiot qu'elle n'aime pas, mais résignée à une vie d'ennui sans amour pour respecter les convenances et la parole de ses parents. Elle accompagne sa jumelle chez un autre duc dont la mère cherche une épouse parfaite pour son fils. Évidemment, le duc en question va plutôt tomber amoureux d'Olivia et venir compliquer l'histoire.

Ce roman reste un bon divertissement sans être un récit ayant de fortes qualités littéraires.