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Tout d'abord, je remercie les éditions Grand Angle pour ce livre.
Il n'y a aucun doute: c'est une belle BD, et on sent l'engagement de l'autrice dans cette histoire. Mais...
Mais je suis bien embêtée pour la noter. Encore une fois, je ne remets pas en doute sa qualité et le message qu'elle porte passe (en même temps, il serait difficile de l'ignorer), donc impossible de mettre une mauvaise note. Sauf que, voilà, elle ne m'a pas plu (donc mettre une trop bonne note tromperait ceux qui connaissent mes goûts). En fait, c'est en partie ma faute, ce n'est pas ce que j'attendais.
J'aime l'histoire, je m'étais déjà renseignée sur ce personnage historique et j'attendais donc une BD historique. Alors certes, on ne connaît pas grand chose de la Malinche, et il est inévitable, dans un livre de fiction, que l'imaginaire de l'auteur ou de l'autrice comble les trous. Mais là, les trous sont comblés par des petits éléments de vie intime, des choses qui pourraient concerner n'importe quelle jeune fille du lieu et de l'époque (voire de tous les lieux et toutes les époques), mais pas forcément cette femme peu ordinaire.
Je ne sais pas trop comment formuler ça, mais disons qu'avec un livre sur ce personnage, je m'attendais à voir parler de guerre, de politique, de relations indigènes/européens, d'événements à grande échelle qui ont changé dramatiquement la face d'un continent... pas comment l'héroïne apprend à laver son linge souillé par ses menstruations.
Bref, avant d'être un récit historique, c'est une histoire féministe intimiste. Ça plaira sans doute beaucoup à ceux qui aiment le genre.
Personnellement, le thème aurait pu me plaire, mais pas dans ce pseudo contexte historique. J'aurais préféré dans ce cas le récit d'un personnage complètement imaginaire. Là, la Malinche me semble un peu un prétexte. de plus, le dessin ne me plaît pas vraiment, et ça fait partie des éléments importants pour une BD.
Cela dit, encore une fois, c'est un goût personnel et le fait que j'attendais autre chose et que ça m'ait déçue qui jouent, mais beaucoup aimeront. Je le conseille entre autres aux personnes qui ont aimé Peau d'homme, par exemple.
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Celle qui parle est une biographie en bande dessinée de Malinche (Malinalli), une amérindienne connue pour son rôle dans la conquête du Mexique par Cortès. L'histoire se concentre sur les débuts, enfance, rencontre et début des interactions avec les Espagnols.
Personnage controversé car elle a collaboré avec l'ennemi, le lecteur peut ici découvrir une histoire moins tranchée et comprendre comment elle en est arrivée là. Alors oui certains aspects historiques ne correspondent pas tout à fait aux dernières avancées historiques/archéologiques mais le tout est cohérent et nuancé. C'est agréable d'avoir une vision où aucun camp n'est idéalisé. Suivre les différentes étapes de la survie de Malinalli est très intéressant. J'aime l'idée de donner un rôle primordial au dialogue, la guerre n'est pas l'unique moyen de s'en sortir. Entre traduction et diplomatie, manier différentes langues et cultures est un atout de survie non négligeable.
Qui dit 16ème siècle, guerres et conquêtes, dit un récit contenant violences, viols, nudité… et pourtant les choix retenus permettent à cet ouvrage de rester accessible au plus grand nombre. C'est appréciable d'avoir à la fois des scènes identifiables sans être omniprésentes, sur-représentées, hyper détaillées. C'est présent sans perdre l'aspect grand public.
Les dessins sont beaux. j'ai apprécié le contraste entre les scènes souvent très dures et les couleurs très douces. Si je dois émettre un très léger bémol j'ai trouvé la fin un peu rapide. J'ai beaucoup aimé cette lecture que je trouve globalement réussie.
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Cette BD est juste magnifique.
Nous sommes propulsés au XVIe siècle et c'est fabuleux.
Comme beaucoup je ne connaissais absolument pas l'histoire de la Malinche (herbe tordue, la traitre).
Née Malinalli, fille du cacique dOluta. Celui-ci lui disait : « Malinalli, tu dois faire un effort pour apprendre. Plus tard ce sera ta responsabilité de défendre ton peuple, en utilisant la parole. »
Son père disparu, sa grand-mère lui inculque, la sagesse, la force et la science des plantes. Un bagage pour la vie.
En 7 étapes, Alicia Jaraba nous trace le destin de cette héroïne hors du commun, elle n'entre pas dans la controverse qui a laissé Malinalli dans l'ombre des personnages emblématiques du Mexique.
Cette jeune fille a-t-elle eu le choix ?
Née dans une famille noble aztèque, son père et sa soeur furent enlevés et assassinés.
Plus tard, elle a été vendue à une autre tribu comme esclave, puis donnée avec d'autres en offrandes aux hommes blancs venus de l'autre côté de la mer, dont le chef n'est autre que Hernan Cortes.
C'est ainsi qu'elle devient Marina et que son don pour les langues en fait un personnage précieux.
Elle qui avait négocié sa liberté en échanges des traductions, elle n'avait pas prévu que Cortes tombe sous son charme.
Elle deviendra Malintzin « celle qui parle ».
Les planches de l'auteur alternent avec subtilité entre douceur et force, de la petite fille à la femme.
Pour l'évolution de son rôle le graphisme sait en faire une belle mise en valeur.
Une BD qui met en lumière et donne envie de se pencher sur l'histoire encore plus.
C'est également un beau plaidoyer, par l'exemple, de l'importance de l'éducation des femmes.
Un beau voyage dans ce XVIe siècle.
Je remercie Babelio et les éditions Grand Angle de m'avoir fait découvrir cette femme et Alicia Jaraba.
Un superbe album à offrir.
©Chantal Lafon

Lien : https://jai2motsavousdire.wo..
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Libérée sur parole

Dans les années 1500 au Mexique.
Les habitants du petit village d'Oluta ont l'habitude de voir leurs voisins Aztèques prélever régulièrement des hommes et des femmes destinés aux sacrifices humains. C'est ainsi que la jeune Malinalli a vu partir son père.

Avec les Aztèques, on a souvent des pépins.

C'est pour mieux se défendre face à ces hommes menaçants que la jeune femme a appris leur langue, le Nahuatl, elle qui ne parlait que le Popoluca, la langue de sa tribu.

Contre toute attente, le danger ne viendra pas de ces Mexicas. Sans doute vendue par les notables de son village, elle est enlevée par des marchands d'esclaves qui la livrent aux Mayas, l'autre grande peuplade du Mexique.

Travail forcé, humiliations, vaine révolte, elle choisit de rentrer dans le rang, d'apprendre une nouvelle langue, le Chontal et de subir résignée, les assauts du vieux chef à qui elle a été attribuée.

Elle révise ses caciques en quelque sorte.

Huit ans plus tard, les Espagnols débarquent, conduits par Hernan Cortes. Là encore, contrainte de servir de domestique et d'esclave sexuelle, la jeune femme va profiter de son don pour les langues. Elle apprend l'espagnol et devient rapidement une interprète indispensable entre les Conquistadores et les Azteques de l'empereur Moctezuma.

Le récit est particulièrement intelligent, brodant autour de la légende de Malinche, considérée à la fois comme une collabo pour avoir servi de traductrice aux Espagnols, et une femme qui aura su survivre et mettre en relation plusieurs peuples. Pour le pire ? Sans doute, mais les Aztèques ou autres peuples n'avaient pas attendu Cortes pour s'entre tuer ou napper de sang les marches de leurs pyramides.

Malinalli, Marina, ou Malintzil « celle qui parle » ou enfin Malinche, dans la légende qui l'entoure désormais qui fait d'elle une traitresse ou une héroïne, au fond, peu importe. le récit, non dénué d'humour que livre Alicia Jaraba, présente l'histoire d'une femme qui a su prendre son destin en main et survivre aux hommes qui ne voyaient en elle qu'une bête de somme ou de plaisir.
Au-delà des faits historiques incertains, c'est donc cette courageuse démarche d'émancipation qui est soulignée et qui fait tout le poids de cet ouvrage.

Le dessin d'Alicia Jaraba est simple mais élégant et expressif, et sert parfaitement le propos. Les scènes les plus terribles sont montrées avec pudeur, peut-être trop édulcorées finalement, dans la mesure où il s'agit quand même de viols.

Pourtant, à la fin de la lecture de cette BD, mon sentiment est mitigé car si j'ai beaucoup apprécié, je n'ai pas non plus été transporté ou ébloui.

Bien qu'intéressant, le sujet m'a semblé malgré tout assez anecdotique pour justifier totalement un album de près de 200 pages. Présenter Malintzil aujourd'hui en 4ème de couverture, comme « une des plus grandes figures féminines de l'Histoire » me semble surtout relever de la volonté de revisiter L Histoire pour donner aux femmes la nécessaire visibilité qui leur revient. C'est louable et le symbole est « parlant » ici, mais je ne suis pas persuadé que ce soit l'exemple le plus pertinent.

Merci à Babelio et à la Collection Grand Angle pour cet envoi dans le cadre d'une Masse critique privilégiée.
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Celle qui parle réinterprète le parcours d'une figure mythique de l'histoire mexicaine au temps de la conquête espagnole, la Malinche, en même temps qu'il révèle les talents conjoints de conteuse et d'illustratrice d'une jeune auteure de BD espagnole, Alicia Jaraba. Malinalli, une enfant au début du récit, est la fille du cacique d'Oluta, une localité située près de la future Veracruz, coincée entre le territoire dominé par les Mexicas et celui des Mayas, le Ma'Ya'ab, le futur Yucatan. Son peuple est sans cesse soumis à la violence de ces encombrants voisins mexicas ou aztèques, qui viennent régulièrement réclamer leur tribut d'enfants, emportés comme esclaves ou gibier promis au sacrifice. Sa grand-mère, qu'elle respecte et vénère comme la meilleure des complices et son initiatrice, lui a bien appris à se cacher dans les arbres à chaque visite des prédateurs. Mais, un jour, pourtant, elle ne peut échapper, vendue par sa propre famille, à des trafiquants d'esclaves, qui l'échangeront contre d'autres biens avec un cacique maya. Au service de cette nouvelle communauté, elle découvrira son talent pour apprendre les langues et traduire, un pouvoir qui lui sera utile à l'arrivée des troupes espagnoles, avant qu'elle ne devienne grâce à cette faculté l'accompagnatrice, bientôt la compagne de Cortès... Et Alicia Jaraba de nous narrer  avec brio cette métamorphose de l'adolescente Malinalli, futée et espiègle, en une Malinche pleine de puissance, libre et rebelle. Une histoire magnifique, découpée en chapitres qui tous commencent par la déclinaison de mots dans une ou plusieurs de ces langues, qui du dialecte d'Olula au castillan des envahisseurs, en passant par le nahuatl des Mexicas et le maya du Yucatan, constituent le trésor de Malinalli, des armes de séduction aussi efficace que son charme physique. Et à travers les lignes des dialogues et la finesse des traits du dessin, un très bel hommage à la tolérance et à l'éducation contre toutes les formes de cruauté et de bassesse humaine. A conseiller à tout lecteur de 11 à 111 ans, alors n'hésitez pas à marcher sur les pas de Malinalli la Malinche, anda ya !
Merci à Pierre Krause et aux éditions Grand Angle (Bamboo) de m'avoir permis de découvrir cette très belle bande dessinée.
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Un immense merci aux éditions Bamboo et à Babelio pour l'envoi de ce livre intitulé '' celle qui parle''. Je suis réellement contente d'avoir pu lire ce magnifique ouvrage, que j'ai trouvé de grande qualité, tant par ses illustrations que par son message.

L'histoire de Malinalli, alias la Malinche ne m'est pas inconnue. Ça fait écho à mes cours d'histoire de civilisation d'Amérique latine, de bons souvenirs rejaillissent.

Malinalli est la fille d'un calcique, c'est une indigène. On suit l'évolution de la jeune fille, sa construction en tant que femme mais aussi en tant que personnage féministe. Sa relation avec sa mère et sa grand-mère sont très touchantes. C'est étonnant de voir comment l'auteure arrive à transmettre autant de sentiments. La famille et les amis, c'est sacré ! Difficile de ne pas être ému quand ça déborde d'amour !

L'histoire est très bien construite. Elle prends appui sur une légende, qu'est celle de la Malinche, et d'événements historiques tels que l'arrivée des conquistadores ( Espagnols) sur le territoire de l'Amérique latine, déjà fragmentée en plusieurs tributs indigènes. C'est très intéressant d'observer de si près, la vision des victimes. Je trouve qu'ils sont peu représentés dans l'histoire. On sent une angoisse non cachée, avec tous ce qu'il leur arrive.

Ici, les Espagnols peuvent êtres vus comme étant des manipulateurs, des pilleurs, des ''sans-coeurs'', mais cette vision est aussi contre-balancée avec d'autres personnages. Tout est dans la nuance, on creuse le caractère des personnages et parfois, on trouve des parts lumineuses, des parts obscures...
Je me suis beau attachée aux personnages de Zaazil, Jeronimo et Maria... Ils ont tous des histoires qui méritent d'être racontées. Leurs ''témoignages'' montrent qu'ils sont forts et qu'ils ont un impact particulier dans l'évolution du personnage de Malinelli.

Les chapitres sont découpés en plusieurs parties, j'aime beaucoup la présentation des pages introductives. Parfois on y voit le dessin de la bouche de l'héroïne, avec des bulles en nahuatl et en espagnol. Facile et simple d'apprendre quelques mots. D'autres fois, on a une carte géographique qui nous permet de suivre le périple des personnages, ça nous aide beaucoup pour ne pas nous perdre.

Que ce soit dans la narration ou bien dans le choix du style de l'illustrateur, je trouve qu'il est facile de ressentir toutes les émotions qui animent les personnages. Les visages sont très expressifs, le silence veut aussi dire quelque chose, c'est un cri inaudible. On ressent donc de l'injustice, de la peur, de l'incompréhension, de la révolte, de la peine... Mais aussi de l'espoir, de la détermination et bien sûr, du soulagement.

Je suis très heureuse d'avoir pu avoir entre les mains cet ouvrage. Je sais et je sens que je relirai cette histoire plusieurs fois, parce qu'elle est forte, elle a un impact sur son lecteur et ne laisse pas insensible face à la détresse du peuple indigène.
Un oeuvre puissante, où l'héroïne fleurit t-elle une magnifique rose épineuse.
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BD historique inspirée d'une figure féminine mexicaine du 16ème siècle, celle de la Malinche (celle qui parle) car elle a servi d'interprète entre différentes tribus et Herman Cortez. Souvent dépassée par les événements, elle résiste et se montre courageuse et tenace dans l'adversité. Jolis dessins et jolies couleurs.
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Très belle histoire sur la Malinche au Mexique du XVIe siècle. On suis l'histoire de Malinalli ou Marina fille d'un chef et offerte comme esclave. Et elle en a traverser des épreuves...Oui je comprends le "l'une des plus grandes figures féminines de l'histoire" mais je reste sur ma faim. Les dessins sont bons, le travail d'Alicia Jaraba est remarquable on n'est dans l'histoire des le début jusqu'à la fin on ne lâche pas le roman graphique. J'avais envie de découvrir plus. Elle a eu un fils avec Cortés...puis une fille enfin sa vie d'adulte etc.
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Quelle histoire ! J'ai entendu celle qui parle. J'ai entendu ses silences. J'ai observé ses faits et gestes. J'ai été à ses côtés pour affronter ses peurs, ces hommes à travers les terres et les années.

Malinalli est la fille d'un chef décédé. Elle vit dans la peur aux côtés de sa grand-mère (qui m'a extrêmement touchée), sa mère enceinte et sa soeur. Cachées dans les arbres, elles observent les Mexicas semer la zizanie.

Ce roman graphique est riche. Il met en lumière une femme ayant existait au Mexique dans les années 1519. Une femme qui a permis grâce à ses ressources et ses compétences de porter la voix des autres.

Malinalli (quel magnifique prénom) parle différentes langues grâce notamment à son père qui la préparait pour un grand destin. Elle apprend en échangeant à tâtons avec les autres.

Ce graphique parle aux pluriels. J'ai été transportée. J'ai voyagé. J'ai été outrée par l'esclavagisme et les moeurs. J'ai tellement appris sur l'Histoire.

L'humanité a besoin d'une voix. Celle de cette femme déterminée.

Prêtes et prêts à rencontrer Celle qui parle ?
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Alice Jaraba imagine la vie qu'a pu être celle de "la Malinche", figure controversée de l'Histoire de l'Amérique centrale, car, Indienne, Malinalli a collaboré avec les Conquistadors de Cortès.
Comme on sait peu de choses sur cette femme, l'autrice a tenté de remettre les événements dans leur contexte socio-politique. Et le choix de la Malinche devient moins une trahison qu'une concordance d'événements et un choix de survie. de toute façon, en toute objectivité, il y a peu de probabilité pour qu'une femme, Indienne de surcroit, ait pu diriger ou inciter Cortès a perpétré les massacres dont il s'est rendu coupable.
Ce que j'ai apprécié, c'est qu'Alice Jaraba a fait de son héroïne une jeune fille puis une jeune femme en quête d'elle-même dans un monde dur, en mutation, où les femmes n'ont pas voix au chapitre.
Sauf que justement, Malinalli devient "celle qui parle", celle qui a une voix et s'en sert. A cet égard, les pages intercalées entre chaque chapitre, où l'on ne voit que la bouche de la jeune femme et quelques mots de la langue de la région où elle se trouve, en disent long. D'une part, par la forme de la bouche (ouverte, crispée, souriante) ; d'autre part, par les mots appris (eau, obéissance, domination, etc.).
Le dessin est doux et pudique, même dans les moments difficiles, ce qui rend le roman graphique accessible aussi aux adolescents.
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