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Kardum aurait du marcher dans les pas de son père.
Mais travailler le verre avec habileté et patience n'était pas dans ses projets immédiats.
Il est aujourd'hui un marchand d'armes reconnu.
Un personnage devenu incontournable pour toutes les races guerrières qui peuplent rageusement ce monde de chaos.
Le pouvoir. Bien plus que l'or amassé, c'est bien cela qui rend ses partenaires commerciaux soucieux au point de vouloir le buter.
Mais le p'tit bonhomme a de la ressource.
Il l'a prouvé par le passé. Il le prouvera encore.

Bon. Très bon même.
Oubliez le concept bourrin car Kardum du Talion vaut bien mieux.
S'il est toujours question de combats sanglants, l'intérêt de cet opus réside bel et bien dans le parcours qui porta au pinacle ce trollar après moult circonvolutions intellectuelles et autant de compromissions factices.
Le personnage est clivant mais habile comme un singe.
Aux récriminations de sa mère qui ne reconnaitra jamais sa réussite, il rétorque que ses armes sont totalement inoffensives contrairement à ses utilisateurs.

Parti de rien pour finalement devenir le véritable boss de la cité, Kardum est de la race des seigneurs. Un politique et commerçant avisé prêt à tout pour réussir y compris s'aliéner ses propres condisciples.

Trait toujours aussi plaisant.
Mise en page énergique.
Ce récit s'inscrit en droite ligne de la série.

La réussite a un prix, celui de sa vie, mais n'ayez crainte car tant que ses deux fleurs carnivores veilleront sur son joufflu, il ne pourra pas lui arriver grand mal.
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Avec ce tome 12 intitulé "Kardum du Talion", Nicolas Jarry fait du Nicolas Jarry et il reprend son schéma préférentiel du personnage qui a accompli ses ambitions à tout prix mais qui se retourne sur sa vie, en se demandant si pour être heureux il n'aurait pas mieux fait de se contenter de ce qu'il avait en premier lieu (comme feu David Gemmell le maître anglais de l'Heroic Fantasy il raconte encore et toujours la même histoire, mais avec tellement de talent qu'on reprend volontiers encore et encore, avec des variations qui donnent même envie de tout relire encore et encore ^^)... Kardum fils d'artisan moitié truand moitié marchand a fait fortune dans le trafic d'armes pour s'inviter à la table des puissants, et il nous raconte son parcours de la tombe de son père trop tôt disparu à son palais somptueux de la Cité d'Airain qu'il tient dans sa main. D'un côté il nous dit et nous montre que tout est bon pour faire du pognon et on songe tout de suite au personnage de Yuri Orlov interprété par Nicolas Cage dans "Lord of War" ^^
Mais d'un autre côté il revient tous les ans dans sa cité natale s'engueuler avec sa mère au sujet qui ne désespère pas qu'il reprenne la verrerie de son père, en se demandant s'il n'aurait pas mieux fait d'épouser son amie d'enfance Nadi qui a convolé en noces avec son rival d'antan... Il est sur le point de tout gagner mais il pourrait tout perdre, car les roturiers ne sont pas les bienvenus à la table des autoproclamés et prétendus bien-nés. A la fin des analepses c'est trahi et abandonné qu'au bout du rouleau il est sur le point de laisser tomber...
Monumentale erreur ! Donc vous êtes les bienvenus dans la Zone Spoilers !!!

Cela va chier des bulles pour les homines crevarices : Redwin, Sriza, Torun, Dröh, Ulrog, Jorun, Kardum... la Ligue de Justice naine parviendra-t-elle à libérer son peuple de la malédiction de la crevardise en réalisant le Grand Soir ? To Be Continued, mais je tremble car Nicolas Jarry est très pote avec David Chauvel qui a assassiné l'Espoir dans sa série "Wollodrïn"... Pitié ne faites faites pas comme lui hein !

Le prolifique Nicolas Jarry enfile les bons scenarii comme des perles : cela fait des années que je regrette qu'il ne se remette pas à écrire des romans, mais je vais finir par regretter aussi qu'il ne se lance pas en politique tant il a tout compris aux maux d'aujourd'hui... Quant à Stéphane Créty, depuis qu'il s'éloigne des gimmicks comics son travail ne cesse de s'améliorer donc rien à redire sur des graphismes bien dessinés, bien découpés, bien encrés et bien colorisés !
Lien : http://www.portesdumultivers..
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Kardum est un puissant seigneur nain, il est très riche, il a beaucoup d'amis. beaucoup d'ennemis aussi forcément. Pourtant il est parti de rien mais il faut croire qu'il avait le sens des affaire.

Jarry va nous narrer l'ascension sociale de Kardum qui a su bien manoeuvrer sa barque. Après nous avoir présenté le personnage, un retour en arrière reprend ses débuts pour nous expliquer comment il en est arrivé là. Encore une fois le personnage de la série nain est fort et intéressant. On sent sa psychologie complexe même si elle ne semble pas encore exploitée à fond. Refusant son rôle tout tracé dans la verrerie de son père, Kardum a de l'ambition et force son destin. Il a le sens du commerce et l'argent ne va pas tarder à couler à flot. Mais Kardum le voit plus comme un outil bien utile que comme une fin en soit.
Le scénario est dense. Il y a beaucoup de texte. D'ailleurs cela a tendance à prendre beaucoup de place dans les cases mais on y est habitué, toute la série nain est à ce modèle avec beaucoup de voix-off.
Le dessin de Créty n'est pas mon préféré mais je trouve qu'il gagne petit à petit en finesse. Il reste des expressions un peu figées et de traits un peu gras.
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Rogntudjû ! Encore un album que j'avais lu et non chroniqué ! y'a du laisser-aller, moi je vous le dis.

Si Kadrum avait fait comme moi, jamais il ne serait devenu un commerçant puissant ! Tiens, c'est peut-être pour ça que je ne suis pas bourrée de fric comme lui…

J'ai aussi quelques scrupules et pour moi, la phrase "Business is business" ne s'applique pas. Pourtant, si on veut devenir riche, il faut vendre LE produit demandé par les clients.

Donc, si les Culs Verts (les orcs, gobelins et autre trucs verts) veulent des armes, ben faut leur en vendre… Et on se fiche que ces armes servent à massacrer les nôtres puisque "Business is business" (retenez bien la phrase). Puis, en passant, on peut aussi armer le clan adverse, tiens, histoire d'équilibrer les forces et de remplir son compte en banque.

Oh, un air de déjà-vu… Ah non, pardon, nos pays ne vendent jamais d'armes aux pays en guerre ou qui voudraient les utiliser contre le peuple ! M'enfin, mauvaises langues que vous êtes. Toutes ces armes, c'est juste pour gagner le concours du meilleur tireur au pigeon d'argile.

Ce ne sont pas les armes qui sont dangereuses, mais ceux qui le tiennent en main. Kadrum n'a pas tort. Il est cynique mais malheureusement, il a raison et il ne s'embarrasse pas de sa conscience. Il est retors, aussi et n'aime pas qu'on tente de le rouler.

Anybref, lui chiez pas dans les bottes où il vous en cuira. En commerce, il ne faut pas être faible avec les mauvais payeurs. Oui, lire Kadrum est un enseignement précieux pour quoi veut devenir riche et puissant. N'oubliez pas d'arroser les autres, sinon, ils vous tendront des pièges pour vous faire tomber.

Kadrum a le fric mais il a surtout le pouvoir et le savoir ! le fric, le savoir et le pouvoir… Mieux que Game Of Thrones ! Surtout que Kadrum est parti de rien. Mais il lui manque toujours quelque chose : la reconnaissance de sa maman !

Tout compte fait, Kadrum, qui n'est pas un imbécile, loin de là, se retourne aussi sur sa vie, sur son parcours, se demandant si tout compte fait il n'aurait pas dû rester simple marchand au lieu de viser si haut et d'attiser tant de jalousies.

Il en va de la vie comme des affaires, un coup on gagne, on a une bonne main, tout va pour le mieux et puis, bardaf, c'est la déchéance et plus on est monté et plus la chute est rude.

Oui, l'histoire peut sembler éculée : celle d'un homme parti de rien et qui a tout bâti de ses mains, avec son intelligence, sa science du commerce, l'art d'être là au bon moment et au bon endroit, mais Nicolas Jarry a cette capacité de nous raconter ces vieilles histoires avec brio et on a toujours l'impression qu'on l'écoute pour la première fois.

Les dessins mettent bien en scène les cités Naines, les personnages, les décors sont grandioses et le scénariste, lui, cache bien son jeu en nous montrant ses personnages qui ne sont peut-être pas tels qu'il nous les présente, qui peuvent avoir une face cachée, bonne ou pas, ça je ne vous le dirai pas.

Tout ce que j'espère, c'est que nous aurons la suite du bras de fer entre Kadrum et Derdhr, la terrible dirigeante de la Banque de Pierre. Elle n'a pas son équivalent humaine, elle.

Une fois de plus, un excellent opus des Nains ! Je m'en voudrais de ne pas vous le signaler.

♫ I've lived a life that's full.
I've traveled each and every highway;
And more, much more than this,
I did it my way. […]
Yes, there were times, I'm sure you knew
When I bit off more than I could chew.
But through it all, when there was doubt,
I ate it up and spit it out.
I faced it all and I stood tall;
And did it my way ♪

"My Way" de Frank Sinatra

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Dans la série "Nains", l'ordre du Talion n'est pas mon préféré. Cependant, c'est celui qui permet à Nicolas Jarry de mieux exprimer son goût pour l'intrigue, les complots et les retournements de situation. Du coup... c'est très sympa !
Dans ce volume, Kardum, fils d'un souffleur de verre qui s'est tué à la tâche, rejette son destin de petit artisan pour devenir le plus grand trafiquant d'armes de la terre d'Arran. Et il vend à tout le monde, même aux peaux vertes. On se dit déjà que ce n'est pas joli joli... Mais ce qui est encore moins joli, ce sont tous les complots que tissent les institutionnels jaloux de sa réussite pour le faire tomber.
Tout cela nous présente des personnages à la psychologie complexe, voire à deux visages, auxquels il est difficile de rester insensible.
Le tout est servi par un dessin et une mise en page d'un Stéphane Créty très inspiré. Je le trouve même meilleur avec les nains qu'avec les elfes.
Ce qui me manque pour l'instant dans cette série, c'est un véritable lien entre tous les tomes. Je crois deviner que quelque chose se dessine - sans mauvais jeu de mots - mais, au bout de 12 albums, je ne perçois pas encore la trame générale derrière tout cela.
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Ce tome 12 nous propose de suivre le parcours de Kardum, un nain pas comme les autres, qui part de rien et qui parvient à réaliser ses objectifs, malgré les embûches, les obstacles et imprévus qui se dressent sur sa route.
Kardum n'est pas de ceux qui abandonnent facilement ni de ceux qui suivent un chemin tout tracé. En cela il représente tout à fait le peuple Nain par sa pugnacité et sa détermination. Et il refuse tout bonnement de suivre les pas de son paternel qui avait bien des projets pour lui. Non Kardum voit plus haut, plus loin, son ambition est bien au dessus de la simple vie de souffleur de verre qui lui souriait gentiment. Ses modestes origines ne feront que valoriser son parcours, car, en effet, Kardum n'est pas issu d'une famille noble et son nom n'est pas synonyme de réussite. Pourtant son nom va rester et imprégner même les plus hautes sphères. Car c'est bien là son objectif. le fait que Nicolas Jarry fasse de Kardum un personnage quelconque issu du bas monde ne rendra que justice et grandeur à sa réussite, à son combat. Peu importe les moyens, Kardum se hissera au plus haut niveau. Son fond de commerce sera la vente d'armes à qui voudra, ce qui en dit long sur ses scrupules. Mais ce n'est pas pour autant un nian sans valeurs ni règles. N'en témoigne ses quelques refus là où il voit dans une transaction des objectifs douteux de la part de ses acheteurs.
Comme de coutume, Jarry choisit une structure narrative en analepse pour nous conter son histoire. On a droit à une longue introduction qui le présente lui et ses ambitions ainsi que son entourage, avant de retourner dans son passé, pour mieux le cerner et comprendre le personnage qu'il est devenu. Il nous contera l'histoire d'un nain prêt à tout ( même à perdre sa propre mère, de qui il souffre énormément de n'avoir aucune reconnaissance de son travail et du résultat de ses efforts), et il perdra énormément. Mais c'est pour chaque fois se relever fièrement, car le nain a toujours un coup d'avance, même lorsque tout semble perdu pour lui. Grâce à sa grande intelligence et à sa formidable capacité à prévoir l'avenir et à envisager l'imprévisible ( bref la capacité à assurer ses arrières comme tout homme d'affaires qui se respecte), Kardum parviendra à se hisser jusqu'à atteindre ses objectifs, petit à petit, étape par étape. Si sa tête lui permet d'évoluer, le choix des armes lui rend bien service de temps en temps, et une bonne démonstration de l'efficacité de ses productions vaudra plus que des mots lorsqu'il s'agira de se faire respecter ou de se construire une réputation, ou encore d'obtenir une place de choix dans les hautes sphères.
Donc nous avons là un nain qui sait ce qu'il veut, à la personnalité complexe, qui emmerde tout le monde (exception faite de ses amis et collaborateurs, ainsi que de ses ouvriers, sans lesquels il sait qu'il ne serait rien), qui avance en vertu et contre tous et tout, et qui n'aime pas qu'on se foute de lui. D'ailleurs, le récit s'articulera autour de sa réussite qui commence à inquiéter même la banque de fer, qui refusera d'accéder à ses demandes. Nicolas Jarry reprend une maxime de Mark Twain à sa sauce et l'applique à son personnage, même s'il la cite avec une tournure différente à propos d'une légende sur 3 nains. "Ils ne savaient pas que c'était impossible alors ils l'ont fait". Kardum est l'incarnation même de ce dicton.
Ainsi Jarry illustre encore une fois notre bonne vieille société et nous rappelle à quel point il est important et essentiel de s'accrocher à ses aspirations, de mettre tout en oeuvre pour parvenir à ses fins, ne pas se laisser impressionner par ceux qui détiennent le pouvoir, ou par les obstacles, et s'il nous arrive de tomber, encore se relever et continuer. Kardum n'a t'il pas dit que le pouvoir n'est pas dans l'or... Autrement dit que c'est juste un moyen d'y parvenir...
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Qui dit une BD sur l'Ordre du Talion, dit une BD de la série "Nains" qui va s'intéresser au pognon, à la banque, à la finance et à son immense côté opaque (corruption, détournement de fonds, enrichissement personnel, amoralité...). Ce tome 12 ne déroge pas à ce principe. En effet, nous suivons l'ascension d'un fils d'artisan qui part de zéro pour atteindre les sommets : il est devenu le plus grand marchand d'armes nain, qui traite aussi bien avec les Hum, les Elwë que les ennemis Orcs.

Je suis contrarié par ce tome. Peut-être est-ce dû au thème qui ne m'a pas tellement emballé : le pognon, le commerce... ça ne m'attire pas trop. C'est le douzième album des "Nains" et la trame habituelle de Nicolas Jarry est, pour moi, beaucoup trop voyante. Dans les autres tomes, elle est diluée dans de l'heroïc fantasy, des combats et même du fantastique pour certain (tome 8) et ça me va. Mais ici, le thème du jeune en colère contre son père/les traditions/le passé qui, après moult épreuves, pense avoir malgré tout réussi sa vie et qui se retourne sur son passé pour se demander s'il n'a finalement pas tout faux, m'a un peu beaucoup gonflé.
Ça doit être les effets des deux semaines de confinement !
Sinon côté graphisme, le travail de Stéphane Créty est du niveau standard élevé de la collection : les décors sont magnifiques, les personnages sont aisément reconnaissables malgré les différentes époques, les quelques scènes d'action ne sont pas embrouillées comme parfois malheureusement dans les séries "Elfes" ou "Nains".

Oh ! Que vois-je ? le tome 13 s'intitule "Fey du Temple". Comment cette bavette a finalement pu échouer dans la Légion de Fer ?
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Cet album consacré à l'ordre du Talion (loin d'être mon préféré) conte l'irrésistible ascension de Kardum des bas-fond aux sommets de la fortune (mais la Roche Tarpeienne est près du Capitole n'est ce pas) . Mi- Bernard Tapie (RIP) , mi- Basil Zaharoff , il magouille sans foi ni loi , avec un manque de scrupules total , l'appui d'amis dévoués et de ses « fleurs carnivores » maîtresses et meurtrières . En bon outsider il se heurte à la vraie puissance , la Banque de pierre …connaîtra-t-il le sort d'Ordo ? L'album n'est pas mal mais je dois dire que les péripéties financières m'ennuient profondément et je ne lis pas Nains pour y retrouver le Wall Street Journal. Cet ordre du capitalisme nain est le Talion d'Achille de la série (à mon goût) .
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Nains est une série qui ne déçoit pas, avec des tomes de bonne qualité.
Ici aussi on a un récit dense, entre psychologie et intrigue. Ce n'est pas non plus mon tome préféré. Mais on devient exigeant !
On est entrainé dans le récit de l'ascension de Kardum, jusqu'à ce qu'il attire la convoitise. C'est prenant et intéressant, il y a du mouvement et une bonne évolution. Même si ça manque un peu de rebondissements. Et la fin n'est pas explosive, pas de révélation ni de nouvelles données. J'aurais aimé en avoir un peu plus avec sa famille. Ou même ses deux elfes.
Un nain avec un sacré caractère qui choisit son destin, un peu atypique ne serait-ce que dans son aspect. A travers la narration on apprend à le connaitre et à le comprendre.
Les dessins sont agréables et nous offrent de belles planches et de beaux paysages. Ca manque parfois un peu de précisions. Les couleurs sont classiques et vives.
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Ascencion, chute et revanche d'un nain Kardum, fils d'un souffleur de verre et qui fera sa fortune en vendant des armes aux orcs, humains, nains, bref à tous ceux qui ont de l'argent. Ce qui l'intéresse c'est le pouvoir que cela lui octroie et non l'argent, contrairement à ses associés qui ont parfois du mal à le suivre.
Histoire d'un personnage cynique et immoral, certes, mais qui tient à ses associés, son entourage et sa mère. Maitre d'une forge, il va sérieusement agacer Dehdr du Talion qui va mettre en place un procés pour le déchoir de ses droits sur la forge. Kardum va tout perdre mais il est malin et saurra prendre sa revanche avec éclat et délectation!
Rien de bien neuf mais l'intrigue est solide, pleine d'action sur un personnage sympathique malgré ses - énormes - défauts.
Un bon cru - à nouveau.
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