p.20-1.
L'institutrice à ses élèves :
Barro-City est une ville dangereuse, elle attire des criminels, des joueurs, des tenanciers de tripots... dont le but avoué est de s'approprier l'argent durement gagné par les mineurs et les fermiers... La loi ici n'est pas respectée. Les fusillades sont fréquentes, la violence permanente, et la justice inexistante.
Il faut enrayer cette contagion barbare, en fermant les saloons, en chassant les délinquants de tout ordre... et en finir avec la loi du plus fort... Pour réaliser cela, les autorités comme le shérif, le juge, le maire, le pasteur, doivent être irréprochable.
J'étais comme un papillon percé par une aiguille qui se tord de douleur en voulant s'envoler.
Un vent d'automne disperse les fleurs de mes rêves.
p.51.
La Veuve noire à ses associés :
Celui que sera propriétaire de l'eau sera propriétaire de la terre, des récoltes, des troupeaux et de la survie de chaque citoyen.
p.46.
Axe-Head à ses fils :
Mais continuez à bien apprendre à l'école, dans la vie ça ne suffit pas seulement d'être voleur et assassin. Je veux que mes fils soient cultivés !
p.36.
Job : J'ai appris à faire cette infusion chez les Cheyennes. Nous étions frères de sang, avec eux j’ai chassé les bisons dans la prairie.
Sakajawea : LES BISONS C'EST FINI … LA PRAIRIE, C'EST FINI... LE MONDE EST FINI !
p .27.
Toro Negro à Bouncer :
Laisse-nous tr... tranquilles.
Nous sommes dans les bras du dieu whisky...
C'est une douce invention des blancs pour nous tuer... sans douleur.