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Je suis enfin venue à bout de cette lecture et pourtant sur le papier celle-ci avait vraiment tout pour me plaire, j'adore les films d'horreur mais ici je suis toujours dubitative sur ce que j'ai lu au final car entre les chapitres en italique qui fait une sorte d'historique de ceux-ci et les sous genres, leurs dates de réalisation etc.

Et l'action ou du coup se déroule des scènes tels qu'on a pu les voir dans la plupart des films d'horreurs, je n'ai pas tellement compris l'intérêt, de même que la plume de l'auteur n'est pas fluide elle est même plutôt ardue à lire ce qui ralentit encore la lecture.

Tout débute ici dans la ville de Proofrock ou vit notre protagonistes et ou il semble se passer des évenements étranges un peu comme dans son genre de film de prédilection.

J'ai trouvé ce récit extrêmement long et je n'ai eu qu'une seule hâte que celui-ci se termine tellement tout était cliché à me yeux, mais je pense que lorsque l'on arrive à la partie du lac avec les sorcières cela a été le pompom pour moi.

Je suis très déçue de cette lecture alors certes j'ai lu ici quelque chose de différent ce que je souhaitait pour sortir de ma zone de confort, mais ici cela l'était peut-être un peu trop pour moi.
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Il est rare que j'abandonne un roman, surtout à une petite centaine de pages de la fin, mais celui-ci m'est littéralement tombé des mains.

Pourtant l'histoire avait tout pour me plaire : Jade Daniels, une ado "gothique" fascinée par les slashers (tueurs fous dont la spécialité est de massacrer ses victimes avec toutes sortes d'instruments tranchants dans les films du même nom), est convaincue qu'un sadique sanguinaire a élu domicile dans sa petite ville et que le massacre est sur le point de commencer. Pour l'éviter, elle doit trouver - et former - la "final girl" (traduit très littéralement par "fille finale"), c'est à dire la survivante qui, invariablement dans les slashers, survit au sadique et finit par le tuer.

Sur ces bases, Jade va tenter d'assembler une série d'indices disparates pour valider ses théories sur l'existence du tueur, et en parallèle, identifier l'une de ses camarades de classe comme étant la potentielle "final girl" et commencer sa formation.

Le récit aurait pu être croustillant. Problème : la narration est émaillée d'une multitude de références aux slashers (films) des années 70-80 (qui virent l'apogée du genre), qui passeront en dehors des radars des lecteurs peu familiers du genre.

Ce n'est pas mon cas. J'ai quasiment vu tous les films dont il est question dans le roman, mais "too much is too much", et la narration se résume à un interminable défilé de références cinématographiques assaisonné de résumés de films, comme si bien conscient que ses références risquaient d'échapper à la plupart des lecteurs, l'auteur se sentait obligé de les accompagner d'explications encyclopédiques.

Ajoutons à cela une intrigue brouillonne qui s'embourbe de plus en plus au fur et à mesure du récit, et on se retrouve assez rapidement, non pas perdu dans l'histoire, mais en train de la chercher (en vain). En effet le récit manque clairement d'un fil conducteur, d'une direction, d'une intention forte. L'auteur donne l'impression de naviguer à vue, comme s'il s'était perdu lui-même dans le labyrinthe qu'il tentait (péniblement) de construire.

L'écriture elle-même est pataude, laborieuse. Aux dialogues sans fond succèdent des phrases bancales qui s'enchaînent dans un ensemble mal orchestré. Aucune musicalité, aucune résonnance dans ce "style" qui n'est que mots ébréchés, mal emboités, formant des paragraphes hirsutes.

Bref, pour le dire crument : ça pique aux yeux.

La partie la plus intéressante est peut-être celle constituée par les parenthèses concernant Jade et son histoire personnelle chaotique. Au fur et à mesure de l'histoire, il ne fait en effet aucun doute que la narratrice est schizophrène. Dès lors, on peut essayer de mettre l'aspect décousu du récit sur l'esprit en ébullition de la jeune femme. Mais ce serait sans doute prêter à l'auteur une intention qu'il n'a jamais eue. Pour moi, "Mon coeur est une tronçonneuse" est simplement une histoire bâclée, mal fichue du début à la fin (même si je ne suis pas allé jusqu'au bout). Un livre qu'on a envie de lâcher sitôt commencé mais qu'on s'efforce d'ingurgiter en espérant un sursaut dans l'histoire, un déclic qui, malheureusement, ne viendront jamais.

A oublier.
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Jade est indienne par son père et fan de slashers, ces films qui mettent en scène les meurtres d'un tueur psychopathe, parfois défiguré ou masqué, qui élimine méthodiquement les membres d'un groupe de jeunes ou d'autres personnes, souvent à l'arme blanche et principalement pendant la nuit. Tellement imprégnée de ses visionnages intensifs, qu'elle voit la vie à travers le prisme de ses films préférés et qu'elle fait des dissertations sur ce sujet pour remonter ses notes en cours d'Histoire. Dans la région, se construisent de l'autre coté du lac, des résidences pour riches et Jade est persuadée que des crimes vont se commettre dans cette communauté. Mais personne ne prête attention aux dires d'une petite Indienne asociale, fille d'un père violent et d'une mère absente. Jusqu'à ce que les corps se mettent à tomber…
Ce roman qui de portrait d'une jeune fille solitaire bascule dans le récit horrifique sanguinolent n'a pas fonctionné sur moi. Mis à part Stephen King, je n'accroche pas souvent aux romans d'horreur, genre qui se prête mieux selon moi au cinéma de par son côté graphique. L'auteur est spécialiste du genre et il parsème son récit de multiples références de slashers movies mais à trop se faire plaisir il oublie peut être un peu le lecteur. Raté pour moi.
Lien : https://puchkinalit.tumblr.c..
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Jade est à moitié amérinidienne par son père, avec lequel elle vit. Elle a dix-sept ans, une vie compliquée et pas d'amis, un père alcoolique et une mère partie, sans compter que dans sa tête c'est le blizzard: amatrice de films d'horreur depuis ses onze ans, elle les a tous disséqués - avec une adoration spéciale pour les « slashers » - et confond souvent ses délires avec la réalité.
Jusqu'au jour où…
En fait, ce livre est impossible à résumer sinon à dire que c'est un chef d'oeuvre pour les fans de films d'horreur, car les autres vont l'abandonner avant la page 50 c'est sûr.
D'abord, c'est un film de références (lisez Anatomie de l'horreur de St. King avant si vous voulez) et donc si vous ne les avez pas, vous ne suivrez pas. Par ailleurs, le livre suit les pensées d'une gamine un chouïa timbrée, c'est donc du style libre pur, il faut donc aimer. L'un dans l'autre, j'ai adoré. Cette gamine paumée, dans son village perdu sur les bords de l'Indian Lake dans l'Idaho, qui vit entre deux cultures, avec juste un prof d'histoire pour s'intéresser à elle, et bien, elle est très attachante. Son histoire, ses déboires, ses erreurs - chroniques - son envie d'être reconnue, aimée, tout ça est assez bouleversant. Les références horrifiques sont un plus, qui s'ajoutent à ce sentiment de délire, de confusion...
Un livre grandiose à recommander aux fans de films d'horreur qui devraient se pourlécher, car c'est pas tous les jours qu'on tombe sur ce genre de pépite…
je m'en vais chercher le premier ouvrage de cet auteur...
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Passionnée de films d'horreur, une vraie encyclopédie du genre, Jade/Jennifer Daniels semble vivre sa vie à travers les slashers qu'elle a vu et revu. Lorsqu'un mort inexpliqué, puis un second, et beaucoup d'autres par la suite, surgissent dans sa petite ville de Proofrock dans l'Idaho, Jade y voit un signe. Signe peut-être qu'un vrai slasher est en train de se produire, ici, pour elle. Jade n'est en fait pas surprise ; avec ses connaissances et la situation de la ville, il fallait que ça arrive. Enfin ! Deux morts stupides au début, un jeune sans intérêt qui va montrer son courage sur la fin de l'histoire, la fille finale que Jade arrive à trouver facilement. Tout y est. Mais elle doit encore faire comprendre à tout le monde qu'ils courent un grave danger. Que le slasher est là tout près et qu'il va tous les massacrer. le problème c'est que Jade a un passé tourmenté et personne ne va la croire. Certainement pas son idiot de père Tab. Plus surprenant, le shérif n'est pas non plus convaincu. Pourtant celui-ci a un passé avec les environs. Mais rien, pas de réaction. C'est sans doute en raison des propres démons de la jeune fille. Personne ne peut la croire, elle qui a déjà loupé le lycée pendant suffisamment longtemps pour avoir droit à des cours optionnels auprès de M. Holmes. Mais coûte que coûte, Jade va devoir faire comprendre à tous que le danger est proche, près à frapper, fort et longtemps. L'auteur a la faculté incroyable de transformer l'horreur en plaisir de lecture. Ce roman n'échappe pas à la règle. Autour de Jade, jeune fille fragile en quête d'un foyer stable et aimant, il tisse une histoire qui se dévore comme le slasher dévore les habitants de la région. Jade est partagée entre les souvenirs d'une mère et les agissements d'un père brutal qu'elle voudrait voir disparaître. Un livre en forme d'hommage à tous les films d'horreurs et slashers qu'on a tous pu voir. de nombreuses références pour ce récit haletant de bout en bout. Bienvenue à Proofrock, Jade vous attend, autour du lac, avec Letha, M. Holmes, Lunettes de Tir, Theo et tous les autres. Mais attention, tous n'en sortiront pas vivants...
Lien : https://cafenoiretpolarsgour..
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Je trouve personnellement que Stephen Graham Jones n'a pas une écriture facile facile, qui me permet d'imaginer aisément les situations dans l'espace et le temps, de visualiser les actions. Cela me contraint parfois à relire des passages, m'obligeant de ce fait, à prolonger ma lecture. J'avais ressenti le même effet avec Galeux et Un Bon Indien est un Indien Mort. Et c'est un peu dommage, parce que si je peine avec la forme de son écriture, j'adore le fond et ses idées. Plus particulièrement celui-ci, qui est un excellent, un incroyable, hommage aux films d'horreur !
Plus spécialement au slasher, mais il survolera tout de même les autres sous-genres, tels que le film Rape and Revenge, le film de monstres, de sorcières, de fantômes, de possession, etc…

Jade, lycéenne, est une grande fan de slasher movie et toute son existence vague autour de sa passion. Descendante de Blackfeet comme souvent les personnages de Graham Jones, vivant dans un bungalow de classe sociale inférieure, marginale et passionnée de cinéma de genre, elle n'a pas en réserve, les qualités optimales pour s'intégrer dans cette Amérique qui n'est plus vraiment la sienne.
Ayant passé une grande partie de son dernier trimestre en institut psychiatrique pour une tentative de suicide, elle découvre à son retour une nouvelle élève. Cette nouvelle élève a tout d'une « Fille Finale. » Et si une Laurie Strode ou une Sidney Prescott ou une Sally Hardesty est dans le village, alors pour Jade cela ne fait absolument aucun doute : un slasher se prépare…
Et elle va tenter par tous les moyens de convaincre son prof d'Histoire, le shérif et évidemment La Fille Finale…

Si vous avez adoré Randy Meeks dans Scream, vous adorerez Jade dans Mon Coeur est une tronçonneuse. Parce que comme Randy, Jade a une culture cinématographique du slasher, lui permettant d'avoir des théories et des réponses à tout. Et l'auteur maîtrise son sujet à la perfection !! Avec une description transcendantale de la Fille Finale à la limite du Grand coup de foudre exaltée (je vous invite à lire ce roman ne serait-ce que pour ce passage dans les toilettes du lycée), avec des références de personnages et de films à tout bout de champ, donnant ainsi une argumentation sans faille (les parents et les flics ne servent à rien, le cinéaste aime tromper son public, qui est coupable ?). Jade compare les films d'horreur avec l'Histoire de son village, pour justifier une vengeance potentielle. Est-ce cette fille qui s'est noyée et revient d'entre les morts comme Jason Voorhies ? Est-ce le flic qui se venge de la mort tragique de sa fille ? Est-ce ce prêtre gourou qui a tué ses adeptes autrefois dans ce même Lac ? Mais si vous connaissez les films d'horreurs, vous savez également que tout est trompeur.
N'est-ce pas plutôt Jade qui a des problèmes psychologiques et qui voit un slasher là où il n'y a rien du tout ? D'autant qu'il est parfois difficile de faire la différence entre la passion de Jade, et la réalité.
Où est-ce qu'on ne peut pas utiliser les problèmes psychologiques de Jade pour faire un bon slasher, puisque de toute façon personne ne la croira ? Ou alors ne peut-on pas utiliser Jade, l'inadaptée sociale fan de films d'horreurs pour l'accuser de quelque chose qui dépasse la logique?
Et puis vous savez, il y a toujours un spectaculaire twist final…
« Vu que le slasher existe depuis presque quarante ans, peut-être que la seule façon de créer encore du suspense, c'est de briser les règles du genre. »
Et puis un slasher se veut parfois fantastique puisqu'il est comme Michael Myers, il ne meurt jamais.
Et surtout, il y a l'allégorie de la souffrance et celle de la vengeance, le symbole de la marginalisation sociale, le mal étouffé qui ne se guérit que dans le massacre : la catharsis.

*****

Mention spéciale à la théorie de Jade concernant Les Dents de la Mer de Spielberg. Film que j'adore en tout point, de son travelling compensé à ses répliques cultes, en passant par la musique et un Richard Dreyfuss tirant la langue excédé par l'arrogance de Quint. Oui j'adore ce film.

****

Un grand merci aussi pour cette myriade de souvenirs que m'a apporté la lecture de ce roman, mes nuits vidéos à regarder Laurie Strode courir devant un Michael Myers déterminé, Johnny Depp avec son tee-shirt ras le nombril recraché par son lit en fontaine de sang, Nancy Thompson qui court dans des escaliers en guimauve, boit du café pour ne pas dormir, l'humour douteux d'un Charles Lee Ray empaqueté, les cris de Marilyn Burns, le masque de Jason et les adolescents qui se fendent la poire dans tous les sens du terme, mes heures passées aux vidéos clubs, mon Pop-Corn maison pas toujours réussi trop gras de beurre, et les bonbons qu'on dévorait tandis que Lionel Cosgrove patinait sur du sang, que Regan faisait des 380° avec sa tête, que Ash se battait avec sa main, que Barbara n'attendait pas qu'ils arrivent, que Carol-Ann fixait sa télévision, que Jack Torrance tapait sur sa machine à écrire, que Frank Zito coiffait des cheveux, que Helen Lyle passait derrière le miroir d'une salle de bain, que Thana portait un flingue à ses lèvres avec son costume de none, et tout cela pour échapper au monde réel, celui plus cruel car il est authentique. Alors Jade, ma demi-soeur romancée, je te vois et je te lis. Je te partage à présent. Merci Stephen Graham Jones.

****

Petite note supplémentaire : je vous propose un roman un peu moins punchy mais qui est également un beau petit hommage au slasher : La Dernière Fille de Riley Sager
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Malheureusement, impossible pour moi d'entrer dans ce récit.
J'aimais bien l'idée, j'aimais bien le thème et l'ambiance dans laquelle le lecteur est directement plongé. Cependant, je n'ai pas accroché à l'histoire et le style d'écriture m'a dérangée. C'est assez brut, cru, parfois presque brouillon, je ne sais pas trop quoi en dire de plus; ce n'était peut-être tout simplement pas le bon moment!
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Je ne lis jamais de livre d'horreur. Grâce à un concours l'an dernier, j'ai lu "Un bon indien est un indien mort" et j'ai été surprise de l'aimer.

 Rebelote cette année, j'ai gagné ce titre de l'auteur et bingo, j'ai encore été bluffée.

Je ne connais rien des slasher movies (une catégorie de films d'horreur) mais Jade, la narratrice, une ado d'origine indienne, en connaît tous les rouages. En même temps, que ses devoirs qu'elle rend à son prof d'histoire sur le sujet, nous découvrons la vie de sa bourgade, Indian Lake. Un lieu qui devient soudain une scène d'actions, lorsque plusieurs personnes meurent...
Jade ne veut rien manquer, elle qui assiste en vrai à ce qu'elle regarde d'habitude sur un écran.

Mon coeur ralentit, je suis scotchée aux pages, j'attends l'événement qui fera accélérer mon rythme cardiaque. La tension monte à un point que je n'imaginais pas pour un livre. Je retiens mon souffle. Ce qui est raconté est terrible, affreux et je suis donc d'autant plus surprise par la fascination que suscite chez moi l'histoire. 

Même si ce n'est pas particulièrement votre genre de lecture, laissez-vous tenter car tout est maîtrisé. Stephen King a trouvé un successeur, je peux vous l'assurer. On tremble jusqu'à la dernière page et le scénario tient la route même quand l'auteur nous balade sur des fausses pistes ou nous fait douter de ce que nous lisons. 

Un vrai cauchemar, avec un fond social (dont je ne vous parle pas pour ne rien vous dévoiler) ! 

Une lecture frissonnante, épatante.
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Cassandre au pays des slashers...
Jade est une gamine sans avenir de l'Idaho. Marginale, à moitié Indienne, elle se passionne pour les slashers, sous-genre sanglant des films d'horreur. Elle rêve qu'un jour un de ces terribles tueurs viendra régler son compte à sa petite ville pas sans histoire.
Sous le couvert d'un récit gore et à suspense qui souffre (comme tous les slashers) d'une baisse de régime au milieu de l'intrigue, Stephen Graham Jones propose un roman profondément social. L'auteur dépeint la société américaine avec ses travers et ses faux-semblants bien plus effrayants que tous les Jason et Freddy du cinéma.
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Après un prologue qui ne laissera personne indifférent, j'avais le sentiment de me retrouver dans un thriller nordique. Mais laissons derrière nous le gentil petit couple d'Hollandais qui trouve la mort dans les eaux d'Indian Lake pour nous concentrer sur Jade. Agée de 17 ans, elle vit à Proofrock dans l'Idaho, avec son père amérindien alcoolique. Jade est une adolescente marginale qui trouve refuge dans sa passion pour le cinéma d'horreur. La raison de son obsession est plus déchirante que vous ne pouvez l'imaginer. le roman explore les difficultés de l'adolescence auxquelles Jade est confrontée, en plus d'explorer des thèmes plus sombres et dérangeants. Jade est décrite comme un personnage complexe, et c'est principalement à travers son regard que l'histoire est racontée, offrant ainsi une perspective unique sur les événements du roman. On nage dans une oeuvre macabre et sanglante où il devient très difficile de trier ce qui appartient à la fiction de ce qui appartient à la réalité tant tout se superpose. le style d'écriture est cash et parfait pour les amateurs de films d'horreur qui trouveront un nombre impressionnant de références cinématographiques, trop peut-être. On a tous notre imaginaire peuplé de la dernière fille encore debout alors qu'un tueur en série increvable lui court après. Un homme portant un masque, où vous poursuivant avec un pistolet à clous ou une hache, ça vous parle n'est-ce pas ? Pourtant je vous avoue que les références aux films et aux noms de personnages me passaient la plupart du temps au-dessus de la tête. Ajoutez à cela un manque de rythme dans les deux premiers tiers du livre, cela en devient long et ennuyeux. Bien entendu les dernières pages sont plus passionnantes mais arrivée à ce niveau j'étais déjà perdue. Ce livre est le premier d'une trilogie, je lirai les suivants car j'avais tellement aimé : Un bon indien est un indien mort. Bonne lecture. 

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