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3,82

sur 10654 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
La Métamorphose de Franz Kafka est un classique de la littérature. J'ai trouvé ce livre très abstrait, étrange, incompréhensible. J'ai malgré tout apprécié ma lecture et j'attends d'explorer un peu plus la bibliographie de l'auteur. Ce livre était pour moi une introduction à l'univers pathétique, au sens littéraire, de Franz Kafka.
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J'ai détruit le livre après l'avoir lu.
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La métamorphose de Kafka, un grand classique et un très jolie cadeau de mon professeur de littérature. Je n'ai pas adoré mais j'ai bien aimé. Un peu perplexe cependant face à la tournure de l'histoire, on m'avait parlé d'un récit dérangeant, où on se sentait un peu mal à l'aise, et c'est pas du tout ce que j'ai ressentit. Ce n'est pas une mauvaise chose, du tout, je tiens juste à partager un autre ressentit. J'ai eu de la peine. Tout le long. Pour Gregor, pour sa famille, bref pour tout le monde. Au lieu de dérangeante j'ai trouvé l'histoire triste. La famille fait son possible mais sa ne suffit pas, Gregor avait des rêves, des projets, l'ambition d'aider sa famille mais voilà que sa condition l'en empêche et qu'il est condamné à assister à leur vie, à les comprendre mais sans pouvoir interagir ni s'expliquer. Ma seule déception c'est la fin que je trouve vraiment mauvaise. On aurait pu s'arrêter quelques pages plus tôt, toute la scène du train n'avait que peu d'intérêt selon moi. Cela reste tout de même une oeuvre courte, facile à lire, que j'ai dans l'ensemble apprécié. Pour la culture je pense qu'il faut l'avoir lu même si je pense que ça ne peut pas plaire à tout le monde et que, comme je l'ai dit, la fin est assez peu intéressante et laisse un sentiment de déception quand on ferme le livre.
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Livre sympa qui abordent des thèmes importants qui seront toujours actuels (famille et travail notamment) mais qui, je trouve, n'est pas assez émotionnel. Et c'est ce que je cherche dans un livre : ressentir quelque chose.

Alors, attention, le livre n'est ni mauvais ni vide d'émotions ! Mais je m'attendais à mieux par rapport à ce qu'on en dit, j'aime Gregor Samsa, j'aime -d'une certaine manière- sa famille, j'aime l'histoire : j'ai pris du plaisir à lire ce livre.

La métamorphose (je parle ici de la métamorphose en elle même et non pas du livre éponyme) est vachement intéressante. La raison de son arrivée, ce qui en découle, le changement sur les visages de la famille etc. C'est vraiment bien! Et le livre est globalement assez bon en fait mais, la fin, et surtout vu ce qui arrive, n'est pas assez émotionnelle et le livre plus généralement ne m'a pas fait ressentir grand chose quand bien même j'ai aimé le lire !
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Encore une déception.

J'ai du mal avec Kafka, j'arrive pas à voir le grandiose qu'on lui accorde.

Ce livre est mieux certes. Mais car il est aussi beaucoup plus court que "Le Château".

L'introduction est pourtant excellente. Là où on aurait pu avoir une narration qui nous place en spectateur omniscient, Kafka décide plutôt de faire quasiment qu'un avec Gregor. On découvre ce qu'il lui arrive, on suit ses affres et ses tourments. On a les diverses réactions, non franchement ça fait le taffe.

Alors pourquoi la suite n'est pas au même niveau ? le reste est une suite d'évènements que Kafka a inlassablement décrit qui sont tous les mêmes. le roman sur 140 pages arrivent à nous proposer tout le temps la même chose.

Il y a une évolution oui, mais légère et très superficielle, j'aurais voulu que ça aille plus loin. Est-ce le format huis-clos qui limite trop l'histoire et qui tarie la différence, le renouvellement ? Pourtant les 3 parties sont supposées être distinctes mais la forme était trop la même à chaque fois.

Kafka a réussi à rendre une situation extraordinaire, banale voire anodine et c'est ça qui me laisse sur ma faim.
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J'avais lu ''La métamorphose'' au collège je n'avais pas aimé.

Je suis contente d'avoir voulu relire ce livre car j'ai beaucoup apprécié sa lecture.

Gregor Samsa se réveille un matin transformé en insecte. Employé modèle sa première préoccupation est de se rendre à son travail. En effet c'est lui qui assure avec son salaire l'argent pour faire vivre ses parents et sa soeur Grete.
Évidemment, Gregor se rend compte rapidement qu'il lui est impossible d'aller travailler.
Au début sa soeur assure sa survie mais petit à petit il est clair qu'il devient un poids pour toute la famille...

A travers une situation absurde : un homme qui devient un insecte, Kafka nous fait réfléchir sur la place que l'on occupe, le regard des autres...
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La Métamorphose, Franz Kafka. Terrifiant et sidérant. L'histoire de ce triste garçon qui se transforme en bestiole à carapace a définitivement imprégné ma mémoire d'adolescente. La prof de français nous l'avait fait lire classe de 1ère. Un texte sur la transformation du corps, la solitude dans la douleur, l'exclusion, la maltraitance, la méchanceté et tout cela dans une ambiance dure, froide, culpabilisée et atroce.
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Un livre dont j'avais souvent entendu parler. Un classique mais au sujet étrange : un homme se réveille un matin transformé en cafard. Quelle horreur ! Déjà parce que rien ne me rebute plus que cette bête immonde et ensuite comme sujet pour passer une bonne journée il y a mieux. Je me suis décidée à le lire aujourd'hui pour ne pas risquer de passer à coté de quelque chose. Bon ce n'est pas vraiment ma tasse de thé comme livre mais j'avoue que c'est dérangeant. Cet homme transformé en cafard est moins immonde que sa famille qui, elle , est restée "humaine". Les parents de cet homme sont des parasites qui ont bien profité de lui avant sa transformation, l'empêchant de vivre. Cet homme s'est littéralement abruti de travail pour aider sa famille avant de se rendre compte après sa transformation que sa famille aurait pu agir autrement. Ils vont finir par le détruire en se convaincant que cette bête n'est plus un membre de leur famille. Ah les gens bien pensant ! La morale est toujours de leur côté ! Bref l'horreur n'est pas du côté que l'on croit !
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Peut-on écrire un tel roman sans avoir une image monstrueuse de soi-même ?

Peut être n'est-il pas bon de trop attendre d'un auteur iconique, dont on a retardé si longtemps la rencontre (comme ce fut le cas pour moi d'un Oscar Wilde) d'un roman porté au firmament par des générations de lecteurs. de se délecter à l'idée de bientôt faire son entrée dans une grande famille d'adulateurs gourmets, de déjà partager des pensées savantes...

Et je m'attendais surtout à être dérangé, voir perturbé, à entrer dans une écriture et une illustre histoire maculées d'étrangeté, à me faire déglinguer par un point de vu totalement étranger à mon monde, cette Inquiétante Etrangeté...

J'ai ici surtout découvert une oeuvre sur la douleur, celle d'une vie rétrécie qui s'efface car, plus que le récit d'une déchéance pour moi, c'est celle d'une disparition dans une solitude totale.
Et si étrangeté, il y a, avant même l'esquisse de cette société que l'on imagine Orwellienne (car lecture qui vient bien après d'autres rencontres littéraires ou cinématographiques, façon Brazil, Bienvenue a Gattaca, cauchemars en tous genres qui façonnent déjà notre culture), elle est dans cet "amour familial" que l'on soupçonne dés les prémices de n'être "pas clair". Au mieux, on voudrait sauver la part de cette soeur attentionnée derrière la porte. Sans savoir qu'elle est en réalité la dernière touche à cette disparition, ce plus que délitement des rapports entre ces êtres qui faisaient en apparence groupe, famille, Humanité, ce renoncement à l'Humanité, ce renoncement à soi.
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Hasard. J'ai donc expérimenté mon devenir-cafard juste après avoir expérimenté mon devenir-homme, le tout grâce à Kafka. Précédemment, en effet, j'avais eu entre les mains « Rapport à une académie », où un singe rapportait à une académie très sérieuse, le récit fantastique de sa métamorphose en homme.
Et voilà qu'à présent, l'homme, n'importe lequel - Gregor, moi, vous… - se transforme en cafard. C'est la femme de ménage qui le dit ; mais on est bien obligé de voir d'abord que l'homme, écrasé par une pression sociale incommensurable, ne peut s'en sortir que par la petite porte. Comme d'ailleurs, le singe en cage de Kafka était devenu homme, un jour, en passant par cette même petite porte.
Or, comment se fait-il que tout l'entourage de Gregor devienne si facilement familier avec un cafard ?
Tout ce défilé d'images était trop sérieux. Il ne reste plus qu'à en rire.

Je branche mes écouteurs pour terminer sur une chanson de Polnareff
“…Moi, dans la maison vide, dans la chambre vide…”
Les couplets, un brin nostalgiques, laissent place à un refrain résolument entraînant.
Cette chanson conclut excellemment un podcast de radiofrance, qui reprend une adaptation de la “Métamorphose” avec le comédien Claude Rich.
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