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Critiques filtrées sur 2 étoiles  
En février 2007, Jean-Paul Kauffmann part, en famille, à Kiliningrad, fêter le deux centième anniversaire de la bataille d'Eylau.
À partir du célèbre tableau du baron Gros, il nous décrit , minutieusement , cette victoire ensanglantée de Napoléon , contre les russes, description historique remarquablement restituée par l'auteur .
Pour notre plus grand bonheur de lecteur, l'écrivain sait faire diversion.
Il nous decrit ses promenades dans l'ancienne Koenigsberg, patrie de Kant, nous conte des anecdotes familiales, et, nous parle avec tendresse du colonel Chabert, héros balzacien , double de Kauffmann .

Un grand livre comme la plupart des oeuvres de l'auteur
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L'auteur semble n'avoir rien a dire dans ce livre, sinon exprimer un malaise existentiel du fait d'un sentiment d'exclusion sociale qui parait l'avoir accompagné depuis son enfance. Comme cela ne suffit pas a faire un livre, il a bien fallu broder autour et cela donne un verbiage que l'on hésite a qualifier de vide ou d'abscon. Au passage, on a droit aux tentatives de rapprochement plus ou moins convainquant de ce que l'auteur percoit comme une exclusion personnelle et du destin du colonel Chabert dans le roman de Balzac Quand a la bataille d'Eylau elle-meme, l'auteur n'hésite pas a en faire une sorte de méli-mélo a la limite du mystique, en croyant bon de légitimer le point de vue des historiens russes qui, bien évidemment, en font une presque victoire nationale en niant purement et simplement la grande charge de cavalerie menée par Murat qui a écrasé le gros de l'infanterie prusso-russe.

Il se peut que je sois injuste avec ce livre, mais certainement pas autant que ne l'est l'auteur avec Joachim Murat et surtout le brave colonel (plus tard général) Marcellin Marbot qui nous a fait dans ses mémoires un compte-rendu aussi clair que possible de cette bataille a laquelle il a participé tant en premiere ligne que dans le role de l'observateur privilégié en compagnie de l'état-major du maréchal Augereau.
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A la fois récit de voyage et évocation historique de la bataille napoléonienne de Eylau, le livre mêle passé historique, passé personnel, histoire contemporaine et reconstitution commémorative . L'ensemble est chaotique, parfois difficile à lire . On reste sur sa faim car la finalité du texte n'apparaît guère .
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Très bien écrit. Dès les premières pages j'ai vraiment eu envie de suivre l'auteur sur les traces de l'ancienne URSS, dans ces villes d'Outre-Terre de l'oblast de Kaliningrad, sur les traces de la terrible bataille d'Eylau ...

Mais, j'ai abandonné au bout de 100 pages. Difficile de suivre l'auteur qui passe sans transition de sa visite en 2007, au Napoléon d'Eylau, à celui de Sainte Hélène, aux considérations générales sur l'Empereur.

Un peu trop gris aussi, sans doute, comme la couverture et le ciel d'Eylau, en cette période de confinement ...
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