J'avais choisi ce livre un peu au hasard, sans connaître l'auteur ou l'un de ses romans. J'ai donc plongé dans le monde du personnage principal :
Jane Howard. La première chose que je me suis dite c'est « Whaou, elle manque sérieusement de chance celle-là ! ». Et c'était peu dire. Les drames se suivent, surprennent, émeuvent.
On a vraiment l'impression qu'elle va payer le prix fort pour avoir, selon sa mère, « provoquer » le départ de son père. Pour autant, Jane fait preuve d'un courage extraordinaire et semble se relever malgré tout. Jusqu'au GROS DRAME auquel je ne m'attendais pas du tout, que je n'ai pas vu venir. Là, c'était dur. Mais la force des mots choisit par
Douglas Kennedy m'a vraiment parlé, touché. le titre
Quitter le monde, prend alors tout son sens. Parce que Jane va tout faire pour fuir la réalité, fuir la vie, disparaître…
Je garde un souvenir très précis de certains passages du livre, qui m'avaient vraiment noué la gorge… On ne s'ennuie pas du tout avec
Quitter le monde entre les mains. C'était une belle première rencontre de l'auteur.