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4,3

sur 5051 notes
Paul Sheldon, écrivain réputé pour sa saga sur Misery est victime d'un accident de la route alors qu'il quittait son hôtel. La saga sur Misery est purement commerciale, elle se vend bien et fait plaisir à son éditeur, mais il a décidé d'y mettre fin en tuant son personnage, pour se consacrer à l'écriture de romans qui lui correspond.
Annie Wilkes, son admiratrice numéro un, comme elle aime lui dire, vient en aide à son auteur préféré en le sortant de sa voiture pour le soigner chez elle.
Et là, c'est le drame.
Sa bienfaitrice va devenir son hystérique geôlière.
Il a décidé de tuer Misery dans son dernier roman, mais cela ne convient pas du tout à Annie. Elle exige qu'il écrive une suite rien que pour elle, en faisant revenir son héroïne.

CHEF D'OEUVRE qui a encore toute sa place dans la littérature contemporaine, malgré ses plus de 30 ans au compteur.
Séquestration glaçante, écrite avec brio, d'une plume acérée mettant l'accent sur la psychologie d'une femme psychotique et sur les phases que peut traverser un écrivain.
De la page blanche à l'inspiration, décrite ici par S.King comme un trou dans la feuille. Trou dans lequel, une fois absorbé, l'écrivain bonifie cette inspiration.
J'ai également vu en Annie Wilkes, la personnification de l'addiction à de quelconque substance, puisque Paul Sheldon n'a jamais aussi bien écrit depuis qu'il est séquestré, comme lui même le dit. D'un côté il est sevré d'alcool et de réveils matinaux aux côtés de femmes récupérées au bar, et de l'autre côté il a besoin de sa dose de Novril pour se sentir bien. Dose que lui procure sa tortionnaire, qui l'inspirera pour faire revenir Misery d'entre les morts.
Et que dire d' Annie Wilkes, infirmière à la retraite, dérangée du ciboulot, mais loin d'être idiote. S.King dépeint un personnage victime d'une maladie mentale, avec ses excès de colère, ses moments d'absence et sa bienveillance épisodique, d'un réalisme effrayant.
Outre le côté psychologique, certaines scènes font froid dans le dos. L'hémoglobine n'a pas à rougir face à Annie Wilkes.

Je classe Misery parmi les meilleurs romans du maître de l'horreur. A lire absolument. Thriller psychologique flirtant avec la terreur, je vous annonce des soirées angoissantes à tourner ses pages.
Kathy Bates, interprète d' Annie Wilkes dans le film, a reçu un oscar pour sa performance. J'ai hâte de le visionner.
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Avec Stephen King, pour ma part, c'est souvent quitte ou double... je ne sais jamais si je vais adorer ou si je vais trouver ça plutôt fade.
Bizarrement, Misery m'a laissé, pour la première fois, plutôt entre les deux.

Un écrivain blessé, Paul Sheldon, est "soigné" par sa fan numéro Un, Annie Wilkes, infirmière psychopathe, radiée, mais autonome, antisociale qui n'a aucun contact avec l'extérieur. Annie exige que Paul, qui a fait mourir Misery dans son dernier roman, la ressuscite dans un nouveau livre !

Une écriture fabuleuse mais qui, selon mon avis personnel, ne suffit pas à "relever le niveau". Au final, peu d'action dans ce roman, il s'agit d'un huit-clos. Les personnages sont certes attachants et troublants, mais qui n'ont pas suffit à créer l'angoisse. Tout cela s'est confirmé lors de la lecture de la fin ou aucun retournement de situation n'est apparu. Une fin très attendue ....
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Comment d'écrire un livre comme Misery ? Intriguant, stressant, psychologique. C'est ce que nous livre Stephen King dans son oeuvre très à part des autres. Ici pas de de fantômes, de monstres mais tout aussi flippant.

Nous faisons la connaissance de Paul Sheldon auteur à succès d'un roman du nom de Misery. Un jour l'auteur décide de la faire mourir pour sa consacrer à d'autres romans, mais le soir, après un accident de voiture, il est recueilli par Annie Wilkes ancienne infirmière et c'est la que le cauchemar va commencer.

L'oeuvre de Misery est sans conteste l'un des meilleurs roman de Stephen KIng nous côtoyons la psychologie de Paul Sheldon et notamment ses sentiments, ses envies mais aussi un besoin d'écrire, mais au côté d' Annie Wilkes l'homme va subir les pires vices de sa fan numéro 1 à tel point qu'elle le brisera mais Paul aura une volonté sans faille et utilisera sa ruse et poussera Annie à être prise dans son propre jeu plus particulièrement à la fin où j'ai même dit à ouais quand même ! Mais ce cauchemar laissera à l'homme de graves séquelles.

De plus l'auteur nous dresse une histoire écrite par Paul Sheldon à tel point que Stephen King s'identifie avec le héros. Il vrai que L'auteur, dans un autre roman à créé comme héros un écrivain.

Un roman incontournable qui a été adapté sur grand écran tout aussi exceptionnel avec de grands acteurs.
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Mon quinzième King est un thriller en huis-clos :
un écrivain blessé, Paul Sheldon, est "soigné" par sa fan numéro Un, Annie Wilkes, infirmière psychopathe, radiée, mais autonome, antisociale qui n'a aucun contact avec l'extérieur. Annie exige que Paul, qui a fait mourir Misery dans son dernier roman, la ressuscite dans un nouveau livre !
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Pourquoi trois étoiles ? Parce que, subir la folie de proches, je connais : c'est lourd, et on n'est pas sûr d'en sortir "par le haut".
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Cependant, je dois admettre que, comme toujours, le King s'en tire bien, et ce, pour plusieurs raisons :
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L'horreur est à son comble.
Je n'en parle pas.
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Le thème trouvé est génial.
L'idole d'une folle qui a tué 30 personnes se trouve à sa merci. Que va faire Paul ? Que va faire Annie ? Qui va s'en tirer ? King arrange un double chantage : " tu me ressuscite Misery et je ne te tue pas" ; "D'accord, je la ressuscite, mais l'écriture du nouveau bouquin va durer un certain temps " (parce que tu vas me tuer après ) .

La description de la maladie est réaliste.
Annie, schizophrène, paranoïaque, névrosée, toutes folies imaginables cumulées, perverse narcissique, vicieuse, petite fille, dragon, mère, infirmière, criminelle multi-récidiviste non attrapée, ( pourquoi, d'ailleurs ?) est en partie ce que je retrouve dans certaines de mes proches perverses narcissiques, hantées par les démons, ou invoquant le vaudou, ou vengeresse, orgueilleuse ou avide, .... Ce qui est bien similaire est la montée de colère imprévisible déclenchée par un fait bénin. Mais aussi, la façon de retourner la situation en sa faveur : "Ce jeune flic, c'est vous qui l'avez tué." Stephen King montre bien tout cela.
Il y a longtemps, nous avons visité l'hôpital psychiatrique de Brienne : je me souviendrai toujours de la mamie tranquille qui cousait : "qu'avez vous fait ?" "J'ai tué ma mère." ; le "diplomate" qui ne se séparait jamais de son attaché-case ; l'homme qui se tapait la tête contre les murs à longueur de journée ; la femme-panthère, qui ne supportait aucun vêtement, enfermée dans une cage en verre, et qui lapait dans une écuelle.
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500 pages...et l'humour malgré la situation.
Comment une situation pareille peut-elle tenir 500 pages ? Eh bien, c'est tout l'art du King ! D'abord, il y a Annie, sa personnalité variable, ses sévices mentaux et physiques,
"Antisocial, tu perds ton sang froid.
Repense à toutes ces années de service.
Antisocial, bientôt les années de sévices,
Enfin le temps perdu qu'on ne rattrape plus."
Et puis il y a Stephen... Euh, je veux dire Paul, et son imagination, Paul qui crée des personnalités sur les personnes réelles ( le cow boy à la Chevrolet Bel-Air, le "bleu", David et Goliath, la Déesse-Abeille ), et qui invente des personnages, non seulement pour "Misery", mais aussi dans sa chambre :
l'horrible machine à écrire édentée est affublée du surnom de Ducky Duddles ;
les premiers essais en fauteuil, alors que Paul souffre le martyr, sont suivis et encouragés par un commentateur sportif enthousiaste. Tout cela contribue à lui garder son mental.
En ce sens, je rapproche Paul de Ritchie plus que de Bill dans "Ça". le sens de l'humour US de l'auteur est incommensurable, surtout dans les situations les plus dramatiques.
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Ce qui m'a le plus intéressé est la méthode de travail de l'écrivain Sheldon, explicitée par un pro, King.
"Le trou s'était ouvert" : expression utilisée plusieurs fois pour indiquer que ça y est, l'écrivain a changé de "monde", est passé du réel au "romanesque", et qu'il embraye la seconde, que l'inspiration vient, et l'écriture défile.
"Paulie, saura-tu ?" : mettre une situation en place et laisser en plan pour que l'enfant, ou l'apprenti-écrivain développe son imagination, et trouve une suite ou deux possibles: "saura-tu" trouver la suite ?
"Il faut que" : si toutes les ménagères ( 1 )de France et de Navarre délaissent le repas du mari parce qu"il faut" que je regarde la fin du feuilleton, "il faut que" je sache comment ce roman finit, c'est gagné ! Et de parler de fan club des auteurs comme ceux des chanteurs ou des footballeurs...


( 1 ) C'est King qui dit ça,en 1987, ... Moi je dis que les mecs aussi, on veut savoir comment ça se finit ! ...Et d'ailleurs, en 2018, il n'y a plus beaucoup de "ménagères"... Lol.
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J'étais plutôt dubitatif lorsque j'ai eu le livre en entre les mains, surtout lorsque j'ai vu la grosseur. Il faut dire que mes rencontres avec Stephen King ne s'ait pas forcément bien déroulé jusque là. Je critiquais surtout l'auteur pour ses tartinées de descriptions et passages sans actions. On m'avait soufflé dans l'oreillette « Prends Misery, tu vas voir ». Bien, bah j'essaye alors. Misery du titre original de Misery parut en 1987. Riche période que ces années dans le fantastique et l'horreur, dommage que ce temps soit révolu. On trouve désormais des titres de fantaisie (fantasy) à la pelle. Mais là, n'est pas le sujet.

Paul Sheldon est écrivain, il a écrit une série de romans du nom de Misery. Voulant passer à autre chose, il décide de tuer son personnage principal de son livre et de se consacré à autre chose. Tellement heureux d'avoir terminé sa saga, qu'il va s'alcooliser (l'abus d'alcool est dangereux pour la santé). Seulement, l'alcool et la conduite ne font pas bon ménage et Paul a un accident dans un coin reculé de l'Amérique. Très gravement blessé, il doit son salut à Annie, qui se dit être la plus grande fan de Misery. Elle l'emmène chez elle et le séquestre. Mais cette femme est imprévisible et qu'elle sera sa réaction lorsqu'elle découvrira que son héroïne préférée est morte ?

L'histoire en elle-même est vraiment sympathique, on voit à quel point Annie devient cinglé. L'horreur est là et très bien dosé avec des pics impressionnant. Certains passages sont très bien écrites et horrifiques. On voit également Paul, l'écrivain, qui semble résigné a ses deux drogues : la novocaïne et l'écriture. J'ai trouvé qu'il était parfois gênant que Paul subisse sans agir, mais qu'aurait-on fait à sa place ? Sur le fond, l'histoire est bien plus personnelle. Stephen King raconte l'écriture, ses motivations, ses techniques et ses inspirations. Je l'ai facilement imaginé à la place de Paul. Quelque fois, je l'ai trouvé un peu prétentieux. Pour finir, je suis agréablement surpris bien que, certains passages soient un tantinet long avec ses réflexions, mélangeant passé, présent et futur.
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Après avoir refermé cet ouvrage, je suis presque sûre que la plupart des lecteurs ne regarderont plus les "bons samaritains" de la même façon. Car ce qui aurait dû être une aubaine, une chance presque, pour Paul Sheldon s'est avérée être son pire cauchemar.

Paul Sheldon est un auteur très connu, ayant gagné pas mal d'argent en écrivant une série littéraire avec pour héroïne une certaine Misery. Sauf que, pour lui, il s'agit presque de sous-littérature, ce qui lui permet de gagner du fric en attendant de sortir un vrai chef d'oeuvre qui sera, il l'espère, encensé par la critique et lui permettra, enfin, de devenir un "grand" et un "vrai" écrivain. Et pour y parvenir, il décide de se débarrasser littéralement de son héroïne, en la "tuant" dans son dernier opus.
Sauf que... Sauf que par une journée particulièrement glissante, notre auteur a un accident de voiture, se retrouvant en bien mauvaise posture et risquant bien de mourir de froid.
Sauf que... Sauf que, sur la route, il a la (mal)chance de tomber sur Annie Wilkes qui se trouve être sa fan numéro un, enfin, surtout, une fan de Misery. Et elle ne va pas du tout apprécier le sort qu'il a réservé à sa tendre héroïne dans son dernier roman. Pour essayer de (sur)vivre, Paul n'a pas d'autre choix que de réécrire son roman avec, cette fois, souhaitons-le, une fin qui plaira à son admiratrice préférée.

Je me suis fendu d'un petit résumé mais, en soi, cela n'était certainement pas indispensable, Misery étant certainement l'un des romans les plus connus de Stephen King. Même sans l'avoir lu, tout lecteur, ou presque, sait de quoi il en retourne. C'était mon cas, évidemment. Je n'avais jamais non plus vu l'adaptation cinématographique, uniquement quelques scènes, suffisamment en tout cas pour donner vie à Annie Wilkes, formidablement interprétée par Kathy Bates (une actrice que j'apprécie beaucoup pour ma part).
Et ce roman, il fout les chocottes. Point d'horreur ou de fantastique ici, si ce n'est l'horreur humaine, et c'est certainement en cela qu'il est terrifiant. Car cela pourrait arriver. Bon, il faudrait vraiment ne pas avoir de bol mais quand on sait ce dont l'esprit humain est capable...

Sincèrement, je n'ai pas vu les 500 et quelques pages passer, je ne me suis pas ennuyée une seconde avec ce livre qui se déroule pourtant en huis clos avec uniquement deux personnages. Et c'est aussi là qu'on peut voir à quel point Stephen King est génial: il arrive à créer tellement de densité que ce face à face est suffisant.

Un beau tour de force pour ce roman que j'oserai qualifier de classique, un passage dans la psyché humaine, dans ce qu'elle a de plus sombre, en passant par le sujet de la créativité et d'une question fondamentale pour moi, encore aujourd'hui: une fois écrit, le roman appartient-il encore totalement à son auteur?

En bref, un classique du King que je vous invite à consommer, en jetant un coup d'oeil par-dessus votre épaule quand même.
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Que dire ? J'aurai mis du temps à le découvrir. Il faut dire que j'avais vu le film en premier et je pensais que le roman n'avait que peu à m'apporter de plus... Erreur ! Un chef d'oeuvre de huis-clos, un grand bouquin ! du Stephen King en majesté avec une idée si simple au départ.
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Je n'ai jamais lu Misery, le roman de Stephen King (dont je ne suis pas fan...).

J'ai vu le film qu'en a tiré Rob Reiner, avec James Caan et Kathy Bates (qui recevra un Oscar pour ce rôle) comme acteurs principaux. C'était il y a très longtemps, mais j'en ai gardé un bon souvenir.

L'histoire est assez simple : suite à un accident de voiture lors d'une tempête de neige, Paul Sheldon, célèbre auteur d'une série de romans dont Misery est l'héroïne, est hébergée par sa plus grande fan, l'infirmière Annie Wilkes. Lorsque celle ci-découvre que l'écrivain réoriente sa carrière et a fait mourir Misery dans le dernier opus de la saga, elle décide de le séquestrer jusqu'à ce que l'auteur fasse revivre l'héroïne dans un nouveau roman. S'en suit plus d'une année d'affrontement entre les deux personnages, dans le huis-clos de la maison de l'infirmière...

Le roman a été adapté au théâtre par William Goldman, qui avait déjà réalisé l'adaptation au cinéma. le huis-clos du roman se prête plutôt bien à une interprétation au théâtre, et le résultat est très réussi : le texte est percutant, et Myriam Boyer et Francis Lombrail le jouent avec force et présence. L'utilisation de la vidéo pour les scènes où l'écrivain sort de sa chambre pour explorer la maison est intéressante.

J'ai juste un petit bémol sur la mise en scène : l'histoire se déroulant sur plus d'une année, il y a beaucoup d'intermèdes entre les scènes pour égrener les semaines et les mois. L'artifice utilisé s'appui sur de nombreuses séquences "musiques+lumières" qui séparent les scènes et qui finissent par paraître un peu longue...
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Excellent roman.
Ce livre est terriblement addictif pourtant il ne présente que deux personnages, Paul et Annie. Mais il n'y a pas une page où l'on s'ennuie, où il ne se passe rien.
Ce roman est digne de Stephen King, il est aussi terrifiant qu'addictif ... Il ne faut pas avoir peur de la vue du sang, ni des tortures.
Notre pauvre personnage de Paul va subir la folie d'Annie de long, en large et de travers. C'est à se demander comment il fait pour subir autant de souffrances et trouver le courage de résister.
En conclusion, on apprend beaucoup sur l'être humain dans ce qu'il y a de plus terrible et en même temps, à quel point on peut supporter juste parce qu'on tient à sa vie ...
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Paul Sheldon est un écrivain qui, après avoir décidé de tuer son héroïne "Misery" est victime d'un accident de voiture, dans un coin perdu... comme par hasard !

La femme qui le sauve et qui, soit dit en passant, est très compétente dans le rôle de l'infirmière (mais pas "infirmière cochonne" désolée) est frappa-dingue.

Totalement addict et in love du personnage de Sheldon, elle lui en veut (le mot est faible) d'avoir fait passer de vie littéraire à trépas son héroïne. Alors, le mettant devant le fait accompli (et devant une machine à écrire), elle le force à ressusciter son personnage. Et de manière plausible, s'il vous plaît ! Sheldon apprendra à ses dépends qu'on ne plaisante pas avec madame l'infirmière frappa-dingue.

Huis clos infernal, dantesque, exceptionnel entre ces deux là, la victime et sa tortionnaire, entrecoupés des passages où Sheldon fait revivre son personnage, contrastant farouchement avec le style sombre, violent, oppressant de Stephen King puisque Misery fait partie de la littérature à l'eau de rose.

On peut difficilement reposer le livre, par contre, on serre les dents lorsque madame Infirmière Barbare s'amuse à faire mal à l'écrivain. On ne risque pas de l'entendre hurler, ils sont dans un trou perdu.

En tout cas, les sévices de font pas dans la dentelle.

Une plongée dans l'univers de King d'où vous ressortirez secoué, ébranlé, comme je le fus il y a très, très longtemps.


Lien : https://thecanniballecteur.w..
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