AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,8

sur 47 notes
5
4 avis
4
5 avis
3
0 avis
2
0 avis
1
0 avis
Bleach faisant partie de mes séries préférées, il était inconcevable que je passe à côté de Burn the witch. A peine acheté, à peine lu, et franchement j'adore. On sent une certaine ressemblance avec Bleach (si mes souvenirs sont bons les deux univers cohabitent d'une certaine manière) et en même temps, on découvre quelque chose de tout à fait original.

Déjà parlons de l'objet. J'adore le travail de Glénat, avec cette jaquette magnifique, tout à fait dans le délire du manga, une couverture à la Tite Kubo, une double illustration (petit plus que j'adore toujours) et une qualité dans la réalisation globale de la mise en page. En même temps, avec Glénat pas trop de soucis à se faire, ils connaissent leur travail.

L'histoire ensuite. Si je dis qu'il y a un certain parallèle avec Bleach c'est qu'on retrouve des êtres dotés de pouvoirs (les sorciers et sorcières) qui doivent protéger la population d'êtres invisibles (les dragons). Shinigamis/Hollows dans une version européenne. J'adhère au concept sans souci, surtout que ce côté fantaisie est très sympathique. Et on sent, encore une fois, que le mangaka gère tout à fait son univers. Il y a de nombreuses règles, une mythologie bien particulière et un monde où tous ces êtres magiques évoluent.

Nous suivons Noel et Ninny, deux jeunes sorcières qui à la base ont plutôt des missions pacifiques avec les dragons. Mais elles se retrouvent à devoir en affronter plusieurs durant ce premier tome, les faisant petit à petit basculer vers une autre branche de la société Wing Bind. le duo est assez détonant. Noel est plutôt du genre calme, rien ne la perturbe, très efficace. Ninny, c'est l'inverse total. Débordante d'énergie, elle ne reste pas en place et se met rapidement en colère. Elles s'apprécient beaucoup, mais elles le cachent bien. Vous voyez le genre ? Et rien que pour ce duo, cela vaut le détour.

L'élément déclencheur vient d'un personnage masculin : Balgo. Transi d'amour pour Noel, le pauvre va se voir embarquer dans une aventure pas possible. Il est du genre un peu niais, on ne va pas se la cacher, mais il semble aussi un très gentil garçon. C'est clairement, l'élément comique du manga. Mais, même si c'est à ses dépends, il apporte cette touche plus légère qui équilibre très bien l'ambiance général. Et puis il est tellement chou qu'on ne peut que s'attacher à lui.

Pour un premier tome Burn the witch est efficace, en posant super bien les bases, avec des personnages haut en couleurs, un design toujours aussi léché, une ambiance bien particulière. C'est palpitant, et il y a un énorme potentiel. Franchement, du peu qu'on en voit, il y a pas mal de nuances qui méritent d'être exploitées, et j'ai hâte de voir si le Verso Londres pourrait devenir un monde moins tranchant.

A la base, ce n'était pas censé être une saga, mais clairement, j'espère qu'on aura quelques tomes (pas autant que Bleach quand même) à se mettre sous la dent parce que Burn the witch vaut le coup d'oeil.
Commenter  J’apprécie          390
Voici un manga original et très sympathique au sujet d'un monde parallèle, le Londres Inversé, où vivent les dragons (au sens large, ce sont des créatures magiques) et des sorcières chargées de les empêcher de nuire. Car si la plupart de ces dragons sont pacifiques et même utilisés pour diverses fonctions, certains peuvent devenir maléfiques et sombrer dans le côté obscur, devenant des « dark dragon ». Une personne ainsi être « endragonnée » ce qui nécessite une intervention pouvant aller jusqu'au « dragonfinement ». Dans ce manga, un dragon n'est pas seulement le gros monstre cracheur de feu à la Smaug, c'est, en gros, à peu près toutes les créatures surnaturelles et magiques, lesquelles peuvent d'ailleurs servir de simples pot de fleurs ou…alimenter en énergie la cité.
L'auteur avance vite et ne traine pas dans son intrigue : au lieu de présenter son univers par touches successives il plonge directement le lecteur dans le grand bain. Plouf ! Avec plusieurs personnages principaux et un univers relativement complexe le début peut paraitre ardu mais, en réalité, le lecteur s'accroche rapidement à quelques points de repères. Les protagonistes sont bien typés, un peu cliché mais agréables et attachants. Les deux sorcières se nomment Noel et Ninny, l'une voulant rester du côté pacifique de leur mission de protection, l'autre désireuse de rejoindre les Sabers, autrement dit l'élite amenée à se castagner avec les créatures légendaires. L'auteur introduit donc un système de points et une sorte de classement qui vise à sélectionner les sorcières les plus méritantes pour intégrer la crème de la crème des unités anti-dragons. Cela reste, dans ce premier tome, à l'état d'ébauche mais le succès permettra la sortie d'un deuxième volume afin, probablement, d'approfondir les questions laissées sans réponse. Cependant, pour autant, l'intrigue n'est pas confuse ni trop complexe : le lecteur assimile sans grande difficulté ce monde de fantasy urbaine. Un Verso Londres étoffé et cohérent une fois passé la découverte, quelque peu déstabilisante, de ce monde magique. L'humour est également bien présent avec le déjanté Balgo, un adolescent ordinaire embarqué malgré lui dans cette histoire suite à son obsession pour Noel…dont il veut absolument voir la culotte. BURN THE WITCH constitue au final une découverte des plus plaisantes, d'autant que le tome, tout en laissant la porte ouverte à de futures développements, se suffit à lui-même et propose 250 pages d'aventures, de fantastique et de comédie. Une bonne pioche !

Lien : http://hellrick.over-blog.co..
Commenter  J’apprécie          40
Premier tome de ce manga qui nous plonge directement dans Verso-Londres où sorcières, dragons, chiens et autres êtres se chassent mutuellement. J'aime déjà les personnages, Noël, Ninny et Balgo. Je suis impatiente de lire le tome 2. Les dessins des doubles pages donnent un avantage à ce manga par leur beauté et leur qualité.

En quelques mots : un plaisir à lire et à regarder.
Commenter  J’apprécie          20
Ce manga ne doit pas avoir peur de la comparaison avec Bleach qui va lui tomber dessus à chaque lecteur tenté car il se suffit à lui-même et LARGEMENT! Des dragons, des sorcières.... des raisons bien suffisantes pour tenter l'aventure et quand à quelques bulles du départ on parle déjà de culotte je dis BINGO !
Ce récit totalement loufoque a pour atout une bonne dose d'humour et des designs de dragons vraiment sympas. J espère que la suite sera vite au rendez-vous car il y a matière à en faire une série passionante (et qui ne tombera peut être pas dans le schéma un peu répétitif de Bleach).
Commenter  J’apprécie          20
De l'aveu même du mangaka, ce premier tome représente une « première saison », c'est à dire une histoire complète mais qui comporte un contenu suffisant pour générer une continuité si les conditions le permettent !
Difficile de lui donner tort.
Si cela pouvait permettre à l'artiste d'éviter d'être contraint par une production continue nécessitant un travail d'écriture particulier, son style caractéristique n'en ressortirait que gagnant. En effet, le style de Kubo fait qu'ici la magie est représentée avec un ton décontracté, parfois facétieux, mais avec une réelle présence. Un quotidien où le trivial et la magie se côtoient, se percutent et ne se séparent que si un exercice de pouvoir s'en mêle. C'est le Japon moderne « à la cool», «stylé», aussi poseur qu'énergique, que Bleach avait déjà exprimé pour se singulariser de ses concurrents.
Burn The Witch perpétue, optimise même, cette expressivité à travers le quotidien tumultueux de nos deux héroïnes. Jeunes femmes d'action et de choix, elles nous charment et nous font découvrir les contraintes et les opportunités de leur environnement magique. Beaucoup d'action mais aussi pas mal d'humour. Ce dernier étant essentiellement situationnel, il ne casse jamais le rythme trépidant, ni ne ridiculise les quelques fondamentaux posés pour donner corps au monde.
Et si on doit rassurer les allergiques aux académies de magie, les sorciers de Kubo se comportent plus comme des artistes, des « performeurs », que comme de simples étudiants. Tite Kubo insuffle la magie comme un artiste urbain, autant musicien des mots que graphiste. Une posture artistique qui peut sembler facile, mais qui a le mérite d'être accessible et vivante. Et de bien correspondre à la patte du mangaka. Quelle que soit l'opinion, ou la critique, à l'encontre du talent de Tite Kubo, il est difficile de lui enlever sa capacité à iconiser des personnages. Et Burn The Witch continue de le démontrer, notamment dans ses scènes d'action lisibles et percutantes, délivrées comme de véritables moments signatures. La suite nous dira si certaines figures hautes en couleur deviendront vraiment mémorables.
Un premier volume de 260 pages généreux et satisfaisant : à la fois une histoire courte divertissante et un arc narratif introductif séduisant. Plus facile à dire qu'à faire, et Tite Kubo semble s'exprimer avec aisance, sans renier ni trop paraphraser ce qui a fait le sel de Bleach dans ses heures de gloire.
Lien : http://www.elbakin.net/fanta..
Commenter  J’apprécie          10
Les dessin son très beau également.
on pourrais croire que en 1 Tome il ne se passerais rien ou alors qu'on ne comprendrait rien ! Mais au contraire avec seulement 1 manga Tite Kubo à réussi à créer quelque choses de génial ! On pourrais croire avoir regardez une saison de plusieurs épisode et l'histoire tien debout sur certain point, l'histoire et simple et facile à comprendre.

[spoi]
Je n'ai pas compris le lien avec l'univers de Bleach, dans Bleach on suis des Shinigami, Humains, Hollow (esprit) ect et dans Burn The Witch on suis des sorcières et des Dragon.
Mais ! Peut-être que Tite Kubo pourrais reprendre Burn The Witch avant ou après avoir sortie la saison final de Bleach. Se serais cool on pourrais peut-être ainsi mieux comprendre le lien entre les deux Manga/Anime.
Commenter  J’apprécie          00
On ne présente plus Tite Kubo et son fameux shonen manga Bleach qui a ravi bon nombre de fans et qui continue à être un shonen demandé.

Burn the witch signe donc le grand retour de Tite Kubo pour une nouvelle série qui, tout comme dans Bleach, s'amuse à jongler entre deux mondes, le monde réel de Tokyo et le monde spirituel de la Soul society. Dans Burn the witch , l'intrigue règne cette fois entre Londres et Verso-Londres, sa face cachée dans laquelle les habitants, et plus spécifiquement les sorcières et les sorciers sont en contact avec des dragons... Mais les dragons qui possèdent dans ce manga moultes formes ne sont pas tous amicaux. La plupart d'entre eux sont apprivoisés et possèdent une fonction utilitaire mais, par contre, quelques autres basculent dans le "mal" et peuvent devenir incontrôlables aussi bien pour Verso-Londres que Londres tout court. Dans ce genre de situation, nous suivons deux sorcières chargées de réguler la menace dragonique : Ninny Spangcole, une chanteuse au caractère survolté et Noel Niihashi, une lycéenne à la fois posée et redoutable.

Avec énergie, Tite Kubo nous embarque directement dans sa nouvelle série. Personnellement, j'ai été un peu pris au dépourvu au départ, le temps de saisir un peu toutes les informations autour des dragons, autour de leur apparition et de leur contamination néfaste sur les humains. Il y a vraiment une certaine générosité au niveau de l'intrigue et au niveau du cadre mais les informations et les bastons s'enchainent assez vite et il faut quand même prendre le temps de digérer tout cela. J'ai été un petit peu dépourvu au départ mais on se prend vite au jeu en sachant que ce titre s'affinera sans doute de tome en tome.

La figure du dragon, notamment, peut-être un peu confuse au départ parce que le dragon chez Tite Kubo revêt plusieurs formes et pas forcément l'image d'Epinal qu'on se fait de la légendaire créature reptilienne. Tite Kubo reprend un design à la fois épique et étrange pour représenter ses différentes créatures. Leurs apparitions n'en demeure pas moins efficace allant du curieux monstre à la face tranché à la créature de conte en passant par un adorable petit "chien-dragon". On peut aussi mentionner les dragons-objets tels que les pots de fleurs , les centrales électriques sur pattes ou encore des dragons immenses dont les narines dissimulent de véritables vignes. En somme, dans Burn the Witch , le dragon, c'est tout ou rien !

On se prend au jeu car cela donne un imaginaire assez fourni même si j'attends encore d'être surpris par une épique menace draconique.

Ce qui se révèle de plus attachant dans Burn the witch, ce sont ses personnages. le duo de sorcières est bien réussi, bien écrit. Leurs caractères opposés ne sont pas traités de manière stéréotypés mais se révèle plus ou moins nuancés. Les personnages secondaires ne sont pas en reste avec, notamment, le patron un peu nonchalant et gonflé qui cache bien son jeu ou encore le garçon pervers qui peut agacer mais dont je trouve le côté béta et débile assez attachant, notamment dans sa relation avec l'une des héroïnes. de ce point de vue-là , Tite Kubo nous prévoit une petite galerie de personnages charismatiques comme il en a le secret même si, pour l'instant, nous n'avons pas encore l'ombre d'un bad guy charismatique ce qui est bien normal.

Ce premier volume, qui devait tout simplement être un one-shot à la base est avant tout un volume d'exposition dans lequel les chapitres opposent essentiellement quelques confrontations entre nos deux sorcières et les dragons. Pas de fil conducteur pour l'instant mais toujours est t-il que Burn the witch possède du style et du panache visuel.

On se régale devant le dessin de Kubo qui affiche un style très cool avec un chara-design varié avec une petite mention spéciale pour le lettrage et le style graphique des noms des personnages comme on peut le voir sur la double-planche présentant les membres du Topof Horns. de ce côté-là , on peut saluer sans hésiter la bonne qualité du travail d'adaptation et de traduction de l'éditeur glénat. du très bon boulot jusqu'à une première de couverture écarlate au titre percutant. C'est tout simplement accrocheur ! Petit regret toutefois par rapport à une Londres et des décors qui ne sont pas encore tout à fait exploité, notamment à travers la différence Londres / Verso-Londres qui est un petit peu ambiguë.

Un premier tome prometteur qui permet de faire tranquillement connaissance avec des nouveaux héros tout en charisme et des bêbêtes draconiques tantôt curieuses, tantôt menaçantes. . On peut attendre de voir si l'essai est transformé dans le second tome notamment au niveau de la solidité de l'intrigue et de la mise en valeur de ce Verso-Londres mais toujours est t-il que Tite Kubo fait indéniablement preuve d'un style visuel fort dynamique et tout simplement attrayant.
Commenter  J’apprécie          00
Je sais que ce titre était attendu de beaucoup de fan du mangaka. Pour ma part, je n'ai jamais lu bleach. J'avais vite fait vu le premier épisode de l'anime, car mon chéri avait insisté, mais je n'avais jamais continué. Donc, lire cet auteur est pour moi une première.

Dans l'univers qui nous est proposé, nous nous retrouvons au Royaume-Uni, plus exactement dans la ville de Londres. Une ville où les dragons existent vraiment, mais ne sont visibles que par les personnes étant dans le verso de Londres.

C'est ainsi que nous allons rencontrer deux personnages en particulier, deux jeunes femmes aux caractéristiques bien à elle. Ce sont deux sorcières, faisant partie de la Wing Blind et pouvant traquer les dragons. C'est ainsi que nous allons suivre le quotidien de ces deux jeunes femmes.

L'histoire est prenante et vraiment bien fait. Au départ, j'avais un peu de mal à rentrer dedans, car l'auteur prend le temps de nous expliquer l'univers dans lequel nous nous trouvons. Mais une fois cela passé, les pages se lisaient toutes seules et je n'ai pas vu le temps passer.

En bref, l'histoire est vraiment intrigante. de plus, j'apprécie beaucoup les deux personnages principaux et l'univers. Un manga à surveiller de près et qui me donne, pourquoi pas, l'envie de m'intéresser d'un peu plus près aux autres oeuvres du mangaka.
Lien : https://lapommequirougit.com..
Commenter  J’apprécie          00
C'est une sortie que j'attendais avec beaucoup d'impatience. J'avais hâte de retrouver le mangaka de Bleach avec sa nouvelle sortie. le résumé me tentait vraiment beaucoup, mêlant sorcières et dragons ça ne pouvait que me plaire. du moins sur le papier. Et ce fut le cas. J'ai vraiment beaucoup aimé ce premier tome et j'ai déjà très très hâte de découvrir la suite. Ce premier opus a clairement attisé ma curiosité et m'a vraiment hypé pour la suite!

On va se retrouver dans un Londres fictif, le Verso Londres plus précisément. Les dragons ne sont pas une simple légende, ils existent vraiment. D'ailleurs la majorité des décès à Londres sont causé par les dragons.. Les londoniens ne soupçonnent en aucun cas l'existence des ces êtres aux formes insolites. Par contre, les habitants du Verso Londres eux sont bien au courant. Et justement ils ont une agence, la Wing Bind, une agence chargé de la préservation et du contrôle des dragons. On va donc suivre deux sorcière, Noel et Ninny..

J'ai beaucoup aimé le personnage de Noel. Elle m'a beaucoup fait rire avec son caractère. le personnage de Ninny également. Mais surtout les voir ensemble c'était vraiment très drôle. Elles passent leur temps à se chamailler, tout le temps. Et c'est vraiment beaucoup beaucoup trop drôle. J'ai beaucoup aimé le personnage de Balgo. Tout comme les filles il est vraiment très drôle. Il est obsédé par Noel et veut surtout voir sa culotte.. Oui oui.. Il finit par se retrouver embarqué dans le Verso Londres vu qu'il est resté trop longtemps au contact de dragons. Mais le pire c'est que Noel et Ninny doivent s'occuper de lui. Balgo, quand à lui, est bien content de pouvoir passer son temps avec les filles!

J'ai beaucoup aimé l'univers du manga. Les dragons ont une place important mais ce n'est pas les dragons auquel on s'attend durant notre lecture. J'ai été très surprise d'ailleurs, perso je m'attendais à des dragons majestueux qui crachent du feu, enfin l'image type du dragon quoi. Mais en fait pas du tout! Les dragons ici ont des formes insolites mais alors vraiment insolites! En effet, les dragons fournissent les ressources essentielles pour que les habitants du Verso Londres pour qu'ils puissent vivre correctement. L'univers est vachement bien travaillé et à vraiment ce côté fascinant.

Ce premier tome nous promet une série palpitante et addictive. Il arrive à nous happer et attiser notre curiosité. J'ai vraiment hâte de découvrir la suite de cette série. Je sens que je vais passer un excellent moment avec Noel, Ninny et Balgo! C'est passionnant et super addictif! Je recommande!
Lien : https://enairolf.home.blog/2..
Commenter  J’apprécie          00
Tite Kubo enfin de retour en France, ça ne peut être qu'un grand évènement pour ceux qui l'ont connu à l'époque du Big 3 (One Piece/Naruto/Bleach) et il n'y a pas à dire, il continue à nous en mettre plein les yeux avec des planches sublimes ultra détaillés et surtout des chara designs très charismatiques comme toujours !
Burn The Witch est une histoire parallèle à celle de Bleach, se déroulant dans le même univers, sauf que tout se passe au VersoLondres (une version inversée de la capitale britannique) sur fond de mythes et légendes occidentales, principalement les dragons. Ceux sont des créatures dangereuses responsables de la majorité des décès des habitants de la ville, mais surtout des monstres que le commun des mortels ne peuvent voir, seuls les sorciers les remarquent et les combattent.
C'est là qu'entre en jeu le duo explosif de Noel, une nippo-britannique, et de Ninny, une célébrité anglaise, qui travaillant en équipe tente de protéger les londoniens pour des raisons bien différentes. La brune souhaite une vie paisible et bien rémunérer, ne pas faire de vagues, alors que la blonde ne jure que par les points, les unes du journal et sa volonté de rejoindre l'élite des Sabers, l'équipe d'extermination de dragons.
En plus de cette paires de jeunes filles hautes en couleurs, il y a Balto, un jeune londonien normal qui se retrouve mêler aux problèmes de VersoLondres et qui est la grosse touche d'humour de la série avec sa simplicité et sa bêtise. Plusieurs autres personnages secondaires sont rapidement révélés, tantôt classe, tantôt amusant, mais qui donnent surtout envie d'en apprendre davantage ! le gros point fort de Burn the Witch est sans contexte son univers très riche, avec un potentiel visible et les clins d'oeil à Bleach sont tout simplement géniaux si on connait la série. J'ai vraiment hâte de lire la suite !
Commenter  J’apprécie          00


Lecteurs (93) Voir plus




{* *}