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Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Que 72 pages lues avec difficulté ! le pitch est attirant tout comme l'ambiance steampunk qui s'y profile, les dessins de Paris sont jolis mais les dessins des personnages ne sont pas agréables !

Par moment j'ai eu l'impression d'être à notre époque alors que c'est de la fantasy steampunk qui vire au fantastique puis tout aussi rapidement je me suis retrouvée dans un manga avec tous les codes que j'ai pu identifier dans le genre !

Une déception à laquelle j'attribue malgré tout 2 étoiles pour le Paris de l'époque et le fonds de l'histoire que j'ai perdu de vue assez rapidement !

Dommage, la couverture est sympathique et m'a promis quelque chose que je n'ai pas retrouvé.

#Wahkan #NetGalleyFrance
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Cette BD est une vrai déception ! Pourtant elle partait super bien !

Nous sommes à Paris, lors de l'exposition universelle. Mais ce n'est pas le Paris que nous connaissons, c'est un Paris steampunk. Un meurtrier sévit dans les parages de la Tour Eiffel et une jeune femme appartenant à la police est chargée d'enquêter sur cette affaire, avec l'aide du nouveau stagiaire.

Cette histoire démarrait vraiment très bien. J'aimais beaucoup le côté steampunk de l'histoire. Nous avions aussi un personnage féminin assez atypique dans ce genre d'univers. Une jeune femme indépendante, forte, qui exerce un métier par facile et dans lequel les femmes sont rares (de ce que j'ai pu comprendre de l'univers). Il y a cette histoire de meurtrier en série. Non vraiment, ça partait bien.

Et puis, très rapidement, c'est devenu du grand n'importe quoi. Les personnages sont devenus de vraies caricatures. L'enquête se poursuivait mais tout était tiré par les cheveux. Les enquêteurs parvenaient à des déductions sans qu'on comprenne comment. Les indices tombaient comme des cheveux sur la soupe. Tout allait très vite, et on n'avait aucune explication. J'espérais que tout s'éclairerait à la fin, mais non absolument pas. On nous a rajouté une histoire de société secrète amérindienne. Mais on n'a vraiment eu aucune explication. Ou alors, vraiment, je ne les ai pas comprises.

Niveau dessins, ça remonte un peu le niveau. J'aime bien le style. Ce que j'aime dans le steampunk, c'est aussi cette grand liberté au niveau des décors, des costumes, de la technologie. Visuellement, c'est assez chouette. Mais ça n'a pas suffi à me faire apprécier cette BD.

Non, vraiment, je suis très déçue !
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Alors. Difficile de faire cette critique car malheureusement, je n'ai pas trouvé beaucoup de positif dans cette BD.

Si : la maquette de la couverture est jolie et bien finie en termes d'effets.

Voilà.
En revanche, le reste ne fonctionne pas pour moi.
Déjà, je sais qu'il s'agit d'un récit steampunk ou du moins fantastique, la version de Paris en 1889 est donc un peu différente de celle qui a vraiment existé. Toutefois, je n'ai pas du tout cru aux deux personnages principaux, ni dans leurs looks (elle passe encore, lui j'ai rien compris. Coupe mi-manga mi-dreadlocks ?) ni dans leurs identités (je ne spoilerai rien). Et puis l'ambiance globale, le langage utilisé, les énormes armes à feu... Tout fait moderne et ne colle pas avec l'habillage souhaité.

J'ai trouvé que tout était déjà vu, cliché et surtout, déjà fait en bien mieux. Ça se veut moderne et punchy mais pour moi, ça tombait à côté. Les interactions entre les personnages sont convenues, clichées comme je l'ai dit juste avant, l'intrigue n'arrive jamais réellement à décoller et la fin...
Certes, ils ont réussi à me surprendre avec la fin, qui est résolue comme une lettre à la poste. Pim pam poum, emballé c'est pesé et hop ! *FIN*

C'est dommage parce qu'on sent que cette BD aurait pu avoir du potentiel, et on a presque l'impression qu'il y a eu des coupes dans la narration (peut-être était-elle prévue en plusieurs tomes à la base ?), ce qui expliquerait cette résolution capillotractée et expédiée.

C'est ma première lecture "ratée" de 2024. On passe à autre chose !
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1889. L'exposition universelle de Paris envoûte la capitale. Néanmoins quelque chose fait tâche : plusieurs corps sont retrouvés au coeur même de la Tour Eiffel.

L'intrépide Éléonore Kowalski enquête sur les meurtres avec un tout nouveau venu : Jules Castignac. Tous les deux vont alors se lancer dans une course folle afin d'arrêter les coupables.

L'ambiance de cette BD est plutôt sympathique, que ce soit l'époque ou le petit côté steampunk. Les personnages sont plutôt stylés : l'enquêtrice aux cheveux roses et son collègue aux dreadlocks sortent de l'ordinaire.
Néanmoins je dois dire que je n'ai pas accroché. Je pense que c'est dû à la construction de l'enquête, assez classique, sans véritable rebondissement et très vite bâclée. C'est dommage l'univers avait l'air chouette. On nous parle d'un mystère avec des légendes exotiques mais ce n'est que très peu développé.

Je n'ai rien à dire sur les dessins par contre je les ai trouvés très beaux. Certaines expressions des personnages sont bien trouvées et sont plutôt drôles !

C'est dommage la couverture envoie du pâté avec pleins de petits détails que je m'attendais à retrouver dans l'histoire mais qu'on voit finalement très peu.

J'ai été un peu déçue !
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Une couverture qui laisse perplexe. Futuriste, steampunk, voyage dans le temps ? Sans lire le résumé, voilà toutes les questions qui peuvent se poser de prime abord vu toutes les informations fournies. Mais quelques pages suffiront à comprendre que le Steampunk aura eu les faveurs des auteurs. 13 ans de dur labeur pour le trio qui a donné naissance au Wahkan !

Si l'intrigue de Maxe L'Hermenier se tient plus ou moins, il y a quand même de quoi en perdre son latin. Rappelons que nous sommes en 1889, à Paris. Or, le personnage principale est une inspectrice de police au célèbre quai des orfèvres. Mais n'étant pas une série historique à proprement parlé, ça passe. de même que la coiffure avec moult dreadlocks de son nouvel assistant ou encore la tenue punk moderne de la secrétaire...en mini-jupe (?!?)

L'histoire fait, quant à elle, penser, au début en tout cas, à Jack L'éventreur. Un tueur en série dans un lieu populaire de la capitale... heureusement que l'auteur révise sa copie pour partir sur d'autres sentiers, hélas déjà souvent battus, mais qui peuvent se dévoiler intéressants. Trop peut-être pour pas assez de pages finalement. C'est dommage.

Le graphisme répond toutefois à l'appel, en rappelant néanmoins les incohérences de styles (surtout vestimentaires) mentionnées plus tôt. Les visages sont expressifs à souhaits, les décors remarquables sans oublier le découpage atypiques qui accroche le regard et font finalement de “Wahkan” une lecture intéressante, mais qui aurait pu être plus cohérente à bien des égards. Débutant sous de bonnes augures pour se perdre un peu au fil des pages dans un album qu'il aurait sans doute été plus judicieux d'allonger en série pour mieux approfondir les thèmes abordés...
Lien : https://sambabd.net/2024/02/..
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