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3,45

sur 5906 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
🙄 j'ai abandonné 😒

Je fais partie de ces lecteurs qui décrochent, et je l'assume totalement, lorsqu'il y a une foultitude de personnages. Ici on est dans un roman historique où les noms de naissance diffèrent des titres qui eux-même évoluent au cours de l'ascension sociale des intéressé.e.s.

Décryptée par Stéphane Bern, ça doit être une lecture fantastique.
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pour moi, c'est d'un ennui ! mortel !!! il paraît que c'est le sommet de la littérature classique grâce à son économie de langage et de sentiments. bof ! nous avons tous cinq sens je crois. et bien là, ils sont bien cachés. c'est soporifique, un des plus grands nanars de la littérature française, un étron qu'on fait subir aux écoliers depuis trop longtemps. plus nul qu'un SAS
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Il y a des livres qu'on ne veut pas aimer. Fidèle à ma promesse, je n'ai pas aimé ce livre d'amour et de moeurs, des thèmes fort cher à mon coeur (c'est de l'humour pour ceux qui n'ont pas compris..). Premier roman psychologique peut être, roman d'un ennui fatal assurément. J'ai d'ailleurs trouvé que ce roman peignait bien plus l'arbre généalogique et les apartés personnelles sans intérêt plus que les sentiments des personnages. L'écriture est fade, on dirait un compte rendu historique sans péripétie. L'histoire est d'une simplicité nullissime...

1 femme et 2 hommes, partagée entre son devoir et sa passion, les enjeux, le respect de la cour de Henri III. Mais c'est tellement mal traité. Il n'y a rien pour ancrer émotionnellement le lecteur dans les espoirs déçus, les stratagèmes, les manoeuvres, les faux pas, les chutes ou les triomphes de quiconque. On ne ressent rien, même un dictionnaire, c'est plus palpitant.

Et puis le message proposé: ferme ta gueule et obéis aux traditions. Un modèle de vertu parait il, franchement, sacrifier sa vie pour quelqu'un qu'on n'aime pas même quand il est mort... Et puis vertu veut dire ici respect des conventions sociales, pas courage, pas morale... le pire, c'est que franchement, à notre époque, elle n'a rien fait d'héroïque au vu de nos normes. A lire si vous êtes de droite...
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C'est vraiment une daube. On a des jeunes issus de l'immigration qui arrive au Lycée en pensant qu'ils vont recevoir un éducation de qualité et on leur sert un texte écrit dans un Français daté qui n'a plus court.

Je comprendrais qu'on le mette dans la spécialité Humanité mais dans le tronc commun ? Ça me laisse rêveur.

J'imagine bien le jeune qui commence son premier job et qui écrit à son client "Aujourd'hui je suis rempli de travail. Je m'occuperais de vous demain".

Heureusement pour les Lycéens c'est un texte plus court que le rouge et le noir et son histoire gnangnan à 2 balles peut se comprendre facilement. Si on recrache le cours du prof, on peut avoir facilement au moins 16/20 au bac.

Finalement ceux qui le défendent ont raison.
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Je ne lirais pas - et ne lirais sans doute jamais - la fin de la Princesse de Clèves, de Mme de Lafayette. Non pas que le livre soit mauvais (cââââlmez-vous, comme dirait le poète), bien au contraire : faire ressentir toute la souffrance liée à un système de pensée auquel on accroche malgré tout, dans une époque de la vie où l'on est constamment assaillis de doutes, parsemé de quelques éclaircies d'espoir et de combats, voilà la meilleure chose qu'on puisse espérer en terme d'écriture de personnages. Seulement, encore faut-il le mettre en scène, et c'est sur ce point précis que Lafayette me dérangeait déjà avec Montpensier, une nouvelle (novelette, dirait-on de nos jours) avec des paragraphes à rallonge et quasiment sans dialogues. Eh bien, La Princesse de Clèves, dites-vous que c'est 500 pages de Montpensier.
Précisons tout d'abord une chose : si j'ai abandonné, c'est en grande partie parce que j'ai un grand nombre de livres plus importants à lire en urgence et que je n'arrivais pas à suivre la trame principale. Mais au-delà de ça, comme dans la plupart des romances, on suit un couple sur la durée, ce qui donne quelque chose de long, de lent, avec peu d'action et des délibérations mentales empiétant parfois sur le récit en lui-même. Sauf qu'ici, pas tout à fait : on nous présente dans le menu détail les moindres aspects politiques de la cour sans que ça ait forcément un impact direct sur le récit. du coup, avec tous ces personnages, dont certains portent le même nom que ceux de la Princesse de Montpensier, l'ensemble devient encore plus difficile à suivre.
Mais le véritable truc qui me fait tomber le livre des mains est toujours et surtout le style. Madame de Lafayette ne *raconte* pas, elle *dit* : on jurerait un compte-rendu résumé de ce que font les personnages plutôt qu'un récit doté d'intensité dramatique. Exemple : on vous dira "La princesse fit ci, la princesse fit ça", et jamais "La princesse songea à faire ci. Que se passerait-il ? Il arriverait X évènement, et alors Y machin se produirait. Tant pis ; il n'y avait plus le choix, à moins de Z. Elle fit ci et s'apprêta à faire ça". Ce qui nous donne un livre à la fois trop et pas assez développé, selon les points qui intéressent ou non le lecteur...
On pourra me rétorquer que c'est justement avec ce style bref (bien qu'avec les innombrables points-virgules et périphrases propres à tout ouvrage du XVIIe-XVIIIe je reste circonspect sur ce terme) et distancé que Lafayette coud admirablement son roman, cultivant un implicite caché que le lecteur se doit de démêler. Sauf que contrairement à par exemple Mme Bovary, où vous avez toutes les clés une fois que vous savez que tout le récit est au second degré, là on alterne premier et second avec tellement de subtilité qu'il faut lire et relire chaque passage afin d'être sûr que rien ne nous est passé sous le nez, ce qui n'a rien d'évident quand on n'est pas un historien de la période jansénite... Entretenir la finesse du lecteur, c'est bien. Mais au point d'en rendre des livres sybillins et de faire des monuments de la littérature française des ouvrages qui ne seront accessibles que pour une poignée d'instruits ?
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Ce livre est un mystère pour moi. Commencé 2 fois, abandonné 2 fois. Je ne comprends pas l'intérêt que l'on peut y porter. Toutes ces histoires d'amants et de maîtresses sur fond de mondanités m'ennuient profondément. Sur la forme, l'écriture est belle, mais guère plus que tout ce qui se faisait à la même époque. Pourquoi ce livre est-il devenu si emblématique ? Encore une fois mystère.
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Je n'ai pas pu aller au delà de 20 pages, et ne le veux pas... Donc, lu, en partie, suffisamment pour assumer le fait d'être passée à côté d'un soi-disant chef-d'oeuvre... Oui! J'assume! J'ai détesté cette écriture plate, froide et d'un chiaaaant
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Illisible
Je l'ai recommencé 3 fois et n'en suis jamais arrivé au bout !
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trop lourd à lire... je ne l'ai pas fini...
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"Les paroles les plus obscures d'un homme qui plaît donnent plus d'agitation que des déclarations ouvertes d'un homme qui ne plaît pas." Cette citation résume à elle seule le livre et tout ses défauts car si Mademoiselle de Clèves n'avait pas un physique avantageux on ne remarquerait même pas son existence.

Quant je vois toute l'aura qui entoure ce livre, quand je sais que ce livre à été le symbole d'un mouvement de revendication de la culture française, je suis stupéfaite et je reste bouche bée sur le fait que personne ne remette en question le message du livre.

En effet la seule vertu qu'a notre "héroïne" est de suivre la bienséance de l'époque, donc de se taire et d'obéir, et de rester fidèle à un mari qu'elle n'aime pas. Wouah !

Et qu'on ne vienne pas me parler du déterminisme sans faille et du courage avec lequel elle reste fidèle à son mari, tout simplement parce que ce n'est pas de la détermination mais de la bêtise et de l'entêtement aveuglé par la peur pour sa réputation dans le cas présent.

Tout les hommes sont pourri par leur sexualité dans ce bouquin. Ils sont séduits par l'apparence de Mademoiselle de Clèves et puis.....Ah ben non, c'est tout. Quel développement et quelle profondeur !

Comme avec "Histoire d'O" de Pauline Réage, j'ai le même problème avec le fait que l'on nous présente cette histoire comme une grande histoire d'amour. Ce n'est pas une histoire d'amour. Tout ces hommes désirent Mademoiselle de Clèves, à la limite, mais c'est tout. Y compris Monsieur de Nemours et son cher mari.

L'auteur porte aux nues la beauté physique et le fameux "sois belle et tais-toi !", puisqu'elle ne permet aucun autre trait particulier à son héroïne.

En effet elle ne fait pas preuve d'intelligence, ne montre aucun trait d'esprit, et n'a pas de capacité particulière qui est développée. Donc c'est juste une femme, certes très belle, mais qui est seulement là pour montrer son plumage devant les coqs de la Cour.

Du coup, quand certains personnages disent qu'il ne faut pas se fier aux apparences, je me marre. Parce que tout dans cette histoire nous montre le contraire, c'est quant même affligeant pour un livre qui est porté aux nues comme étant l'un des plus grand (si ce n'est le plus grand) roman de la littérature française.

De plus l'on se perd dans toutes les sous intrigues de la Cour bien que je pense que cela soit fait exprès pour montrer le chaos et le peu d'intimité de l'époque, mais ce n'est pas parce que c'est volontaire que c'est utile ou bien venu.

Néanmoins cette exposition sur l'histoire de la royauté de l'époque est probablement la seule chose que j'ai aimée dans ce livre, avec la plume de l'auteur qui est très belle mais qui est à l'image de notre héroïne, c'est-à-dire rien de plus.

Et à la fin Bravo, quel final !

Et c'est même fou comme elle s'acharne à être un bon petit mouton bien sage alors que sa mère s'est, pour le coup, évertuée à lui donner une éducation et à l'instruire sur les dangers du monde, du mariage, etc...Même si elle influence assez sa fille dans le choix de son mari. Dommage.

Je sais que ce livre est un classique et que l'on ne doit pas toucher aux classiques. Pourtant je pense tout le contraire et que donc il est bon de confronter et de remettre en question certaines histoires "fondamentales" de notre culture par rapport à notre notre regard contemporain.

Enfin bref...Je ne vous conseille absolument pas la lecture de "La Princesse de Clèves" ou plutôt je vous conseille de le lire avec un regard critique sans passer sous silence les défauts du livre sous prétexte que c'est un classique, parce qu'il y en a.
Lien : http://bookymary.blogspot.fr..
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Quand elle commença d'avoir la force de l'envisager, et qu'elle vit quel mari elle avait perdu, (...)______ qu'elle eut pour elle−même et pour monsieur de Nemours ne se peut représenter.

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